Remerciements pour Bel Épi

Je suis content d’avoir vu la parution de ce texte, et grand merci à toutes les bonnes volontés oniriennes, qui œuvrent en silence dont marimay, que dimanche et vacances voient à l’ouvrage.

Genèse

Bel épi est un de mes premiers poèmes, que je présentai en octobre 2013 ; refusé, il resta en attente que je le reprenne quelque peu… 11 ans !
Un sujet qui me tint à cœur, lorsque je constatai dans les bacs-rebuts d’un super-marché, la quantité de pain qui s’y trouvait jeté. De plus, cette manie de trouver " oh trop bon, ce pain noir… ", quand nous nous souvenions ce que racontaient nos parents ( un peu comme le rutabaga, du plus grand chic actuellement )
L’impression qui s’empare de moi, lorsque je reçois le message " votre poésie… a été retenue… ", est toujours la même depuis 2013. Je dois avouer aux modérateurs, qu’enfin lorsque je reçois un REFUS, cela me laisse de marbre, mais il fallut du temps pour cela !

Mercis particuliers
en constatant, qu’aucun PAS n’affligea vos lignes

Lebarde ( bien )  vous me félicitez en maniant la rime, et mes " huit syllabes " vous semblent tenir la route… tout à l’endroit, rien à l’envers ! Merci
Vincent ( beaucoup ) les métaphores de mon poème vous plaisent, et l’écriture de même. Nous aurions pu en faire un bout de chanson ? Merci beaucoup
Mokhtar ( bien ) Mon pain au fournil, ne semble pas cuire dans le même que vous ( fourniil ), mais ce poème sympathique est symboliquement apprécié ; « encore un croûton, cher Marquis » n’est que de moi ; j’aurais pu dire cela, en dînant avec Stéphane Bern ! Merci
Robot ( beaucoup ) un symbole que ce pain, que sans qu’on nous le dise, il était interdit de jeter . Aujourd’hui, on chipote sur " trop cuit, trop mou " alors qu’en certains pays, l’on ne sait même pas la couleur de ce fameux pain . Des octo bien rythmés pour dépeindre ces enfants gâtés ! Merci beaucoup
Boutet ( bien ) l’homme n’est jamais content, et ce poème sur le pain le montre bien… mais sa qualité peut laisser à désirer dans certaines boulangeries ( oui, c’est vrai ! ) merci
Annick ( beaucoup ) le pain, symbole sacré, nourriture essentielle, mais bien banal aujourd’hui ( pour ceux qui ont cet avantage ) pain noir/pain blanc raffinement de jadis pour le blanc, son contraire maintenant ! Ironie et légèreté se marient dans ce poème, au fameux Ver final ! Merci beaucoup
Cristale ( beaucoup ) poème sympathique sur cet indispensable quotidien. Pour ne pas ergoter sur sa qualité, pourquoi ne pas agir comme Vous… en le faisant soi-même ? Des octo aux rimes croustillantes ! Merci beaucoup
Poldutor ( bien ) beau poème évoquant ce symbole du pain ( si tu manges sans pain, c’est que tu n’as plus faim ! ) aujourd’hui, tout se perd laissant voir une aisance alimentaire ? Le dernier quatrain vous plut particulièrement. Merci
Cornelius ( bien ) un jour sans poésie est plus long qu’un jour sans pain ( pourrait-on se passer de poésie ? Je voudrais bien ! ) Merci
Provençao ( beaucoup ) vous avez adoré cette source de vie, ô combien agréable au toucher et au goût diversifié. Heureuse de cette tranche de poésie, aussi bonne qu’une tranche de pain ! Merci beaucoup
Ascar ( beaucoup ) " manger son pain noir ", a perdu son sens de nos jours, pour évoquer des moments difficiles. Poème intelligent que l’on peut extrapoler vers d’autres sujets . Un partage croustillant… merci beaucoup
BlaseSaintLuc ( bien ) pain, nécessité vitale et malgré l’abondance, trouve toujours des raisons de se plaindre. Ironie du pain noir contre pain blanc , et ce dernier vers " cher marquis… ". Nous voici, à réfléchir sur notre rapport à la nourriture ? " Papi doit faire son beurre avec ses octo pas piqués des hannetons " …… Hi hi ! merci

Remarque

Depuis une quinzaine d’années, je souffrais d’un mal intestinal grave, qui me privait du plaisir de savourer un bon repas.
« et si tu essayais de supprimer le pain ?
- pas question !
- remplace-le par du pain " sans gluten " ! »
Ce que je fis, et depuis plus d’un mois, je dîne je soupe me met à table pour tout met… et ça va !

Post Scriptum

Le qualificatif de " petit poème " ne me choque nullement

bonjour Yannblev
le pain qui divise parfois, mais surtout lie les hommes : pain que l'on partage, multiplia aussi selon Saint Mathieu, que l'on mange même " perdu ".
Ce sujet méritait bien une évocation poétique, avec les bons mots ; vous avez passé un bon moment, merci !

Merci d'avoir pris dans le bon sens le terme "petit poème", qui n'a rien de péjoratif. Mon "petit" est d'ailleurs un terme affectif. Notons que votre texte en octo, parce qu'il est bien rédigé, se lit plus rapidement que la légende des siècles.
Amitiés M

Merci d'avoir pris dans le bon sens le terme "petit poème", qui n'a rien de péjoratif. Mon "petit" est d'ailleurs un terme affectif. Notons que votre texte en octo, parce qu'il est bien rédigé, se lit plus rapidement que la légende des siècles.
Amitiés M

Cher poète
Je le prends exactement comme cela !
Petit pour moi, accompagne aussi bien un aimé du cœur, qu'un p'tit vin de derrière les fagots !
Bon après-midi
Papipoète

Bonjour papipoète,

Je partagerais volontiers avec vous ce pain fait par mes petites paluches blanches de farine si vous ne demeuriez pas si loin. Pour vous ce sera sans gluten !

Merci pour vos retours toujours aussi sympathiques.

Bien à vous,
Cristale

Bonjour les poètes(ses)
Moi aussi, je fais mon pain depuis plus de 10 ans et ai usé 4 ou 5 machines à pain.
En fait ce n’est pas trop compliqué et avec la farine que j’emploie ça ne me prend guère que 2 ou 3 mn de préparation.
A l’occasion je vous ferai goûter…

bonjour Cat
Une fois encore, très flatté d'être commenté par de grande, comme de humble plume dont la rémige me fait bomber du torse !
De belles tournures dans ce " Bel épi ", et un brin de malice avec par exemple ce jeu qu'est
" ...de la faim... à la fin "
qu'on aurait pu m'accuser jadis de " là, pour la rime "
ben non, toi tu apprécies !
Ma dernière ligne, " un croûton cher Marquis " comme il est du So Chic, de manger Pain Noir en société, je siège autour d'une noble tablée, et m'adresse à mon voisin...
Ce poème, de mes débuts oniriens, finalement m'apporte grand plaisir !
merci beaucoup

bonjour Mariel ( monsieur ? )
vous avez vu sous mon " bel épi ", un regard sans concession sur le monde actuel, avec sa manie du gaspillage. ( me rappeler d'une table de restaurant, avec la moitié des plats servis, abandonnés lamentablement dans leurs assiettes... je ne vous parle même pas du pain ! )
les vraies valeurs ici prônées avec art et talent, vous ont convaincu. merci

bonjour saintsorlin
" mangeur invétéré de pain ", vous ne concevez pas de repas sans cette mie et sa croûte ( moi non plus, mais je dus abandonner cette gourmandise )
et à part le pain sec dont se délectent les animaux, vous ne cédez pas votre part au chat
vous avez bien aimé mon " brichton "
je vous en remercie