Mes remerciements au comité d'édition pour avoir accepté de publier ce court récit.

Merci à toi, Cleamolettre, pour ton commentaire.

Je crois que la plupart des gens associent la personnification d'objet à des histoires pour enfant (Pin-Pon le camion de pompier qui accourt éteindre le feu chez Tantino, le joyeux BBQ au propane). Dans un certain sens, je crois qu'il y a une part de nous-mêmes dans les objets que nous chérissons tant ou qui nous remémore de beaux souvenirs. Et si cette part de nous pouvait prendre "vie" dans ces objets, que raconteraient-ils ? C'est un peu ce qui m'a amené à écrire ce récit.

Alors, il y a des termes techniques à propos de la danse classique et du chausson. Il y a aussi ce ton de mélancolie qui habite le récit et une fin triste, mais qui se retourne en espoir heureux (cet esprit des chaussons ira-t-il habité les rêves d'une autre petite fille ?). Des aspects qui ne plaisent pas beaucoup, je crois.

Vilmon

Bonjour Vilmon, je me permets un petit passage sur ton fil de remerciements bien que je n'ai pas commenté la nouvelle.

Je l'ai lu et beaucoup apprécié, mais je me suis dérobé face à la difficulté extrême que j'ai eu à la commenter.
J'apprécie beaucoup l'idée de la personnification (à vrai dire, mes orgues dorment à l'église toutes les nuits depuis des siècles, s'il ne m'arrive jamais de vouloir les accompagner, je m'inquiète souvent pour eux, l'humidité, et pire, la chaleur... :)

J'aimerais un jour écrire une texte de ce type, ce qu'il y a de chouette avec le fait de prêter une âme aux objets, c'est lorsque la démarche prend un caractère spontané, on sent alors vraiment la présence de l'inerte. En littérature, il en va bien sûr autrement.

Je doute que ma nouvelle arrive à la cheville de tes chaussons.
Quoi qu'il en soit, je me suis retrouvé démuni (je veux dire plus encore qu'à l'ordinaire) en voulant poser des mots sous ce récit.

Peut-être y envisages tu une raison qui m'échappe :) !

Salut Jeanphi,

Difficile de répondre à ton questionnement, car je ne peux pas me mettre dans tes "chaussons".

Alors j'y vais avec ce que je crois ressentir parfois après une lecture d'une nouvelle et que je trouve difficile de commenter.
- je suis mi-figue mi-raisin, le récit ne m'a pas assez intéressé pour trouver les mots à écrire à son sujet
- je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture et je préfère m'abstenir plutôt que d'écrire une critique acerbe, i.e. non-constructive
- j'ai apprécié certains points du récits, mais sa logique, son déroulement, sa structure, son développement des personnages, son ambiance ou son originalité ne sont pas assez poussé, selon moi, et, par paresse, plutôt que d'entamer tous ces points, je laisse tomber.
- je ne commente pas, car je crains ce que les autres vont penser ou dire à propos de ce que j'ai écris, ou pour avoir oser commenter
- et parfois je soupire (sans trop savoir pourquoi) et je préfère tout simplement passer à un autre texte.

Il y a aussi des récits qui m'ont plu à lire et là, d'ordinaire, je le commente avec un certain enthousiasme.

À la prochaine !

Vilmon

Mes remerciements à papipoete et Cristal qui sont passé me lire et m'ont laissé un commentaire.

Vous m'avez ouvert les yeux : une prose peut être perçu comme étant poétique, un mélange prose et poème. Dans ma tête, les deux étaient des entités séparées.
Bien heureux que vous ayez apprécié votre lecture.

Merci aussi à ceux qui sont passé lire ce texte.

Vilmon

Citation :
Citation :

Bonjour et merci Vilmon pour ce retour.
C'est sans doute cette note de mélancolie et de tristesse suivie d'espoir qui donne cet aspect poétique à certains passages de votre texte. Ce sont deux "poètes" qui l'ont ressenti ainsi et de façon plus que positive. Mais cela reste une nouvelle à part entière.

Le mélange prose et poème est une "prose poétique". Je n'imagine pas votre texte dans cette catégorie, pas plus qu'en "récit poétique".

La poésie se niche parfois là où on s'y attend le moins, pour moi c'est une plus value dans le contexte de votre nouvelle.

Merci encore.