Un grand merci au CE de me permettre de partager ces quelques lignes.
Merci à tous les intervenants pour vos remarques, ressentis et appréciations.
Ces échanges avec les lecteurs sont toujours riches en découvertes. C’est un plaisir de plaire lorsqu’en retour, Robot, vous m’ouvrez les yeux sur un rapprochement qu’étonnamment je n’avais pas fait entre « volutes de freux » et « volutes de feux ».
Je suis amusée de voir l’esprit de certain prendre le large depuis les berges d’une image, cher papipoete dont le peuplier plonge ses racines dans l’eau … du Doubs peut-être ?
Votre compliment sur l’écriture raffinée me ravit.
Merci également à Myndie et Provencao. Je prends conscience du détachement, de la distance qui enveloppe le personnage au cours de ce passage d’une expérience de vie à une autre, à l’instar du voyage en train où l’on observe le paysage au grès du vagabondage de ses pensées, presque étrangère à soi-même.
Ce sont effectivement des correspondances au pluriel, un tissage au cœur duquel tout un chacun louvoie jusqu’à décider si l’instant suivant sera résilient ou non. Pour cela, il faut savoir se mettre à distance. Merci pour la franchise de votre appréciation Cyrill vous l’avez bien ressenti.
Merci enfin Jfmoods pour cette analyse objective. J’aime beaucoup ces vacances après lesquelles s’ouvrent l’espoir de « combler la vacance du cœur. »

Roxanne