Bonjour à toutes et tous,

J’adresse un grand merci à Oniris d’avoir intégré "Le passeur fantôme" à son prestigieux catalogue et un grand merci aux très nombreux commentateurs qui ont pris de leur temps pour me laisser leurs impressions toutes enrichissantes et d’un grand intérêt pour ma plume qui tient compte de chaque observation.

Ce poème est un « dizain de Lochac », (un quatrain, un tercet, un distique et le vers médaillon qui clôt la pièce), dont la forme représente cette embarcation trop chargée entraînant ses malheureux passagers par le fond. Le bruit des vagues, des voix, des cris et … le silence.

Mille mercis à GiL, Lebarde, Poldutor, Myndie, Donaldo, Cyrill, Zeste, Papipoète, Provencao, Jfmoods, François, Cornélius, Ioedane, BlaseSaintLuc, Hiraeth, Famineur.

Prenez soin de vous, et de vos proches.
Avec tous mes vœux pour cette nouvelle année !

Erreur de fil

Bonjour Eki,

"Une plume drapeau qui porte la détresse de ceux qui ont choisi les dangers de l'ailleurs incertain à la mort."

Je suis heureuse de te retrouver sur cette page.
Un grand merci pour ta lecture et ton commentaire souligné de hautes appréciations.

Bien poétiquement à toi

Bonjour Métanort,

"Très bon texte qui réussit à cristalliser la force divine et démoniaque de l'océan ainsi que notre impuissance quand on y est confronté, nous simples humains. Manque peut-être pour être parfait de rendre la terreur plus viscérale (en ramenant la mort à échelle humaine et personnelle à la fin du texte par exemple)."

Saurai-je jamais atteindre la perfection ?

Comment, selon votre point de vue, améliorer, en la réécrivant, la fin du texte pour rendre la terreur plus viscérale ?
Je crains que ma retenue naturelle ne soit un frein à plus de détails macabres.

Quoi qu'il en soit, je vous adresse mes sincères remerciements pour vos hautes appréciations concernant mes vers.

Bonne soirée Métanort
et si vous sortez :