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L'Oiseau de feu
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Merci au CE et aux organisateurs de ce concours qui m’a donné l’occasion de sortir de mes sentiers battus en créant un poème à partir d’un tableau (l’image proposée par Myndie). Merci d’avoir retenu mon texte parmi les 22 participants (je crois).

Merci également à tous les participants, j’ai lu de bien belles compositions, c’était un beau concours.

Et bien sûr, merci aux lecteurs et lectrices ainsi qu’aux commentateurs et commentatrices qui ont fait que je me retrouve pour la première fois avec 3 plumes sur Oniris, c’est bien plus que je ne l’espérais !

Myndie

Votre commentaire me va droit au cœur. Je suis content d’avoir apprend plutôt respecté le tableau que vous proposiez. J’ai mis ma part de féminité dans ce poème, d’où le « folle » et votre impression qu’il pouvait s’agir d’une poétesse.

C’est assez curieux parce que j’ai choisi votre image qui m’a immédiatement inspiré sans prendre la peine de lire ce que vous aviez écrit, en fait, je ne l’avais même pas vu dans un premier temps. C’est après avoir écrit la majorité du poème que je suis retourné voir l’image et que j’ai vu les mots que vous y apposiez.
J’ai trouvé que mon texte collait assez bien et avec le tableau et avec vos mots, je me suis dit qu’inconsciemment et en toute modestie, j’avais saisi à ma façon l’essence de ce dernier.

J’ai choisi le quetzal pour deux raisons. Non seulement la longue queue de votre oiseau m’y a fait penser, mais en plus, c’est ce qu’il représentait qui m’a fait penser à lui, la liberté. Je trouvais intéressant qu’une main retienne captif un symbole de liberté pour des raisons qui sont ensuite expliquées tout au long de mon poème (enfin, c’est ce que j’ai essayé de faire du moins !).

J’ai choisi « L’Oiseau de feu » comme titre du poème, car cela collait également avec l’histoire que je souhaitais raconter. L’Oiseau de feu représente autant une bénédiction qu’une malédiction pour celui ou celle qui le capture.

Les émotions, regrets, souffrances, espoirs sont les miens, j’ai mis beaucoup de moi,de mon vécu dans ce poème. J’ai une vie plutôt équilibrée aujourd’hui, mais à travers ma poésie, j’évoque souvent un passé empli d’autant de joies que d’extrêmes souffrances, merci d’avoir remarqué tout cela.

Je suis heureux de m’apercevoir que l’idée de contraste que j’ai voulu faire passer a bien été décelée, il y a de la lumière et de la nuit, de l’espoir et de la souffrance. D’ailleurs dans « Pour le temps d’un soupir, ne plus m’estimer folle » j’aimais beaucoup le fait que l’on puisse marquer un temps d’arrêt entre « m’estimer » et « folle » ce qui donne « Pour le temps d’un soupir, ne plus m’estimer » qui souligne la grande détresse dans laquelle se trouve la personne qui est au centre de ce tableau.

Vous avez entièrement raison pour le point d’interrogation, la ponctuation n’est pas mon fort ! marimay a d’ailleurs gentiment fait des ajustements à ce sujet (de ponctuation uniquement, il m’était interdit comme chaque participant de changer un seul mot une fois le texte envoyé !). Certains ajustements que je lui avais demandés avant publication, mais pour le point d’interrogation, c’est elle qui a pris l’initiative et je la remercie pour cela.

Merci pour la ténébreuse étoile, j’aime bien cette formule également.
Merci pour votre chaleureux commentaire.

Cristale

Après Myndie qui trouve l’écriture aboutie et aime beaucoup, c’est à votre tour d’avoir la même appréciation. Je suis comblé, cela va au-delà de mes espérances. Deux grandes plumes oniriennes qui donnent la note presque maximale à mon poème, je n’en reviens toujours pas, et deux lauréates de surcroit !

Merci pour votre perception de ma sensibilité, c’est un bien joli compliment.
Ah le fameux vers sept, celui qui fâche !

Je pourrais bien dire qu’à la place de ‘de l’infâme geôle » j’avais d’abord opté pour « de l’odieuse geôle » et qu’en changeant de mot je n’ai pas vu qu’il manquait une syllabe à ce vers, mais il n’en est rien, ce serait vil mensonge !

C’est une erreur technique qui m’empêche d’avoir un sonnet aux alexandrins presque irréprochables. Voyez-vous, j’ai toujours cru que le mot « geôle » se prononçait en deux pieds « gé/ole » avec le o de folle. Du coup, ça collait bien à priori.
Après, ce n’est pas dramatique en soi, c’est quelque chose que je peux rectifier et que je vais immédiatement tenter de rectifier en vous proposant d’autres choix.

Je pourrais écrire « l’odieuse geôle » justement, mais geôle rimant avec épaule et non avec folle, cette solution m’apparait litigieuse.
Mais j’ai plus d’un tour dans mon sac !

Voici ce que je vous propose :

« Et bannir le dragon de l’âpre nécropole/Où mon cœur a passé d’invivables hivers »
Le dragon serait alors plus perçu comme un démon plutôt que gardien de la geôle.

Ou bien « Et bannir le dragon de l’antre malévole/Où mon cœur a passé d’invivables hivers » cette proposition d’un point de vue rimes me semble intéressante. En effet, je me retrouverai qu’avec des rimes en ole avec consonne d’appui en v ou avec f en équivalence du v. Cela ferait que pour les deux quatrains, j’aurais un oiseau captif de mes mains, mais a qui je dirais inconsciemment de s’envoler « vole/vole/folle/vole ».

Puisque j’en suis aux changements, j’hésite à employer la formule redondante « Où mon cœur a vécu d’invivables hivers » je me dis que « a vécu » sonne peut-être plus poétique que le plus prosaïque « a passé » qu’en pensez-vous (pas que Cristale, tout le monde peut donner son avis).

Et un dernier doute pour le dernier vers « Ne laisse pas sombrer ma lumière en ta nuit  !» ce n’est peut-être rien, mais je me demande si ce vers n’aurait pas encore plus de force en changeant le pas par plus : « Ne laisse plus sombrer ma lumière en ta nuit ! »

J’avoue que je compte beaucoup sur d’éventuels retours à ce sujet pour valider ou désapprouver ces quelques changements.

Merci pour votre commentaire qui me va droit au cœur également.

Donlaldo75

Merci pour votre sympathique commentaire et vos félicitations.
Je voulais commenter votre « La vengeance de Pierrot » et non de Zorro, mais je vais vous avouer une chose étrange. Même si je trouve votre poème fort bien écrit, je fais un blocage pour le commenter à cause de la compagnie créole. Déjà en EL c’était pareil, chaque fois que j’essayais de commenter, j’avais cette chanson qu’est le bal masqué qui me trottait dans la tête et cela avait pour effet d’annihiler toute tentative de commentaire, à peine je voulais écrire un mot que mon esprit chantait : « Colombine, Colombine, Arlequin, Arlequin ! » Je vous assure que je ne me moque pas de vous et que ce n’est pas une blague. Je sais qu’il est peu glorieux de penser à la compagnie créole plutôt qu’à la commedia dell’arte, mais j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, voulus le mélomane averti !

Provencao

Merci pour vos mots et vos commentaires toujours en délicatesse et qui saisissent l’idée. « ces blessures se nourrissant de cette lumière de la nuit » vous le dites mieux que je ne l’ai écrit, merci encore.

Robot

Merci pour votre commentaire. Je comprends votre ressenti et je ne peux rien faire contre ça, mais il est toujours intéressant d’avoir divers commentaires qui ne se ressemblent pas tous. Oui pour Geole, je donne l’explication plus haut, je me suis fait avoir comme un débutant. Puisque vous en parlez après édition de votre commentaire, ça me fait penser qu’il fut un temps ou je me faisais avoir un peu de la même façon quant à la prononciation d’Œdipe ou d’œcuménique par exemple. Je prononçais Eudipe et eucuménique quand il faut prononcer Édipe et Écuménique, comme le souligne l’Académie française : « Les mots français tirés de formes grecques commençant par -oi ont soit une initiale en é-, comme économie, soit une initiale en œ-, comme Œdipe, œcuménique ou œsophage. Dans tous ces mots, la première syllabe, qu’elle s’écrive é ou œ, se prononce de la même manière, avec un é fermé. On doit donc dire Édipe, écuménique ou ésophage. On se souviendra d’ailleurs que dans les deux premières éditions de son Dictionnaire, l’Académie française écrivait œconomie et non économie et que des linguistes ont proposé que l’on écrive édème, et non œdème pour que la prononciation et l’orthographe concordent. Cette remarque ne vaut bien sûr pas pour les mots en œ- issus de mots latins commençant par un o-, comme « œuf » (ovum), « œil » (oculus), ou « œuvre » (opus). »

papipoete

Merci pour votre commentaire. Décidément, vous m’en voulez personnellement, vous tenez absolument que mes poèmes soient tous reclassés en catégorie contemporaine. Je me souviens d’un autre poème sur Oniris ou vous m’aviez dit qu’un vers faisait 13 pieds alors qu’il en faisait bien 12.
Bon, vous vous étiez trompé, mais cette fois je m’incline, vous avez entièrement raison. Mais si je devais me faire l’avocat du diable que je suis, je dirais que pour une faute sur un sonnet entier, on peut peut-être retenir l’élan poétique plutôt que cette erreur de ma part ? M’accorderez-vous de rester en néo-classique pour ce poème ?
Dans le cas contraire, sachez que je ne vous en voudrais aucunement, je vous remercie au contraire encore pour votre commentaire !

Geigei

Merci pour votre commentaire.
J’ai moi-même lu quelque chose de vous qu’il me faut retrouver (ce sera facile) et que je veux commenter, car cela m’a beaucoup plu si ma mémoire est bonne !

Oui beaucoup de sentiments douloureux dans ce poème, mais aussi un peu d’espoir ou de recherche de l’espoir. « Si l'oiseau captif s'envole, s'il quitte le tableau, il ira chercher le salut pour l'auteure. » je ne l’aurais pas mieux dit que vous, merci d’avoir saisi l’idée !

Merci beaucoup pour la belle envolée lyrique.
Au plaisir d’aller à mon tour vous lire et commenter.

Merci vraiment encore une fois à toutes et à tous d’avoir pris la peine de lire et commenter mon Oiseau de feu…

Contribution du : 21/05 17:12:37
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Re : L'Oiseau de feu
Maître Onirien
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Le 21 mai, voyons, j'étais où le 21 pour ne pas avoir vu ce retour sur commentaires, un mardi n'est-ce pas ?
Ah mais oui bon sang mais c'est bien sûr ! J'étais occupée avec mes propres remerciements que j'ai postés le lendemain.

Citation :

Polza a écrit :
Cristale

Merci pour votre perception de ma sensibilité, c’est un bien joli compliment.
Ah le fameux vers sept, celui qui fâche ! Voyez-vous, j’ai toujours cru que le mot « geôle » se prononçait en deux pieds « gé/ole » avec le o de folle. Du coup, ça collait bien à priori.

Voici ce que je vous propose :

« Et bannir le dragon de l’âpre nécropole/Où mon cœur a passé d’invivables hivers »
Le dragon serait alors plus perçu comme un démon plutôt que gardien de la geôle.

Ou bien « Et bannir le dragon de l’antre malévole/Où mon cœur a passé d’invivables hivers » cette proposition d’un point de vue rimes me semble intéressante. En effet, je me retrouverai qu’avec des rimes en ole avec consonne d’appui en v ou avec f en équivalence du v. Cela ferait que pour les deux quatrains, j’aurais un oiseau captif de mes mains, mais a qui je dirais inconsciemment de s’envoler « vole/vole/folle/vole ».
Puisque j’en suis aux changements, j’hésite à employer la formule redondante « Où mon cœur a vécu d’invivables hivers » je me dis que « a vécu » sonne peut-être plus poétique que le plus prosaïque « a passé » qu’en pensez-vous (pas que Cristale, tout le monde peut donner son avis).
Et un dernier doute pour le dernier vers « Ne laisse pas sombrer ma lumière en ta nuit  !» ce n’est peut-être rien, mais je me demande si ce vers n’aurait pas encore plus de force en changeant le pas par plus : « Ne laisse plus sombrer ma lumière en ta nuit ! »

J’avoue que je compte beaucoup sur d’éventuels retours à ce sujet pour valider ou désapprouver ces quelques changements.



Waouh ! Vous avez de tels doutes sur ces vers et ces rimes que toutes vos propositions trouvent leurs solutions dans celles que vous exposez.
Faites vous confiance et optez pour ce qui vous convient le mieux, il est préférable que ce choix vous appartienne et non le résultat de propositions exterieures qui ne naissent pas de vos pensées, de vos propres émotions.
Quant aux rimes pour la rime utilisant des mots peu usités dont il faut chercher la signification, je pense préférable de ne pas en abuser car cela nuit au rythme de la lecture et nuit au naturel de l'histoire, donc au poème lui-même.
La poésie se contente aussi de simplicité.

J'ai beaucoup aimé votre poème, l'histoire de ce vers 7 n'est qu'une petite maladresse de jeunesse

Merci Polza pour ce retour généreux, avec mes excuses de ne pas l'avoir lu plus tôt.


Contribution du : 26/05 23:52:54
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Re : L'Oiseau de feu
Maître Onirien
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bonjour poète
Concernant l'examen d'une oeuvre, je regarde à quel point elle me séduit, provoquant émerveillement ou bien tristesse ; son ensemble, de prime abord et sa mécanique, surtout en matière de versification classique ou néo, surtout aussi en forme fixe ne supportant nulle dérogation ( oh, on va pas chipoter !... )
ben si, un mur de pierre de taille aussi belle soit son grain, agencé à la va-vite sans fil à plomb, ventru là et puis là ; ça ne va pas !
je rigole, mais ne sachant plus faire, mon carnet de savoir-faire en main, je scrute, ausculte, et déniche ce petit hiatus, et ce traître de pied en trop...
mais surtout, ne m'en veuillez pas, je m'amuse dans cet exercice et ça fait du bien à mes neurones !
bien à Vous
papipoète

Contribution du : 27/05 10:08:58
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Re : L'Oiseau de feu
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Oui c’était bien un mardi Cristale !

Rien à voir avec ce que je voulais vous répondre, mais toujours à propos de la fête des Mères, avant-hier j’ai regardé le film « La nuit du 12 » diffusé sur France 2.
C’était magnifiquement interprété et glaçant en même temps, car l’histoire est inspirée de faits réels. Si vous ne l’avez pas vu, je vous le recommande chaudement.

En tenant compte de votre commentaire et en ayant lu entre les lignes, je vais donc opter pour « Et bannir le dragon de l’âpre nécropole/Où mon cœur a passé d’invivables hivers » c’est plus fluide et compréhensible que « l’antre malévole », tant pis pour toutes mes rimes en vol qui s’envolent, mais le sens du poème dans ce passage s’en trouve renforcé, je pense. Je garde également « a passé », d’illustres poètes se sont servis de cette tournure bien avant moi, alors pourquoi ne le pourrais-je donc pas !

Pour le dernier vers, je vais changer le pas en plus, ce qui donne « Ne laisse pas sombrer ma lumière en ta nuit ! »

Le pas laisse penser qu’avant lui, ce n’était pas le cas, la lumière ne sombrait pas dans la nuit de l’oiseau. Le plus, au contraire (je trouve en tout cas) laisse penser qu’avant ce dernier vers, c’était le cas, la lumière de la narratrice tombait dans la nuit de l’oiseau.

Or, comme le souligne très justement Geigei « Si l’oiseau captif s’envole, s’il quitte le tableau, il ira chercher le salut pour l’auteure. » Le plus et non le pas laisse donc clairement place à cet espoir qu’a l’auteure en relâchant l’oiseau : « Je t’ai libéré, libère moi à mon tour de mes tourments, de ma folie… »

Indirectement, cela me fait penser à cette citation de Maître Eckhart que l’on peut retrouver dans l’excellent film d’Adrian Lyne « Jacob’s Ladder » (l’échelle de Jacob) qui dit : « Si tu as peur de la mort, si tu te cramponnes trop, tu vois des démons qui t’arrachent à la vie, mais si tu fais la paix en toi, alors ces démons deviennent des anges qui t’affranchissent du poids de la terre…tout dépend de la façon dont tu vois les choses… »

Quant aux rimes pour la rime, je vous rejoins et je comprends, néanmoins (j’y reviendrai dans mes remerciements), à propos de mon poème « Le dragon des bois de Parmeng » chaque rime a été pensée et est le fruit de longues recherches et ne sont pas là juste pour la rime. J’essaierai de vous en convaincre avec des explications plus détaillées.

Je comprends que la poésie se contente parfois de simplicité, mais on ne peut reprocher décemment à Dante Alighieri de parfois devoir faire appel au service d’un dictionnaire pour certaines de ses rimes ou de mots à l’intérieur même du poème.
Attention, je ne me compare pas à lui, je n’ai pas le millionième du quart de son talent, c’est juste pour donner un exemple !

Merci d’avoir apprécié mon poème et pour votre indulgence quant à ma petite maladresse de jeunesse, même si pour citer Dante (enfin la traduction française), j’en suis au milieu du chemin de notre vie…

Merci d’avoir apposé vos mots sur mes remerciements, vous êtes tout excusée

Contribution du : 28/05 18:22:01
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Re : L'Oiseau de feu
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Bonjour papipoete,

Je ne vous en veux pas du tout, rassurez-vous. Bien au contraire, c’est grâce aux personnes comme vous qui scrutez, qui auscultez et qui dénichez les petites erreurs que je progresse. Parfois, pour écrire un poème, j’ai tellement la tête dans le guidon durant plusieurs jours que je ne m’aperçois pas d’erreurs pourtant plus que visibles, comme un hiatus, ou une alternance de rimes non respectée, etc.

Continuez donc à être pointilleux, je ne vous jetterai jamais la première pierre, Pierre

Contribution du : 28/05 18:32:48
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