Bonjour, bonjour,

eu égard à mon agenda surbooké, je passe vite remercier le CE pour la publication et les commentateurs (EL et post publi) de mon petit opus.

Ce dernier aurait gagné à être publié en conte poétique ou ce genre de catégorie, mais j'ai eu le clic trop rapide.

C'est parti d'un délire sur le Prédator (celui du film) dans une colonie de gerris, et ça a pris au moins 7 formes différentes avant d'être présenté tel quel.

C'est un texte métaphore, qui parle au sens littéral d'un prédateur dans une communauté d'êtres sans défense. Sur le ton du conte (l'histoire, les pages, les vers,...). Prédateur non pas effrayant mais omniprésent et parasitaire, arrogant et grand.
Au sens figuré, il dépeint toute relation de domination par la peur ou la manipulation (merci à ceux qui ont senti le poisson lol) par un "grand" sur un "petit", une version tropicale de David vs Goliath, peut-être.

Une chouille politisé donc, oui, dans le fond, une chouille en parallèle avec sa forme "pseudo gentillette" (qui caractérise également l'hypocrisie de l'assaillant, les guerres propres, les double discours, la flatterie, la vilénie), une chouille révolutionnaire et défensif, universel en restant original je l'espère...

Merci donc.

et au plaisir !

tu vas bien trouver une " chouille " de temps, pour revenir ici régulièrement ?
papipoète

Citation :

Je suis déjà une "chouille" là

Trop, je peux pas, ça a tendance à m'agacer, je suis de plus en plus ermite avec l'âge

Mais je suis là

Donc, plus en détails, les remerciements personnalisés :

socque merci pour la lecture en aveugle.

Alors, je n'ai pas expliqué où Predator est nuisible, car elle se veut universelle. LA méchante par définition. Elle peut prendre toutes les formes.

Le cheveux gras, c'est rapport à Predator, le film... il est un peu...gluant... j'aurais dit gluant mais ce n'était pas poétique.

Et puis, merci d'avoir apprécié la défaite, la chute culinaire (on est écolo dans l'âme ou on ne l'est pas, rien ne se perd, tant qu'à faire).
Au plaisir

Jemabi c'est un peu ça. J'aurais du la poster en récit poétique, ça passait mieux. Une prochaine fois? Merci pour ta lecture et ton appréciation de ma petite bafouille.

Cyrill je plusseoie à toutes tes remarques, merci infiniment.
Et pour la lecture également, avec l'espoir de te convaincre la prochaine fois.

Provencao merci d'avoir souligné l'arrogance. Merci d'avoir apprécié et commenté Predator, qui reste encore un peu à mijoter

Papipoete merci de ton passage et de ton commentaire, tu vois, chuis là

Zoe j'apprécie grandement votre lecture, merci pour votre commentaire, un des premiers en plus depuis votre inscription. Bienvenue donc, et au plaisir de vous relire !



Quistero merci pour votre lecture et votre commentaire, avec mes excuses de ne pas avoir su être cohérente. Signifiant/signifié c'est toujours compliqué. J'espère que mes explications ici vous auront apporté quelques réponses, sinon je reste à votre disposition.
Au plaisir !

StephTask merci m'chou pour ta lecture et ton commentaire. j'aime que tu aies senti le malaise, assez volontaire (pour un texte engagé c'est un minimum) et que tu le soulignes. C'est important. Je le voulais un peu psychopathe quand même (romantico-killer-pupute quoi)

Ah, l'accent de Prédator, le titre, c'est une coquille... faut croire qu'à un moment dans le processus entre mon clavier et la publication sur le site, un correcteur orthographique aurait pu, de manière tout à fait autonome, ajouter un accent. Mais c'est pas mal aussi avé l'acceng... ou a'ec l'accennnn fieu... ou mit l'accente yoplà...

Au plaisir de te croiser en mer, moussaillon

merci à toi amie de là-bas !
et bonne nuit !
papipoète

Bisous mon papipo
Nenuit à toi aussi

AnnaPanizzi merci de ta lecture et de ton commentaire - modéré ^^ - qui semble de loin avoir vocation à piquer.
De près, on utilise d'autres degrés de lecture qui visiblement t'échappent.


Un peu comme ma poésie en fait, tu vois tu commences déjà à appliquer le principe.

ça viendra, accroche toi

A votre service

Ah, tiens, tant qu'on en parle, justement, de titres.

Le tien, sur ta dernière nouvelle il est volontairement inspiré de Là où les trottoirs s'arrêtent de Baptiste Thery-Guilbert (qui visite dans le même décor que ta nouvelle, les mêmes questionnements, sur les mêmes aspects,...) ou s'agit-il d'une étourderie ?

j'adore les échanges, c'est tellement plus riche que le silence.

Ah, je ne connais pas cet auteur, ça parle de quoi ?