Je cherche encore le titre, et vos lumières...

Me voici arrivée à ce bel âge d’or,
Moi qui croyais encore à l’enfance éternelle !
Mais sont venus les temps où, sans pitié, la mort
De nos parents chéris à éteint leur chandelle.

[Suite modérée.

Désolée, Titefee, mais poster un texte en forum est considéré comme du détournement de publication. En plus, nous avons souvent échangé avec vous, à l'occasion de retours sur vos textes, sur les questions que vous posez ici.
Oniris ne fonctionne pas comme d'autres sites où tout se passe en forum. C'est compliqué quand on a l'habitude de le faire ailleurs, j'en conviens.
Mais imaginez que tout le monde se mette à publier sur nos forums ?

Pat, modératrice
Bonne année, quand même...]




et bonne année à tous.

Bonne année Titefée
Votre poème a, selon moi , toute sa place en néo-classique.

En effet, en poésie classique on évite de faire rimer un pluriel (ou un mot terminé par s) avec un singulier
Je vois ici
printemps/goulument
implorants/déchirant
important/longtemps

En poésie classique, le e muet se prononcerait au vers suivant:
J’ai été la grand-mère qui venait admirer
ce qui le ferait boîter

..........

Ceci étant, ces entorses aux règles de la prosodie n'enlèvent rien à la qualité de votre beau poème

Merci à toi,
Alors je corrige car ce sont des erreurs que je n'aurai pas dû faire si je n'avais pas été prise par l'élan dans ce bilan de fin de vie....

et suis désolée de n'avoir pas su interpréter les règles d'Oniris

.