Bonjour,

Je remercie les lecteurs qui ont bien voulu commenter mon petit sonnet en octosyllabes. Je suis ravi de voir que l'aspect pictural de la description a plu, car le chromatisme était en effet étudié.
J'ai pu lire que l'intervention de Marc au second tercet semblait superflue et je le comprends. Mais je voulais vraiment faire de cet acte magnanime le cœur du sonnet, et du roi le personnage central, qui aurait pu dire, en oubliant son orgueil blessé, ce vers de Corneille : "Je suis maître de moi comme de l'Univers."
Merci encore, à bientôt de vous lire !

Antoninus

Et ce même Auguste, maître de lui comme de l'univers, dit à la fin "Qu'Auguste a tout appris et veut tout oublier". Tout oublier, ainsi fait Marc. La grandeur du personnage ressort davantage encore par la simplicité des termes employés, par la douceur de la tonalité dans ce contexte de chevalerie, souvent épique.