Les anciens l’auront peut-être reconnue, Astéroïde est la version améliorée d’un texte paru à l’occasion d’un concours sur le site. Je l’avais supprimé lors d’un grand nettoyage et j’avais envie de le reproposer. J’aime bien soumettre à nouveau des nouvelles, notre écriture évolue constamment et le public de lecteurs n’est plus le même.
Merci au CE d’avoir autorisé la rediffusion de cette histoire dont le but est simplement de faire sourire au milieu des étoiles.

Kloportes ou humains Vilmon, les instincts primaires sont les mêmes, d’où l’interprétation des premiers qui ont vu le soutien-gorge comme une invitation aux plaisirs des sens.

Toujours des commentaires longs et fouillés Cox, vous ne vous moquez pas des auteurs. L’histoire ne vole en effet pas très haut car elle cherche d’abord à faire dans l’absurde, le comique improbable de situation. Elle se prêterait davantage à de la bande-dessinée je pense… pour adultes.

C’est vrai que cette nouvelle aurait pu être classée en humour Robot, en fait j’ai hésité. La science-fiction l’a emportée car c’est quand même elle qui domine. Heureux de vous avoir diverti.

Exactement Mokhtar, c’est « d'un œil léger qu'il faut lire cette pochade ». Une situation absurde un tantinet grivoise qui veut juste amuser son lecteur, pas autre chose. Un moment de détente qui m’a changé des nouvelles où je sue sang et eau pour produire quelque chose de convenable.

Merci Dameer, je désespérais que personne n’identifie les références auxquelles je faisais allusion (vous avez juste oublié Nal-Hutta, une planète de Star Wars, et je ne pensais pas aux Klingons). En tout cas vous avez de solides connaissances galactiques !
Quant à votre conclusion « ils aiment baiser ! », sans aucun doute. L’amour charnel unifie tous les peuples de l’univers, de la constellation d’Andromède aux limites du Grand Attracteur.

Merci de votre passage Cleamolettre et de vos remarques pertinentes. J’avais bien conscience du caractère frivole de Lilou – à l’heure du féminisme faut pas rigoler avec ça ! – mais ce texte est d’abord une blague avec des personnages caricaturaux. Le militaire rigide, l’archevêque austère, les moches Kloportes, l’écervelée, etc. Bien sûr il y en a que ça ne fera pas rire, je n’y peux rien.
Subtile votre proposition de rattraper le malentendu par un rapprochement avec la mode, ça aurait pu faire une jolie pirouette finale.