Bonjour à tous les commentateurs et grand merci.
J’ai présenté mes excuses aux correcteurs et leur ai envoyé mes remerciements pour avoir corrigé les coquilles dans ma nouvelle « Meurtre en forêt ». J’ai en effet envoyé mon brouillon au lieu de la version définitive.
Les personnes qui ont vu le texte en lecture ont eu raison pour leurs critiques. Presque toutes les remarques avaient été corrigées. Des répétitions, des coquilles… gros caca. Mais il en restait quelques-unes.
Merci Blitz : « huile bouillante » je l’avais repéré aussi et je l’ai changé. Pas approprié.
Merci Asrya (qui s’est goinfré le texte avant que les correcteurs ne corrigent les coquilles !) « Alea jacta est » est bien de trop. Ne sert à rien.
Je suis d’autant plus confus que je trouve vraiment impoli de proposer un texte plein de fautes. Il y a un minimum de respect à avoir.
Sur le fond :
Le narrateur est un adulte qui écrit une histoire de son enfance. Pas facile : il raconte avec des mots d’adulte, forcément, mais avec les sentiments retrouvés de l’enfance.
J’avais mis quelques indices au sujet de ce meurtre symbolique, qui est celui de Raboliot, mais aussi à un second niveau, enfoui plus profondément, celui du père. Il n’est même pas conscient chez le petit, qui doit avoir quelque chose comme sept ans. Le père, pour lui est un héros, un des personnages virils et brutaux, comme les hommes de la forêt ; jusqu’à ce que tout s’écroule, à cause des pièges retrouvés. Cela se passe souvent à l’adolescence : l’image du père qui se transforme. Avant, ce n’est pas pensable de le ressentir et de l’exprimer clairement. Le narrateur n’a que quelques doutes.
C’est vraiment bien d’échanger. Je vous dois une partie de mes corrections.
Bien cordialement. Edgard.

Edgar,
Encore une coquille dans le titre de vos remerciements 😊
Étourdi ou trop pressé ?
Merci de vos explications qui confortent ce que j'avais compris.

Quand ça veut pas

On re-père le meurtre du père dès la première phrase : "J'ai menti, papa ne parlait pas aux arbres."

Mecit pour le retour !