Un grand merci au Comité d’Édition pour avoir permis la publication de mon texte.
Je tiens à remercier chaleureusement les lecteurs. Une mention spéciale pour les dix courageux ou téméraires qui ont pris le temps de partager leurs impressions et commentaires. Votre retour m’est précieux.

Cyril : le spleen est un état que j’affectionne, même si je ne suis pas aussi mélancolique dans la “vraie” vie, mes textes le sont souvent. L’air du temps me fait écrire à l’encre de la feuille morte.

Vincent : effectivement, peut-être y ai-je rajouté (à l’air du temps) un peu de douceur, absolument nécessaire à nos vies et bien sûr à la poésie.

Papipoete : pas d’inquiétude, Pap. Pour certains, l’amour est un crime, il n’y a donc que des preuves d’amour. Les mots, eux, ont du mal à circuler “sans papiers”.
Provençao : le Petit Poucet ne se fait pas dévorer à la fin de l’histoire, il y a donc toujours un espoir pour que les mots d’amour suivent le vent de la passion.

Hiraeth : si les mots d’amour ne sont pas naïfs, que sont-ils ? Je ne voulais pas de grandiloquence dans ce poème-là, il y en a tant sur le sujet qu’il me paraissait adéquat de faire quelque chose de léger qui puisse, tel “les mots”, s’envoler au vent.

Myndie : je cours après le classique sans jamais l’atteindre, comme certains après l’amour. Cela explique l’usage de la rime. Sans, ce serait sûrement autre chose.

Catelena : avec l’acupuncture, j’étais sûr de piquer quelque chose, ce fut votre curiosité.

Malitorne : peut-être aurais-je quelque part réussi à fendre un cœur de pierre ?
Cornelius : je vois bien, au fond, que tous vous avez l’espoir que ces mots d’amour ne se perdent pas, et c’est bien ! Peut-être est-ce les pierres de cœurs que le Poucet sème derrière lui…

Solo… : il paraît que l’amour dure 7 ans, c’est l’âge du Poucet et le nombre de lieues que font les bottes en un pas. Les mots d’amour ne sont donc peut-être pas si loin…


Encore Un grand merci à tous & toutes