Eloigné depuis un certain temps sous des latitudes sans connexion je reprends avec plaisir mes visites sur ce site et tiens d’emblée à adresser un grand merci à tous qui avez pris le temps de lire et commenter ce petit texte.

Socque et Donaldo, c’est vrai que le choix de cette métrique est volontaire, je dirais même qu’elle s’est imposée au fil de l’écriture parce qu’elle me semblait mieux coller au thème flirtant avec une certaine introversion. Merci à vous d’avoir conforté le bon aloi de cette versification.

Vincent… le texte peut-être mais mon « pseudo » n’est pas si incroyable que ça, n’importe quel geriadur vous en dira plus. En tous les cas je prends le rapprochement avec Malraux pour un compliment et vous en remercie.

Corto et Hersen, merci aussi de votre lecture et de votre appréciation.

Anna, également merci de votre lecture et de vos remarques. En effet à la lecture de quelques uns de vos textes il semble que nous n’ayons pas la même approche de ce que pourrait ou devrait traduire la tentative poétique à la fois dans la dramatique à dire et la forme pour la dire. J’espère que la vôtre est bonne mais je vous assure que l’ombre n’est pas toujours aussi sombre que vous semblez le penser, Cocteau connaissait bien « le clair-obscur », Eluard savait que « la terre est bleue comme une orange » et pour Soulages le noir est couleur ….alors ?

Bonjour Papipoète, je ne sais pas si les vers qui chaussent 16 ont un nom mais je suis ravi que vous vous soyez retrouvé un peu entre les miens… c’est aussi à ça que sert ce genre de travail que nous prétendons être un « poème » : trouver l’autre.

Merci Miguel d’avoir lu et commenté aimablement… en effet il y a des thèmes qui réclament un certain lyrisme plus ou moins facile à contrôler. Comme je l’ai dit à Papipoète je ne sais pas si les vers de 16 pieds portent un nom mais pour ce que je tentais d’exprimer je trouvais qu’ils « marchaient » bien avec cette mesure-là.

Eskisse, je regrette que vous n’ayez pas pu entrer dans le propos que je tentais. Je suis conscient qu’il peut être abstrait pour certain lecteur, dans sa forme un peu « essoufflante » (c’est volontaire en l’occurrence) comme dans le thème qu’il voulait évoquer. Une prochaine fois peut-être ? Merci en tous les cas de votre commentaire.

Merci Senglar et merci Cyrill pour vos réflexions. Dans mes remerciements à Esquisse je comprenais bien que ce n’était sans doute pas évident pour tout le monde de coller avec l’intention que j’avais en composant cette sorte de berceuse, et je suis enchanté que pour le coup vos commentaires respectifs me disent pertinemment que cette intention pouvait aussi traduire l’émotion que je voulais au moment de l’écrit.


à bientôt vous lire .

Merci pour votre retour Yannblev
Si je ne suis pas entrée dans le thème amoureux, je trouve magnifique votre : " J'écris de lune entre les pierres". Belle trouvaille.