Maintenant que je renais un peu à la vie, je remercie tout le staff d'Oniris, le comité éditorial, les correcteurs pour la publication de mon texte "Nuit torride". Au singulier, notez bien, histoire d'attirer le chaland désoeuvré. Le leurre aura fait long feu.
Je remercie les anonymes, lecteurs de passage, et surtout les commentateurs qui ont eu le courage de s'arrêter et de se pencher à mon chevet et sur mon petit bébé.

Je suis heureux puisque vous êtes plusieurs à avoir souri à mes élucubrations et autres âneries. Sachez que j'ai pris autant de plaisir et d'amusement que vous à l'écrire. Le jeu ! L'esprit du jeu, il n'y a que ça de vrai. Et maintenant par ordre d'apparition :

PAPIPOETE :
Merci pour votre très haute appréciation et m'avoir commenté en espace lecture. Oui, ce texte est bien une "prose" comme vous le remarquez justement. Au moment de l'envoi, j'ai cliqué par erreur sur le mauvais bouton : "poèsie en prose" au lieu de "récit poétique".

EKI :
Merci pour votre haute notation, l'humour que je décèle dans votre commentraire et vos appréciations :"texte vivant, audacieux,amusant". C'est ce que j'ai tenté de faire.
Je vous adresse tout spécialement un autre remerciement pour avoir eu la curiosité de passer sur deux textes plus anciens et y avoir déposé de surcroît un commentaire. Je suis touché d'une telle démarche à laquelle je ne m'attendais pas.

DAMY :
Merci pour votre très haute notation. Plus que "vous avertir", j'ai voulu avant tout vous faire sourire à défaut de vous faire rire. Sahez en tout cas, que je ne suis jamais avare de mon corps quand il s'agit d'amuser la galerie...

POUET :
Merci pour votre haute notation. Venant d'un membre dont l'écriture est originale, je suis très heureux que la mienne, différente de la votre, vous ai plu. Merci pour toutes vos remarques sur les "jeux de sonorité".
Et ne vous inquiétez pas. Mercure, Cupidon et consorts ne vous tiendront pas rigueur de votre indifférence à leur égard. C'est vrai, quoi ! Pour qui se prennent-ils, ceux-là ? Croient-ils encore nous gouverner en 2023 ?

CYRILL :
Désolé ! Venant d'un autre membre dont l'écriture est originale, à part mon laius sur les dieux, je répète mot à mot ce que j'ai déjà dit à Pouet. Je tâcherai de faire mieux si l'occasion se représente. Encore merci.

FANNY :
Ainsi donc, la rue parisienne sous vos persiennes osait faire des siennes, vous empêchant de dormir ? Vous êtes particulièrement sensible aux hasards du calendrier. Je vous avoue en toute franchise que si j'ai pesté contre la chaleur, j'ai quand même eu cette pensée "coupable" : la canicule, coco, c'est bon pour ton texte ! Sot que je suis...
Heureux de vous avoir divertie pendant vos insomnies.

ROBOT :
Je compatis sincèrement à votre état d'épuisement et vous remercie encore plus chaleureusement pour l'effort consenti en ces pénibles journées.

CRISTALE :
Merci pour votre très haute appréciation. Outre les jeux sur les sonorités, vous relevez la "fluidité et la musicalité" de ma prose. C'est aussi ce que j'essaie de faire aussi dans mes commentaires, vous le savez. Rien ne pouvait faire plus plaisir à "l'orchidoclaste de la prose" que je suis.

MOKHTAR :
Commentaire lucide et plein d'humour que le votre. Vous remettez à juste titre les choses à leur place. Ce n'était qu'une petite canicule, nous sommes loin des 47 ou 48 degrés que connaissent certaines contrées du globe. Oui, ce n'était qu'un "vilain petit cagnard", mais voilà, je suis un vilain petit canard !
Merci pour ces "délires calembouresques". C'est tout à fait juste et c'est un peu dans cet esprit que j'ai rédigé ce texte.

Vous n'êtes pas sot mon coco, rien de plus normal que de se réjouir des hasards du calendrier dans un tel cas de figure.
De toutes façons, nous n'allons pas pouvoir regarder le réchauffement tout les jours de façon tragique, il faudra bien de temps en temps prendre un peu de recul et laisser la place à l'humour. Merci pour ce texte.

Bonne nuit...à deux vu qu'on est revenu à des températures normales.

Merci pour le retour Ornicar, aussi rafraîchissant que le texte lui-même.
J'en redemande de ce calibre pour supporter les prochaines fièvres terrestres.

Salut Ornicar et merci pour votre retour.
Je ne suis pas certain que l'originalité existe vraiment.
Ainsi le premier poète - un génie - (qui est-il d'ailleurs?) à avoir comparé la femme à une fleur aura fait preuve d'une grande originalité puisque personne n'y avait pensé avant lui. De nos jours la femme-fleur est un cliché. L'originalité n'existe aujourd'hui que dans la tête de celui qui écrit puisque l'originalité n'existe plus, là est bien le drame de l'écriture. On peut au mieux tenter de s'en convaincre

Au plaisir

Oh ! Quelle surprise ! Merci Elena pour votre passage ici, ce retour en arrière dans le temps et votre commentaire assorti d'une très haute appréciation. J'en suis très heureux.
L'occasion pour moi de vous rassurer pleinement sur mon état de santé : aujourd'hui, je vais beaucoup mieux.

Je ne m'inquiétais pas vraiment, Ornicar. Il y a des jours que je vous vois vous amuser à la récré...

Par contre, je suis ravie d'apprendre que vous êtes bien un il.
Votre pseudo plutôt androgyne, et votre langue ayant fourché hier, je n'étais plus sûre de rien.

Merci pour le retour.


signé : Méouhédonc

Merci Ornicar pour cette chaleureuse réponse à mon commentaire !

Bonne journée et bon vent à votre plume rieuse...