Merci et encore merci pour tout. Merci pour la richesse de ce site, pour la qualité des textes et bien sûr merci à ceux qui ont lu et commenté mon texte. Merci à Marimay et au CE.

Ce texte en "rebond" ( merci Cristale) est bien entendu un texte hommage à celui de Piéralun qui m'avait bien amusé. J'avais un peu peur qu'il soit pris au premier degré et ou d'être "comparé". Cela s'est plutôt bien passé.

Un grand merci pour tous les "passionnés" : Mokhtar (qui me soutenez depuis si longtemps et mon premier passage en 2017. Vous aviez raison pour la mauvaise césure qui a été corrigée par le CE et c'est tant mieux) ; Provencao (qui êtes toujours bienveillante dans vos propos à mon égard, et en général. Merci pour le coup de coeur), Papipoète (qui est papipoète et je crois que cela suffit à le définir. Talent... autre grand. oups je rougis...), Lebarde (Là encore, je ne peux que vous remercier pour vos encouragements si précieux. Oui, je me suis posé de la masculinité de l'ovocyte. J'ai voulu le remplacer par l'ovule, mais le problème était le même. Le français est parfois incompréhensible), merci à ma soeur d'écriture, Myo (J'ai réussi à te faire sortir de ta retraite. Tant mieux, car je n'ai pas envie qu'elle dure longtemps). Enfin merci Cristale (tu avais souligné mes progrès en versification dans mon précédent poème, et je t'avais répondu en aparté que je savais parfaitement à qui je le devais. Merci pour ton soutien et tes conseils). Bien sûr à Pieralun à qui ce poème est dédié, sans qui ce texte n'aurait jamais existé.

Un grand merci à tous ceux qui ont beaucoup aimé : Miguel (je sais que pour vous un beaucoup vaut parfois un passionnément et je m'en veux de ne pas vous avoir assez remercié pour un passionnément précédent) ; Annapannizi (Merci pour vos gentils mots et votre bienveillance à mon égard); Fanny (Je suis heureux d'avoir égayé votre début de week end ^^); Zoé (là encore pour votre bienveillance pour ce texte et les précédents); Vincente (Merci pour vos gentils commentaires. Vous avez raison, je ne me suis pas foulé pour le titre. A modifier). Merci à Véro pour vos gentils commentaires (encore un) mais aussi votre juste reproche concernant l'utilisation du néo pour ne pas élider les e qui ne se prononcent pas. D'autres l'ont relevé et vous avez raison. Je retiens surtout dans ce reproche, le compliment caché concernant ma (je vous cite) bonne connaissance du classique. Je vous rejoins, on peut aimer ou pas le classique, le trouver désuet ou pas, mais quel plaisir, quel sentiment de travail accompli quand on arrive à faire un texte classique, à fignoler les quelques menus détails qui chiffonnent, sans y perdre son âme. D'autres ici le font bien mieux que moi. J'ai cité (entre autres) Cristale et Piéralun (mais pas que). Sur l'utilisation du néo, j'assume la (presque) astucieuse mais hypocrite pirouette relevée par Mokhtar. Pour être efficace, ce poème devait être publié assez rapidement après celui de Piéralun, et ceux qui s'essaient au classique (j'en suis car je m'essaie souvent mais je fais encore beaucoup trop d'erreurs d'étourderie) savent combien il faut de temps pour le peaufiner. Par manque de temps, par facilité, mais aussi pour pouvoir aisément utiliser le féminin sans aucune contrainte, je me suis dit que je pouvais m'y soustraire.

Enfin Merci à Donaldo (De bien gentils commentaires. Oui je vais vite revenir à des textes plus sérieux voire sombres) Lotier et Yannblev (pour de gentils commentaires sans notation, mais je sais que chez vous ce n'est pas un signe négatif)
Encore merci et portez vous bien.

Bonjour Inconnu1,

Merci pour ces sympatiques remerciements d'une belle qualité de mise en page.

Je dois dire que "ton ovocyte" m'avait provoqué une bonne dose de sourires lors de ma découverte en espace-lecture et je suis ravie de son succès.

Ton hommage à nos premiers échanges concernant la versification me touche et je te remercie de ta reconnaissance bien que seul ton talent soit le "responsable" de ta réussite.

Au plaisir de lire ta prochaine publication,
Cristale

Merci Cristale pour le "talent". Mais on sait que dans tout ouvrage, c'est un peu de talent et beaucoup de travail et pour progresser dans le travail, il faut être guidé.

Merci beaucoup à Ornicar. que de qualificatifs élogieux. Ouahhh. Cela me touche énormément

Chère Cristale, combien d'entre nous seraient encore balbutiants, et tâtonnant la rime, la métrique, la musique d'un poème sans vos conseils bienveillants, que vous nous accordâtes gracieusement !
Mais savoir monter un mur est pratique, l'ériger avec talent est une autre histoire...
papipoète

Ne fais pas trop sombre, quand même inconnu1.