On ne se rend pas compte du confort de lecture qu'offre Oniris tant on y est habitués. Quand j'ai proposé Ce que voit un dragon je l'avais déjà passé au peigne fin, question de respect pour les correcteurs. Pat m'a quand même interrogée sur le choix de

"ce pendant". Pourquoi pas "cependant" ? J'ai répondu qu'à mon sens ce pendant indiquait pendant ce temps, cependant revenait à écrire mais, toutefois, néanmoins. J'ai laissé le choix du terme à mon correcteur qui a choisi de conserver l'expression d'origine.

Au peigne fin ? Le peigne de Pat, fin, l'était davantage ! On ne remercie jamais assez les personnes qui font ce travail de correction pour présenter nos textes dans les plus beaux smockings...

Pour le reste je me demande encore si apporter de telles nuances qui risquent en plus de passer pour des fautes d'orthographe est vraiment nécessaire...

J'ai eu le même genre d'expérience ("jusqu'à ce que je parvienne à mes faims..." qui était justifié également), corrigé par Togna qui a eu la même réaction que Pat...

Je viens justement d'envoyer un mail de remerciements à l'un de mes correcteurs... il est rare de savoir qui lit nos textes, là j'ai su et j'ai tenu à l'en remercier.

Je suis entièrement d'accord avec toi, on ne remercie jamais assez les personnes qui prenent le temps de relire et de corriger nos bafouilles...



Citation :

Euh, oui, j'adore ce genre de jeux de mots , on ne plait pas à tout le monde et il ne faut pas tourner le dos à une originalité parce que le grand nombre y voit une erreur

Voilà désolée, je ne parle pas de ton texte, j'en profite pour flooder, comme dirait Nine

Merci pour eux !

Et surtout : gardez toutes vos petites particularités. Et si vous voyez qu'on en a corrigé en les prenant pour des vraies fautes, n'hésitez pas à nous demander de modifier post-publication. On ne se vexe pas (on est entre personnes civilisées) et on aime bien que le texte publié sur Oniris soit tel que l'auteur l'a voulu.