A tous mes lecteurs et commentateurs, un grand merci !

« Le » Santa Maria est dans cette nouvelle un symbole, avant d’être un vrai navire partant en quête de terres nouvelles.
Entre ombre et lumière, les Découvertes, oui, avec une majuscule, Os Descobrimentos, nom de l’avenue en front de mer où j’habite, nom historique d’une période qui ne l’est pas moins. Ce point est important. Car comment doit-on considérer toutes les avancées humaines, à cette époque et dans le futur ? Si Gordon lit justement l’histoire de la Santa Maria, c’est bien que la question des conquêtes se pose, toujours et encore. La question de leur légitimité, humainement déjà, et aussi en terme de ressources à exploiter.

Angieblue : Je pense que la fin est ouverte. A moins de répondre soi-même à la question ultime de la nouvelle : que sera l’ordre donné ?

Jeanphi : si je n’ai eu ici ni plumes ni podium, je suis néanmoins largement récompensée par ton com ! (comme quoi les coms, c’est utile :))

Perle-Hingaud : merci perle, mais où as-tu vu un « chuinter » de trop ? Oui, il y en a deux, mais qui rapproche l’idée que les époques se suivent… et se ressemblent !

Don : bon, à moi ça me semble cohérent, mais c’est sans doute que je considère que je n’ai qu’un cerveau ! Naturellement, si tu as du temps à perdre, je lirais volontiers ton analyse poussée que je te sens impatient de produire… ah ah ah …

Soques : j’ai sonné trop fort la cloche, tant pis pour moi ! Mais il est amusant de penser que les choses, on a beau les redire et les repenser, ça n’a jamais l’air de suffire, on reproduit l’Histoire.

Cyrill : deuxième avertissement pour moi, la cloche d’abord, puis le clou ! Ceci dit, je me console largement puisque tu as exactement compris la lumière (délétère) et l’ombre (qui aurait une chance de laisser des peuples à leur vie tranquille). Mais comme je ne sais pas du tout où en est Gordon, je ne peux apporter plus de précisions. Je tends à lui faire confiance, c’est ma nature.

Senglar : la perplexité t’a submergé ! Tu m’en vois marrie, je ne recherchais pas ce but ! Mon écriture est ce qu’elle est, je ne suis pas sûre qu’il y ait quoi que ce soit d’involontaire. Mais s’il te semble que si, c’est que je rate mon but, sans doute.

Disciplus : pas trop fan. Ok. Un point par contre que je contre (pour te rappeler le tant de temps décrié!) La santa Maria a fait son job, que l’Histoire nous relate sous tous ses dessous, enfin presque tous. Mais Gordon, je t’assure que j’essaie qu’il soit un bon pote à moi, mais il est, comment dire ? Très… évanescent, oui, c’est cela, très évanescent…
le préchis-précha : oui, c’est vrai comment en sommes-nous encore là ? C’est ce que je me demande souvent. Mais à l’ère des métaux rares (et mêmes encore inconnus!) dont nous avons forcément besoin, n’est-ce pas, pour une vie, disons, confortable, vivable, d’après des critères actuels, c’est oublier la place de l’or, incontournable… aujourd’hui encore. L'ombre de l’or; sa matité.

Asrya : je ne suis pas sûre que détailler plus la seconde partie, futuriste, aurait apporté davantage. J’ai plutôt recherché un impact qu’un récit, en quelque sorte.

Merci à tous les lecteurs/ commentateurs de vous être penchés sur la Santa Maria, passée et future.

J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire cette nouvelle d’après le thème. Je remercie tous les intervenants.

(en direct des Amériques !)

Merci pour ce retour, Hersen. J'ai lu ta nouvelle une troisième fois... quand on aime... mais aussi pour savoir si j'étais toujours d'accord avec ma remarque sur la réflexion à l’œuvre.
Et oui, toujours, mais quoiqu'il en soit j'ai bien aimé l'ensemble et je regrette que mon choix dans le vote n'ait pas été plus partagé !

J'ai été surpris par des remarques sur l'écriture. Là où moi j'ai vu de l'humour, on y a vu des lourdeurs, comme quoi, hein.
Là par exemple :
" Il n’y a pas eu un seul instant trace de souci de savoir"
C'est le genre de tournures qui me fait sourire et ton écrit en est joliment, j'allais dire truffé mais non quand même, plutôt paré.

Enfin, voilà un concours de plus avec ses variations.

Hello hersen,

En effet, après recherche via l'ordi, le verbe chuinter n'est présent qu'à deux reprises, assez éloignées, et reprend clairement la même idée:
" le sas s’ouvre, chuintant comme des voiles d’un navire coulant au bas du mât" et "Tout grinça soudain joyeusement, les poulies chantèrent et les voiles chuintèrent."
Je n'avais pas compris que la répétition était volontaire pour appuyer la similarité de situation. Je crois que ce verbe, rarement utilisé, a marqué mon esprit et donc que son réemploi a attiré mon attention: donc, ton but est atteint.

Merci pour le retour, hersen, il est sympa. Je suis tellement impatient de te rédiger une analyse poussée du genre cerveau gauche que j’en perds la mémoire. De quoi on parle, déjà ?

Eh oui, Cyill, voilà un conocours de plus terminé.
Y a pas à dire, j'aime toujours autant écrire pour un concours !
Ouf, Perle, sur le coup, j'ai eu peur d'en avoir collé partout, des chuintements tu sais ce que c'est, des fois on ne sait plus s'arrêter !
Don, tu parles de ce que tu veux, on trouvera bien un moyen de le raccrocher aux wagons ! En plus, j'ai envoyé Gordon avec des sondes et tout le tralala. En ce moment même, il doit être à faire des relevés dans ton cerveau. Par contre, comme il a du mal à reconnaître la droite de la gauche, je ne sais pas si on pourra se fier aux résultats. Ce sera peut-être un peu tout mélanger.
Mais bon, c'est comme le nombre de chuintements, c'est pas trop grave !
?

merci de votre passage à chacun !

Até logo !

Gordon va-t-il repérer les cacophonies ?

Tu veux dire, est-ce que c'est pour ça que je n'ai plus le contact... il a préféré se jeter dans le grand vide sidéral ???
Nan, il doit être occupé à réparer ?

Ah mais non, je suis bête, il doit bosser comme un malade pour atténuer la surchauffe.
T'inquiète.

Je vais poser la question à ChatGPT.

Oulà, c'est un gros concurrent à Gordon, ça, il va râler

Le problème, avec mon ChatGPT, c'est qu'il n'aime que le Ronron.