Yo !


Un grand merci à vous tous pour être fidèles à Shoshanna et m’avoir lue, commentée et surtout pour vos diverses remarques qui vont me permettre de rectifier certaines choses…


@Vilmon, merci beaucoup. Tu écris comme moi une histoire au long cours, tu sais parfaitement ce qu’est le défi permanent de rester égal et de ne pas se perdre dans nos méandres créatifs.

@Plumette : « Parfois, il me semble que l'autrice se regarde trop écrire. » C’est pas faux, et c’est même le principal reproche que beaucoup me font. J’essaye de me soigner sur ce côté-là, ça prendra un peu de temps parce que quand j’écris, parfois je m’enflamme et je ne sais pas m’arrêter. Un grand merci pour me l’avoir souligné.

@Donaldo : Toujours un bonheur de lire tes commentaires, c’est souvent sans ambages et pertinent. Je ne posterai pas sur Oniris toute la période de Shoshanna en déportation. Ce n’est pas adapté au lectorat d’Oniris. Merci à toi.

@Poldutor : J’espère bien continuer à vous ficeler avec mes histoires et merci pour toute l’attention que vous portez à mes écrits.

@socque : Ça serait un peu trop facile si j’arrivais à vous emporter à chaque fois. Votre résistance (sans jeu de mot) à l’immersion est tout à votre honneur. En espérant vous plonger la tête sous l’eau (métaphoriquement parlant, il va de soi) la prochaine fois. Merci beaucoup.

@Dugenou : Merci beaucoup pour ton passage attentif. Tu penses vraiment qu’une juive de 20 ans en 1942 à paris avait la tête à batifoler ? Quant à la Résistance, il y avait beaucoup de jeunes, très jeunes bien plus que Shoshanna dans la résistance. On connaît même le fameux exemple de Marcel Pinte, le plus jeune résistant de France qui est décédé tragiquement à seulement six ans. Pour le détail, je pourrais te citer par exemple Shoshana Persitz, née le 16 novembre 1892 à Kiev, Ukraine et morte le 22 mars 1969 à Tel Aviv, qui était une femme politique israélienne, membre de la Knesset. Après le choix d’un prénom, c’est totalement subjectif et n’a qu’un intérêt relatif. J’aime le son de ce prénom, on dirait une vague qui murmure.

@Senglar « Si je tentais de me résumer je dirais que j'ai lu ici un très bon texte (solide, sérieux, bien documenté, exotique) qu'il aurait peut-être été préférable d'aborder avec un œil extérieur, d'écrire à la troisième personne plutôt qu'à la première. »
Hélas, je ne sais qu’écrire au présent et à la première personne du singulier. Je ne suis pas à l’aise avec le passé simple et la troisième personne… Chaque résistant était parfaitement mis au courant des risques encourus, ce qui permettait de faire un « tri sur le volet » et de ne pas prendre des éléments susceptibles de craquer d’emblée et de mettre tout un réseau en danger. On ne donnait pas de capsules de cyanure au débotté… Ce qui n’empêche pas Shoshanna d’y penser… Merci pour votre com attentif.

@ChVlu : Merci pour ton passage et ton commentaire.
« J'ai juste accroché sur la façon dont son nommé les parents, par leur nom prénom. Alors que j'étais proche de Mésange cette distance que j'ai ressenti dans cette façon de nommer les parents m'a paru détonner, et encore plus quand l'auteur fait relate les dialogues familiaux. »
Je ne sais pas quoi te répondre, constat d’impuissance… « La dernière phrase reste une mystère pour moi, il doit me manquer une référence mais je n’ai pas compris ce qu'avait à me dire cette opposition mésange / grue. » En fait, c’est un proverbe japonais. Je ne suis pas certaine de le garder.

@Corto : Merci pour votre passage enjoué et je me réjouis à mon tour d’espérer avoir la chance de vous proposer la suite 😊

@Ingles : Le contexte et le décor, tu te doutes bien que je ne peux les éluder… L’arrestation des 7 du musée de l’homme a eu lieu en janvier 42 et Le 23 février 1942, Jules Andrieu, Georges Ithier, Anatole Lewitsky, Léon Nordmann, René Sénéchal, Boris Vildé et Pierre Walter sont fusillés au Mont Valérien. Comme je ne sais pas si ça fera partie des extraits que je proposerai ici : 2 révélations : Shoshanna est entrée dans le réseau à la suite de l’indiscrétion d’une de ses amies dont le père travaille pour la cause. Pour les lettres et paquets, elle les récupère tous les dimanches avant le couvre-feu en se rendant devant une grille. Elle siffle « les roses blanches », si une cloche lui répond, elle entre. Si rien ne se passe, elle décampe à toutes jambes. Pour l’armée des ombres, c’est bien évidemment un clin d’œil ;)

@Angie : Comme d’habitude tes approches positives me remplissent d’allégresse. Une vraie écrivaine ? Il en existe des fausses ?^^ Je te taquine et je te dis à bientôt en souhaitant te rendre la pareille. 😊

@Papipoete : Heureuse que les aventures et le destin de Shoshanna continuent à te plaire autant. C’est rassurant pour le travail que je fais et important d’avoir des retours de lecteurs aussi attentifs. Un gros gros merci.



Anna

ah ok ....C'est un tient vaut mieux que deux tu l'auras, mais en japonais, du Nord Est? Google me le sert comme un dicton Russe ....

Bah... Je vais l'enlever, ça n'apporte pas grand-chose en fait !

@Larivière

Hello et merci pour ton passage enthousiaste :)

A bientôt

Anna

Merci Anna pour ces éclaircissements.

Et je comprends que tu ne proposes pas le récit de la période où Shoshanna était en déportation.

Bye

Don

@Babefaon : Merci pour votre passage, votre commentaire complet, pour avoir aimé et surtout pour me conforter dans l'idée que je ne me trompe pas dans ce que j'entreprends depuis deux ans sur ce journal. À bientôt.

Anna

@ Johan : Merci pour ton passage et ton com instructif, tu as l'air de bien connaître l'époque... Shoshanna est née en avril 1922, donc assez proche de ta grand-mère maternelle.

"On avait imposé des étoiles jaunes à des enfants aux noms polonais, russes, roumains, et qui étaient si parisiens qu'ils se confondaient avec les façades des immeubles, les trottoirs. Comme Dora Bruder, ils parlaient tous avec l'accent de Paris, en employant des mots d'argot dont Jean Genet avait senti la tendresse attristée."

Superbe.

Anna

Je connais l'époque par procuration si on peut dire : ma mère est née à Paris en avril 40 et la grand-mère en question était aussi parisienne (née en décembre 1920, donc à peine plus âgée que ta Shoshanna). Je suis Parisien par les femmes, comme Léautaud

Mais pour en revenir à S. j'ai cru comprendre que plusieurs textes lui sont dédiés, mais j'ai un peu de mal à les retrouver. Il y en a combien ?
L'épisode de Central Park n'en fait pas partie, à ce qu'il m'a semblé ?

Il y en a 3