Merci, chers commentateurs, de vous être arrêtés le temps d’un sourire – grinçant – sur ce sonnet sans prétention vite écrit il y a quelques années à partir d’une image, celle de la robe des glaciers, et que j’ai ressorti cette année en ce début d’été pourri… Mais, ironie du sort, le temps qu’il soit accepté par le Comité de lecture (un grand merci à lui !), la canicule s’était installée, faisant mentir mes « fichus ciels couverts » !

Vos réactions et vos remarques, toujours utiles, m’ont alors apporté, fort à propos, un souffle d’air frais bienvenu.
Merci Cristale, j’ai bien aimé votre formulation pertinente : « du catastrophisme sans pathos ».
Merci Robot, on vous envie les prés verts et et le feuillage émeraude de la moyenne montagne.
Merci Ornicar, pour votre observation bienveillante de la versification et pour vos « infimes réserves » : j’ai fait la chasse aux points d’exclamation (il en reste trois) ; et j’ai remplacé « bonjour le plastique ! » par « vive le plastique ! ».
Merci Lebarde, vous avez raison, les tercets tiennent un peu du pot pourri après un début consacré à la pluie et au beau temps ; mais, que voulez-vous, je me suis laissé entraîner par ma fibre écolo !
Merci Mintaka, pour avoir trouvé « le tout [] plaisant, désespéré et amusant à la fois ».
Merci Eki, vous n’aimez qu’un peu mais c’est déjà beaucoup pour moi… Vous évoquez le permafrost : émigrer au Danemark, est-ce une bonne idée ? L'altitude moyenne n’y dépasse pas les 30 mètres au-dessus de la mer…
Merci papipoete, je suis flatté que mon enjambement osé entre les deux quatrains vous ait évoqué les rejets du « Dormeur du val ».
Merci Quidonc, il est vrai que le sujet aurait gagné en profondeur si j’y avais mêlé un tant soit peu d’émotion mais, à vrai dire, ce n’était qu’un simple mouvement d’humeur...
Merci Provencao, si vous le voulez bien, je vais noter dans mes tablettes cette formule saisissante : « le dérisoire, c’est aussi apprendre à mourir… de rire ».

Une petite déception : le nombre de commentaires, j’ai connu mieux dans le passé ; mais il me semble que c’est général, ce doit être l’effet de l’air du temps…
Vous trouverez mon poème et vos commentaires ici : http://www.oniris.be/poesie/gil-l-air-du-temps-selection-gl-12426.html

Bonjour,

Bien volontiers....
Cordialement

Veronik

Bonjour Gil,

Merci pour ce retour.
Vous m'honorez en procédant aux modifications que j'avais suggérées. Modestement, je vous prie de me croire.
Je partage votre déception quant au nombre de messages reçus.
Signe des temps ? Il est vrai que commenter prend du temps. Mais il semble qu'il y ait sur Oniris plus d'auteurs que de volontaires portés sur le commentaire. Quand on atteint les deux chiffres (10 ), on tient là notre Pérou ou notre Eldorado.
A cette tendance de fond, si vous ajoutez l'effet momentané "concours"...
Au plaisir,