Un grand merci à toutes et à tous pour votre implication et pour que vive ce site : le CE, les commentateurs en EL, les commentateurs, les lecteurs.


Robot : vous avez bien aimé cette visite nostalgique.
Merci beaucoup.

poldutor
Vous avez trouvé, ce beau poème, sans prétention.
J'ai voulu montrer en transparence la vieillesse, dans toute sa décrépitude et la mort, à travers cette maison personnifiée.
Par exemple :
"Bientôt les jours consumeront (...)
Les restes de cette maison" :

Les vers ci-dessus évoquent l'incinération après la mort.

Merci beaucoup.

Provencao
Vous avez bien aimé "cet instant présent élaboré sans évocation au passé..."

Merci beaucoup.


Papipoete
Vous avez laissé votre imagination vagabonder à partir de quelques murailles lézardées, de poutrelles maladives. C'est charmant !
Ce pourrait être le sujet d'un autre poème.

Merci beaucoup papipoete pour votre commentaire pétillant que j'ai particulièrement apprécié.


Cristale
Quelle jolie et triste histoire que celle que tu m'as racontée, d'autant plus qu'elle est vraie.
Il y a un ange protecteur pour les maisons qu'on détruit. C'est l'un de ceux-là qui t'a permis de recueillir l'âme de cette maison sous la forme d'une clef.

Et la clef, sait-elle seulement que la main qui l'a sauvée de l'oubli est celle d'une merveilleuse poétesse ?

Un très beau symbole !

Merci beaucoup Cristale pour la poésie de ton commentaire émouvant.


Corto
Je vous cite : le sujet reste trop matériel..."

Je ne le pense pas puisque la maison est personnifiée tout au long du poème. Donc, pour moi, il n'est pas besoin d'en rajouter.

Je vous cite : "je me demande qu'a-t-elle vécu cette maison ?"
Je me suis limitée à décrire précisément les restes de cette maison... sa mort et non sa vie. C'est un choix.
Et d'ailleurs, que dire à propos de ces restes ? Quelle vie pour quels gens ? Pas de cahier oublié, pas de vieux meuble. Rien que la coque délabrée d'une maison.

J'aurais pu employer la forme interrogative et laisser vagabonder mon imagination. Mais ça n'aurait été que suppositions. Et surtout, ce n'est pas le sujet que j'ai voulu traiter.
Le vrai sujet, à travers cette maison, c'est la vieillesse, la décrépitude, la mort.

Je vous cite :
Des poncifs comme le portail, le plâtre, les solives ?
Je ne le crois pas puisqu'ils ont été personnifiés. Je leur ai donné une âme. Tout au moins j'ai essayé...

Vous avez terminé votre billet par :
"PS. :Je fréquente bien des lézards mais aucun n'a des allures de vieillards."

Savez-vous que vous avez de l'humour ? Seulement, vous n'avez pas raison. Je vous prie de bien vouloir relire attentivement le premier quatrain...
Allez, comme je suis gentille, je vous donne la réponse : ce sont les murailles qui ont des allures de vieillards, pas les lézards.

Merci beaucoup.


Damy,
Ravie que la maison abandonnée ait pu raviver d'heureux souvenirs.
Merci beaucoup pour votre sympathique commentaire.


loledane
Merci beaucoup pour votre commentaire tout en sensibilité et vos encouragements.


Geigei
Vous évoquez avec justesse la personnification de la maison. Là est le coeur du poème.

Un portail n'est rien à part être utile. En le personnifiant, j'ai voulu le parer d'un supplément d'âme.
A travers la maison abandonnée, j'évoque aussi le sort inéluctable de tout ce qui est vivant. L'être humain, surtout.

Merci beaucoup Geigei pour votre commentaire tout en sensiblité.


Myndie
Ravie que tu aies apprécié "ce joli poème d'atmosphère ".
Tu ajoutes : ""...il semble cependant hésiter entre beauté des images et prosaïsme de certaines formulations.

J'avoue que c'est un texte âpre. Mettre de la poésie dans les plâtres, les solives n'est pas chose aisée.
Je ne fais pas dans la dentelle comme l'araignée.

Merci beaucoup Myndie pour ta lecture attentive et ton commentaire judicieux.

Graouilly
Oui, le romantisme est bien présent avec notamment le thème de la mort annoncée.

Si je donne l'illusion de la fraîcheur dans ce poème dont les descriptions sont assez cash, alors je ne m'en sors pas trop mal.

Merci beaucoup pour votre commentaire judicieux.


Un grand merci à toutes et à tous pour votre bienveillance et pour m'avoir accordé de votre précieux temps.

Bien reçu Annick.

Le vent soufflait trop fort...

Bonne poésie.

Corto

Merci, Annick, pour ce sympathique retour.🌹🌹🌹

Merci à toi Annick pour ce délicieux retour.
Ta poésie est la maison de ton âme et le jardin de ton regard.

Coucou Annick!

merci pour ton retour bien sympathique.


J'avoue que c'est un texte âpre. Mettre de la poésie dans les plâtres, les solives n'est pas chose aisée.
oui, j'imagine bien le challenge que cela représente; et tu t'en es très bien sortie, bravo!

Corto

Merci.

Geigei

Merci.

Cristale

Merci.

Myndie

Merci.

Catelena

Je te cite : "C'est une maison qui me touche infiniment car tu as su lui donner une âme qui vibre tout le long du poème jusqu'à son point final."

J'ai essayé de lui donner une âme en la personnifiant.

Je connais une petite maison, depuis longtemps abandonnée, envahie par la végétation. Un arbre a poussé dans l'une des pièces et elle est maintenant devenue le repaire de renards et de toutes sortes d'animaux.
La nature a repris ses droits.

Merci beaucoup Catalena pour ton gentil commentaire tout en sensibilité.