Merci au CE ainsi qu'aux lecteurs et plus particulièrement aux commentateurs de mon poème : Cyrill, Provencao, papipoete, Robot, ALDO, et Lebarde.

Les formes-sens de la sécheresse ont été bien repérées par Cyrill et Robot ; aussi me pardonnerez-vous en toute cohérence la relative sécheresse de ce retour ! Mais oui, à corps sec, esprit sec ; désolé pour ceux qui voulaient plus de métaphores, la lacune s'est fait ressentir au point que Lebarde s'est senti le besoin de commenter en vers, haha.

Le corps suant et souffrant est-il capable de plus qu'un cri ? Le mien est au moins capable, en sus, de quelques jeux de mots ("extra-vagance", "l'essaim"). Mais la sincérité poétique exige-t-elle nécessairement le strict respect de la forme-sens, et fallait-il qu'elle vous impose ici la lecture d'un texte aussi sec ? Méditons la question...

ALDO, votre proposition sur les clous-moustiques est géniale, je la garde dans un coin de la tête.

Bien à vous tous.

Hiraeth