Merci pour vos commentaires, et le partage que je ressens en les lisant
Vazipépé
De ces tableaux je ne connais que l’été, ce musée n’est pas forcément imaginaire, lorsque je viens le visiter il est parfois plein d’amertumes ; de ces amertumes auxquelles on ne peut résister comme ces petites prunelles ramassées au bord des chemins vers les fins d’été

Thea
Désolé que vous ayez accroché sur ce vers, mais son côté « vindicatif » serait pour moi des paroles prononcées à voix haute, un peu comme une imprécation empêchant de trop regarder en arrière

Eric paul
Je t’avoue que je n’avais pas relevé l’inversion des saisons, mais comme les souvenirs parfois tout se mélange
Pour ce qui est de la neige dans les fossés, c’est une image qui me touche beaucoup, lorsqu’au printemps tout semble renaitre, alors qu’à l’ombre des fossés de vieilles neiges grises s’accrochent encore

Jaimme
Je retiens cette notion de musicalité amère, c’est la meilleure définition que je puisse donner à cet écrit

Ilya
Je conçois ton désarroi, malheureusement ce genre de musée n’est accessible qu’à soit seul, pour d’autres il peut sembler monstrueusement vide et dénué de sens

Chene
Merci de tes remarques, je retiens la modification avec solitaire, ainsi que pour elles, pour ce qui est des alexandrins ou demi alexandrins, je t’avoue ignorer les règles de la métrique, la poésie serait pour moi une espèce de psychothérapie ou le sens est plus important que les mots, il faut que lorsque j’écris cela « me touche »

Domi
J’ai beau chercher je ne trouve pas d’autre formule..
Animal
Ce sont des souvenirs et un endroit réel ou je retourne marcher les matins d’été, cet endroit se trouve à Lavoute chilhac 43 et c’est la route qui mène à Ally

Kamel

Merci d’avoir noté cette réalité ressentie, c’est exactement ce que je voulais partager