Merci au comité éditorial d’avoir bien voulu retenir mon "Retour" au catalogue d’Oniris.
Un grand merci à chaque commentateur pour l’accueil bienveillant et chaleureux qu’il lui a réservé.

fanny : fou rire ! Un délicieux Médoc à la place des insipides médocs, vous m’ouvrez la voie du sevrage 

papipoete : tu connus, toi aussi, la crucifixion sur l’abyssal Mont des Oliviers et la poésie nous ressuscita. Nos chemins firent pleurer nos mères qui nous pardonnèrent.
Les failles entre le néoclassique et le contemporain ? Par exemple non respect de l’alternance des genres dans le suivi des rimes ; rimes lexicales de même radical…

Provencao : dessin en « trompe l’œil » pour l’ouvrir, pourtant, sur la réalité du vécu.
Bien cordialement à vous.

Elena : « force tranquille » de la résilience sur un fond musical qui balance, va et vient. Là, ça va. Heureux de vous faire plaisir.

Geigei : puisse le vent des vers (force 5 !) relever votre voile !

Marite : lu une fois… deux fois… trois fois… votre commentaire me trouble quand il parle de pudeur et de transmission à « petits pas ». Très sensible. Merci.

Lebarde : les temps changent vite, en effet. Ils suivent pour moi le cycle irrégulier des saisons de l’humeur. Alors oui, aujourd’hui, je retrouve avec bonheur certains fous. Beaucoup d’autres me manquent. Très sensibles à vos éloges. Merci.

Merci Damy pour ce retour sur les retours de votre "Retour".

Merci à vous, Geigei. Au fait, joker pour "Poker" !

Merci pour votre retour sur mon commentaire Damy. C'est vrai que la pudeur dans l'expression est passée de mode, enfin je me trompe peut-être. Elle a cependant un certain charme mais, pour en faire usage, il faut prendre le temps ... difficile à cette époque où trop souvent la rapidité de réaction devient la garante de la qualité de la pensée. Bonne soirée à vous.