Ben alors, je croyais avoir ouvert un fil sur ce texte, il a dû fondre au soleil. ^^

Et bonjour ericboxfrog !

Tu vois, c’est pas bien compliqué d’écrire un commentaire de nouvelle, tu t’en sors très bien.

Tu n’as pas reconnu le pays ? Ben c’est le Brésil, évidemment. En même temps, tu me diras, quel est l'intérêt de savoir où se situe l’histoire ? Le genre humain est malheureusement le même sur toute la planète, non ?
Et tout est vrai, bien sûr, Pepita peut en témoigner. Le bus c’était en traversant Bahia, les gosses au fromage c’était à Maceió, et l’épicerie au fin fond de Minas.
Lire une nouvelle c’est un peu comme voyager. Tu peux t'extasier devant de beaux paysages sans y voir autre chose que de beaux paysages ou bien regarder mieux et voir les choses cachées au milieu du paysage. Un poète me disait dernièrement que la poésie ressemblait à un cadeau d’enfant à Noël. Tout le plaisir était dans le déchirement du papier d’emballage, le contenu étant secondaire. Ceci expliquerait cela.

Un grand merci à toi pour être venu lire ce texte. Même “léger” et “trop vague”, cela fait toujours plaisir.

Oui, Pepito, tu avais bien ouvert un fil sur ce texte, je m'en rappelle. le problème est peut-être que tu n'as pas mis le lien en com sous le texte, ce qui permet de retrouver le fil de remerciement illico.
C'est dommage parce que c'est toujours intéressant de revenir "après coup" sur un texte.

Merci Hersen, j'me disais aussi que je devais sacrément sucrer pour l'avoir imaginé sans l'avoir fait.

Du coup, je vais aller relire les commentaires. ^^