Bonjour à toutes et à tous.

Je souhaite dire un grand merci aux personnes qui ont eu la gentillesse de commenter mon texte.
Qu'il me soit permis, par la même occasion, de préciser un point suite aux messages reçus.
Il peut sembler étonnant de consacrer un texte sous forme "néo-classique" à la gloire de Rimbaud, compte-tenu de caractère pour le moins iconoclaste du personnage. Il reste, cependant, qu'à me réciter les 25 strophes du BATEAU IVRE, je constate à nouveau que son auteur, bien qu'il prît volontiers quelques libertés avec la forme, (les rimes, notamment), eût probablement rejoint le rang des poètes "néo-classiques"sur Oniris... (Suis-je dans l'erreur GilL et Lebarde ?)
Quant au caractère iconoclaste, l'excellent livre de Monsieur Lefrère sur Rimbaud montre clairement qu'après son renoncement à l'écriture, devenu négociant, il était réputé d'une grande probité et sacrifiait davantage aux valeurs et à la morale bourgeoises qu'à l'anarchisme au poing levé...
Je crois donc que ce n'est pas au niveau de la forme ou du modèle que peut se situer le décalage: la différence entre Rimbaud et votre serviteur, c'est que LUI était un génie... et pas moi !! D'où le risque à prétendre chanter ses louanges. Pour être sincère, j'avais peur de me ridiculiser en envoyant ce texte, mais vos commentaires m'ont un peu rassuré : à nouveau, soyez-en remerciés !
Pour le reste, et pour reprendre la métaphore de Dimou, je m'en vais, de ce pas, me "dérégler les sens" avec modération et un fin nectar bordelais...
A votre santé et à vous lire toutes et tous,
Stuart.

j'ai eu vent que certains lycéens d'aujourd'hui traitent le sieur Rimbaud de poète junky.
ce n'est pas totalement inexact, mais au combien réducteur ;)

Un poème couillu Stuart :

Il en faut des balls pour s'attaquer au maudit des maudits !

Que n'a t-il pas déjà été dit sur lui ? Vous renouvelez l'effort avec un genre d'expérience littéraire, à l'image de ce qu'est la lecture des poèmes de notre artiste favori !

Encore bravo, et à la vôtre !