Il fait encore nuit sur l'île de Chatham et je remercie le Comité
Editorial.

Robert est passé qui était armé.

Merci, Marimay , pour l'intervention
et vous correcteurs, heures bénévoles...

À ceux dont la lecture a terni la lumière,
à la franchise des commentateurs de septembre :

Dameer
papipoete
Robot
Eskisse
Provencao
Cyrill



Et à Oniris,
qui a répondu à la question que je ne savais pas me poser.


Déjà plus léger,

ALDO

J'espère que si vous vous apprêtez à passer une nuit salvatrice, que ces commentaires quelque peu décevants, ne vous empêcheront point de faire de beaux rêves ?
Alors, si c'est le cas ; dormez bien cher poète !
papipoète

Un grand merci aux oubliés du merci :

Dameer
Jemabi
Dian
Hiraeth
BlaseSaintLuc
Pouet

Il n'y a pas de clé car il n'y a pas de serrure.

Je ne peux pas commenter un commentaire.

Je pourrais vous remercier, Étienne, pour avoir pris le temps d'une remarquable exégèse,
mais je ne veux pas passer pour une énigme, élire le gagnant d'un casse-tête...

Je pourrais vous remercier de considérer non pas la feuille seule, mais le feuillage
et derrière le feuillage, chercher encore un arbre.

Je pourrais vous remercier de m'encourager en formulant mon projet plus clairement que moi.

Je pourrais vous remercier en donnant la grammaire du pluriel d'Acapulco,
mais je ne voudrais pas qu'une voix adulte corrige la phrase d'enfant.

Je pourrais vous remercier de citer ce vers précisément de Baudelaire, et dont je suis tout imprégné depuis quelque temps, mais ce serait prétentieux.

Mais je vais vous remercier pour : " une « terrasse » qui m’évoque sans que je sache trop pourquoi (...) Christian (...) "la voiture sur l’allée ".

Peut-être que quelque chose, que je désire, passe...

Pas le beau... pas l'émotion...
une mémoire... en construction...


Finalement, merci pour tout ça !