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1 Utilisateur(s) anonymes
remerciements " sous l'acier " |
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Maître Onirien
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29/01/2013 15:18 Groupe :
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Remerciements pour " sous l’acier "
J’ai perdu l’habitude d’écrire cette phrase ( je remercie ONIRIS pour la publication de mon texte… ) aussi, suis-je très content d’égrener cette phrase si banale, mais si pleine de joie pour l’ancien onirien que désormais je suis… et continuerai d’être, contre vents et marées ! Je me suis mis au ver, un peu au vert aussi, libre où l’on pourrait écrire sans aucune règle ? Pas du tout, au contraire parvenir à faire chantonner une aubade ; susurrer une prière ; éclater un fameux gag ! Sans renier l’octosyllabe, que je taquine toujours, je tente de séduire mes lecteurs, avec des senteurs, des refrains bleus...Cette fois, ma plume semble me dire « t’as vu papa ? Ça a marché ! » Cela me met du baume au cœur, après avoir dégringolé au fond d’une ornière remplie d’orties ; les stigmates de leurs brûlures se sont estompées ! Genèse Là où j’habite maintenant, loin de ma chère maison, est une voie ferrée ; bordée de buissons et arbrisseaux divers, est ( juste à l’aplomb de notre habitation ) un grand hêtre, dont l’ombre inonde son abord du matin jusqu’au soir. Un beau matin, entendant des bruits de moteurs ( la tronçonneuse est facilement reconnaissable ), je portai mon regard au loin ; peu à peu le ruban de verdure, se mit à s’effacer sous les engins, aussitôt broyés dans une infernale machine. Les bruits et les hommes se rapprochaient de mon poste de vigie, et regardant le grand arbre, entrai dans sa peau, et le fis parler « je ne risque rien ; on ne me touchera pas, moi le roi de cette contrée ! » hélas, les mâchoires mécaniques bientôt, à son cuir s’attaquèrent… Mercis appuyés à Geigei, Myndie, fanny, Provençao, jeanphi, Eskisse, AMItizix, Lebarde, Edgard, et Mintaka ; vous aimâtes cet exercice poétique, et trouvâtes malgré quelques copeaux par ci par là, un certain plaisir à le lire. Comme 99 % de ma poésie, je relate du vrai, juste à côté de chez moi, et continuerai tant que mon esprit m’est fidèle ! Une anecdote en passant ; le terrain bordant le chemin de fer, appartient à une marâtre qui ne m’aime pas ( pas que moi, bien d’autres âmes du village ) et me secoua de sa langue fourchue, dès notre arrivée ici ! La voyant approcher ce jour là, je courus imprimer ce texte et allai lui montrai, histoire de rompre la glace ; au bout de quelques paroles, elle me jeta mon poème à la figure… accompagné de la gentillesse qui la caractérise… Tant pis ; à vous lectrices et lecteurs qui vîntes sous mes lignes, il plut ! Encore merci de m’offrir ce bouquet de plaisir ! papipoète
Contribution du : 03/07/2023 18:30
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Re : remerciements " sous l'acier " |
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Maître Onirien
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bonjour poldutor
Oui, il y a ces arbres qu'on abat pour faire table-rase, qu'un béton investira pour le garnir d'un super-marché ; mais en l'occurrence, comprenant bien que des branches en travers de rails, ferait causer bien problèmes à ce train qui surgit... on sortit l'artillerie. Mais " avant ", on élaguait les ramures, et laissait tranquilles ces ombrageurs. J'y songeai dernièrement, roulant dans la nef de platanes majestueux, près de Saint Rémy de Provence ( " combien de temps vous reste-t-il à vivre ? " ) Paul est venu par curiosité, voir ce que autre chose que des octosyllabes, pouvaient donner sous ma plume ? cela vous plut, vous ne le regrettez pas ; soyez-en remercié ! papipoète
Contribution du : 05/07/2023 09:15
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Re : remerciements " sous l'acier " |
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Maître Onirien
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29/01/2013 15:18 Groupe :
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bonjour Quidonc
Merci d'être venu sous mon texte, et lire de moi " un pot de mots " Comme vous le dites, j'ai l'amour de la nature, des arbres en particulier puisque j'écrivis 10 poèmes à leur attention, dont 7 parus dans ces colonnes. Combien de fois me glissé-je sous leur cuirasse, lors d'heureux événements comme ce couple d'oiseaux y nichant, un couple d'amoureux y faisant l'am...ohhh, gravant leurs initiales juste après ! Simplement une fameuse ombrelle, à qui ici s'abrita. Mais sombres souvenirs aussi, sous la hache, la tronçonneuse ; mais lors d'une tempête ravageuse, de par ces dévastateurs scolytes et bien sûr le FEU Certes, je décris une " mise à mort ", mais l'accepte lorsque celle-ci peut épargner des vies. J'avais commencé mon récit, en faisant parler le grand hêtre, façon : " malheur, on abat mes frères mais moi, je ne risque rien ! je suis le Roi du talus... " Mais je me ravisai et ne devins que " narrateur " J'espère vous offrir à lire, encore et encore ! papipoète
Contribution du : 07/07/2023 14:46
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