Dans le dernier tercet de mon sonnet, Levennard posait la question du verbe rêver : "rêver à" , ou "rêver de"...

voici ce que j'ai trouvé sur le Littré au verbe "rêver":

Rêver est suivi de la préposition de quand il s'agit de rêve : J'ai rêvé de vous cette nuit ; de la préposition à quand il s'agit de méditation : J'ai rêvé toute la nuit à cet incident.

j'avoue que je ne m'étais pas posé la question en écrivant, mais "rêver à l'encolure" est bien dans mon esprit une "méditation" du peintre, "pensant vaguement" (définition du petit robert pour "rêver à") au cou de sa belle disparue.

merci à Levennard pour cette remarque qui m'a appris quelque chose dont je n'avais pas conscience.

quant à l'inversion du verbe en fin de phrase, "on aime ou on aime pas", je pense... difficile "d'expliquer"... sauf peut-être "prolonger" ainsi l'acte de rêver tout en peignant...(?).

bonne journée à tous.

suite...

Et pour répondre à Astras qui parle de" froideur" par rapport à la perte de sa belle, je pense que le peintre a perdu sa belle "depuis longtemps"...j'aurais peut-être du préciser, "jadis" n'est pas suffisant peut-être.

excusez-moi de m' y être prise à deux fois pour faire ce mail, je m'embrouille un peu..

merci pour tous les commentaires qui tous m'apportent quelque chose.

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