Bonjour,

Merci au comité d'édition d'accepter de publier ce récit.

Merci à ceux qui prendront le temps de le lire et de le commenter si le cœur vous en dit.

On peut me reprocher mon incipit pessimiste, cependant, avec les 2 premiers commentaires reçus en EL, sa vérité se dévoile.
C'est à croire qu'on n'aime pas beaucoup parce que c'est divertissant.

Quelques précisions :
référence Alloprof
Citation :
référence Wikipedia
Citation :
Le titre fait référence au rebondissement du récit qui entraîne sa chute.
Pour la fin triste de notre héros (ou anti-héros, on réalise que l'attitude suffisante que prend le personnage principal en introduction est celui d'un profiteur qui manipule par son charme et son adresse en escrime), c'est peut-être une justice divine en réponse à la réplique du duc :
Citation :
Et dans son dernier souffle, le personnage principal cherche sans doute une absolution pour ces actes et ses crimes en demandant à la seule personne présente si elle peut lui pardonner ses tords avant de rejoindre les limbes et d'être jugé. Une crainte aigüe de se retrouver en enfer. La psychologie du personnage bascule d'une suffisance avec l'esprit tranquille et satisfaite à une frayeur d'avoir cumulé qu'une suite de tords condamnables.

J'ai tenté de créer un récit qui reprend un peu du comique des Trois Mousquetaires et des tirades en vers de Cyrano de Bergerac. Un texte d'un style simple et facile à lire, rempli d'actions et de quelques pointes d'humour, mais avec une subtile trame psychologique.

Vous allez me trouver prétentieux, mais je trouve que c'est assez bien réussi.

Vilmon

Note à moi-même: éviter, à l'avenir, de commenter les textes de Vilmon à moins de les trouver génialissimes comme il se doit.
Sous peine de me taper une leçon alloprof pour m'expliquer ce qu'est une nouvelle

Oh la la, on prend mal que j'énonce quelques points pour expliquer ma démarche pour ce récit et éclaircir certains passages.
Je n'affirme pas qu'il est génial, je prétends qu'il est assez bien derrière son air simplet.
On peut penser que je suis chatouilleux, mais je vois que je ne suis pas seul...
De mon côté, je prends note qu'il ne faut pas s'opposer à la critique de Cox (même sans le mentionner directement).

Vilmon

Bonjour,

Durant son combat, Du Trisiac nargue son adversaire en lui adressant des vers.
C’est un poème sur 5 syllabes en strophe de 4 vers de rimes plates qui compare les conflits et les disputes à un combat entre deux escrimeurs. Sans le reprendre ici, voici quelques explications :
1er strophe
Par la pointe et le tranchant de nos lames (nos mots, nos phrases) on tente de trouver le point faible de l’adversaire dans les échanges verbaux ou physiques et on réplique de plus en plus fort.
On peut perdre l’avantage par un seul mot ou un coup mal visé, il faut se reprendre et tenter une autre stratégie.
2e strophe
Chaque tirade ou réplique vise à blesser l’autre, à prendre l’aval sur lui en le meurtrissant.
Le conflit ou la dispute est comme une danse, chacun réplique selon son mode operandi et on doit attaquer pour mieux se défendre.
3e strophe
Il faut user de différentes stratégies et parfois prendre un pas de recule pour mieux saisir une occasion d’attaque.
4e strophe
Chaque réplique réussie permet d’atteindre le chemin de la victoire et une suite de réussites a un effet de boule de neige.
5e strophe
On fait appel à la noblesse du combat respectueux, qu’il y a une implication personnelle à chaque réplique qui dévoile une partie cachée de soi et qu’il n’y a pas de honte à accepter la victoire de son opposant si le combat est juste et équitable.
6e strophe
Lorsque l’on gagne, il faut savourer sa victoire sans insulter ou dénigrer son opposant qui a combattu avec autant d’honneur, le tout pour préserver l’orgueil et la fierté de tous, offrir un moyen de ne pas perdre la face.

Vilmon