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Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Onirien Confirmé
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08/06/2010 08:34
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Ici, on essaye de bricoler à un petit tutoriel, assez accessible, qui permettra aux auteurs du forum de trouver une réponse aux questions de conjugaison qu'ils pourraient être amenés à se poser. J'ai rédigé ma partie sur les temps et les modes, tubillicarmina travaille - sauf erreur de ma part - sur la concordance des temps, jphil veille à ce que je n'écrive pas trop de bêtises et Pat doit venir rendre mon pavé plus digeste en y ajoutant de jolies couleurs. C'est kewl.


Rappel sur la conjugaison française


Conjuguer, cum-jugare : lier les mots ensemble.

Il s’agit de résumer, sans prétendre à l'exhaustivité, les principaux traits constitutifs de notre conjugaison. Un doute sur la terminaison de tel verbe ? Sur le temps à employer ? On accorde ou on n’accorde pas le participe passé ? Qu'est-ce qu'un mode ? Nous allons tâcher de remédier à ces petites difficultés.


1. Temps et mode


1.1 Les modes


La conjugaison d’un verbe est une question de temps et de mode. Le mode permet de marquer la façon dont le locuteur (celui qui parle) envisage le procès (l’action décrite par le verbe).
Le mode peut être personnel (le verbe dépend d’une personne, il varie en fonction) ou impersonnel (le verbe n’est pas raccroché à une personne, il ne varie pas).
L’infinitif, le gérondif et le participe sont des modes impersonnels; l’indicatif, le subjonctif et l’impératif sont des modes personnels.

Il existe en tout et pour tout six modes, et chacun suggère une approche différente de l’action, de sorte que l’on ne peut les mélanger :

L’indicatif est le mode du constat, il permet d’ancrer l’action dans le réel, de montrer qu’elle est effective.

Le subjonctif est le monde du possible, de la virtualité, de l’interprétation ; il peut également exprimer l’idée que l’action se déroule au second plan, qu’elle découle d’un autre verbe.
Exemple : dans « tu veux que je sois là », le verbe « être » est mis au second plan derrière le verbe « vouloir » ; l’action d’ « être là » est étroitement liée à celle de vouloir, c’est donc du subjonctif.

L’impératif est le mode du désir, il indique la demande, la volonté, l’ordre.



Il arrive parfois que l’on rencontre des petites irrégularités dans l’utilisation des modes. Quelques exemples à brûle-pourpoint :

• « Tu ne tueras point » : il s’agit d’un futur de l’indicatif qui a valeur d’impératif, il donne un ordre.

• « Il aura manqué son train » : cette fois, le futur antérieur de l’indicatif exprime la supposition, il a une valeur de subjonctif.



Que fait-on du mode conditionnel ? Aujourd’hui, nous avons tendance à ne plus le considérer comme un mode à part entière, mais comme faisant partie de l’indicatif. La raison est la suivante : si le conditionnel peut exprimer le souhait, la condition, il exprime également le futur dans le passé. Pour ce genre de choses un peu abstraites, l’exemple vaut mieux que les longues explications :

• « Je pense que tu viendras » : « je pense » présent de l’indicatif, « tu viendras » futur de l’indicatif.

Mettons maintenant cette phrase au passé :

• « Je pensais que tu viendrais » : « je pensais » imparfait de l’indicatif, « tu viendrais » conditionnel présent (de l’indicatif).

Il est finalement plus évident, du point de vue de la concordance des temps, de considérer le conditionnel comme indicatif.



1.2 Les temps


Les temps verbaux ont pour but de situer l’action sur un axe chronologique. Le locuteur choisit un repère (qui peut être ou non le moment où il parle) et considère le procès (l’action décrite par le verbe) soit comme antérieur à ce repère, soit comme postérieur à ce repère, soit comme simultané.

Les verbes se distinguent en trois groupes : le premier groupe pour les verbes en -er (exemple: manger), le second groupe pour les verbes en -ir dont le participe présent donne -issant (exemple: finir), le troisième groupe concentre tous les autres, le plus souvent en -re (exemple: prendre). Un verbe se conjugue différemment en fonction du groupe auquel il appartient.

Voici la liste des temps répartis en fonction de leur mode ; certains vous surprendront peut-être, ou qu’ils soient rarement employés, ou que nous les employions sans nous en rendre compte :

Indicatif : présent, passé simple, imparfait, plus-que-parfait, passé antérieur, futur simple, futur antérieur

Conditionnel (rattaché à l’indicatif) : présent, passé, passé deuxième forme

Subjonctif : présent, passé, imparfait, plus-que-parfait (ces deux derniers sont assez peu employés dans la langue orale)

Impératif : présent, passé

Participe : présent, passé, passé « deuxième forme »

Gérondif : présent, passé

Infinitif : présent, passé (attention : l’infinitif étant un mode impersonnel, il ne s’accorde pas, ce qui ne l’empêche pas d’avoir deux temps : « manger » et « avoir mangé »)


Comme vous pouvez le constater, la majorité des modes ne possèdent que deux temps : le présent et le passé.
Le subjonctif et surtout l’indicatif se distinguent par le grand nombre de temps dont ils disposent.
Pourquoi cette différence ? Peut-être simplement parce que l’indicatif est le temps que nous utilisons le plus couramment, il est plus susceptible que les autres de recevoir des modifications.
Cela marche d’ailleurs exactement de la même manière pour les verbes : avez-vous remarqué que les verbes les plus irréguliers sont ceux que nous employons le plus souvent, comme « être » et « avoir » ?

Voyons de façon plus détaillée les différents temps mis à notre disposition. Nous n’allons pas revenir sur tous les temps, seulement sur ceux qui peuvent poser problème.


Passé simple et passé composé :

Quelle différence du point de vue du sens entre dire « j’ai pris » et « je pris » ? On dira facilement « hier j’ai acheté des navets » mais il semblera bizarre en revanche de dire « hier, j’achetai des navets ».
Ce qui les distingue, ce n’est pas tellement l’écart temporel : un passé composé peut exprimer une action aussi ancienne qu’un passé simple.

En vérité, le passé composé prend le locuteur pour repère et souligne que l’action s’est produite avant le moment où la phrase a été prononcée : il y a donc une idée de proximité entre l’action et celui qui parle.

Le passé simple en revanche ne tient pas compte de ce repère, il met une distance entre l’action et le locuteur : c’est la raison pour laquelle le narrateur d’un livre s’exprimera souvent au passé simple, l’auteur s’efface derrière son histoire.


L'impératif :

Les verbes du premier groupe ne prennent pas de "s" à la seconde personne de l'impératif (exemple: regarde devant toi), au contraire des verbes du second et troisième groupe qui eux en prennent un (exemple: prends tes affaires).

Le verbe "avoir" étant irrégulier, il est le seul à échapper à cette règle et se conjugue de la même manière qu'un verbe du premier groupe (exemple: aie confiance, aie fini de ranger ta chambre à mon retour).


Passé simple et imparfait :

Le passé simple induit une action ponctuelle (exemple : « il se mit à pleuvoir », la pluie commence à un moment précis, l’action est soudaine).

L’imparfait peut exprimer au contraire une action durative (exemple : « il pleuvait », on insiste cette fois sur la durée de l’action ; il ne pleut pas d’un coup, l’averse se poursuit au contraire pendant un certain temps), ou encore une action habituelle, qui se répète dans le temps (exemple : « tous les jours, il descendait de chez lui », l’action n’est pas ponctuelle puisqu’elle se reproduit tous les jours). Le mot « imparfait » (du latin imperfectum) veut dire « qui n’est pas fini, qui est en cours de réalisation » et s’oppose à « parfait » (perfectum) : « qui est fini, achevé ».


Futur simple et conditionnel présent :

Ne confondons plus « je viendrai » et « je viendrais » ! La terminaison en « -ai » est la marque du futur simple, ce qui signifie que l’action décrite évolue dans le futur ; la terminaison en « -ais » est la marque du conditionnel, du possible.

Pour les distinguer, il y a une astuce assez facile : rajoutez le mot « demain » en début de votre phrase, si cela colle avec ce que vous voulez exprimer, c’est du futur.

Exemple: « je viendrai quand tu me le demanderas » (futur simple: on pourrait remplacer « quand tu me le demanderas » par « demain »); « je viendrais si tu m'en donnais la permission » (conditionnel présent: nous sommes dans le domaine de l'hypothèse).
Vous pouvez aussi faire varier les personnes pour les différencier. Conditionnel : je viendrais, tu viendrais, il viendrait... futur : je viendrai, tu viendras, il viendra...


Subjonctif imparfait et plus-que-parfait :

Ces deux temps, relativement rares dans la langue orale, devraient pourtant être employés beaucoup plus souvent que nous ne le faisons. Le fait est que nous commettons sans nous en rendre compte de nombreuses « fautes » de conjugaison, mais ces fautes sont tellement courantes, qu’elles se banalisent et en viennent à ne plus vraiment être des fautes.

Voici ce que dit la règle :

=> Si le verbe de votre principale est au présent, on met du subjonctif présent (idée de simultanéité) ou passé (idée d'antériorité). Exemple : «Je doute que tu viennes », «Je doute que tu sois venu ».

=> Si le verbe de la principale est au passé, on met du subjonctif imparfait (simultanéité) ou plus-que-parfait (antériorité). Exemple : « Je doutais que tu vinsses », « Je doutais que tu fusses venu ».


Conditionnel passé deuxième forme :

Le conditionnel passé deuxième forme a exactement la même valeur que le conditionnel passé, vous pouvez choisir librement d’employer l’un ou l’autre, ce qui ne vous empêchera pas de passer pour un drôle d'oiseau si vous collez un « j’eusse aimé que tu vinsses » au détour d’une conversation.
Le conditionnel passé deuxième forme possède exactement la même graphie que le plus-que-parfait du subjonctif. Exemple : « J’aurais aimé te voir » (conditionnel passé), « J’eusse aimé te voir » (conditionnel passé deuxième forme).




1.3 Temps simples et temps composés


Qu’est-ce qu’un temps simple, et qu’est-ce qu’un temps composé ?

Un temps simple est une forme verbale constituée uniquement d’un verbe (« je mange », « je regardai », …).

Un temps composé est une forme verbale constituée d’un auxiliaire et d’un verbe (« j’ai mangé », « j’aurai regardé », …).

L’auxiliaire, conformément à son étymologie (du latin auxilium : aide, secours) va assister le verbe et ainsi lui donner une nouvelle valeur, le plus souvent une valeur passée.
Exemple : « Il prend » (présent de l'indicatif), « Il a pris » (passé composé).

Les temps composés fonctionnent tous de la même manière. L’auxiliaire se conjugue de façon tout à fait normale en s’accordant avec le sujet tandis que le verbe est mis au participe passé (rappelons que le participe étant un mode « impersonnel », il ne varie pas en fonction de la personne). Exemple : « j’ai mangé », « tu as mangé », « il a mangé ». Il n’existe que deux auxiliaires : être et avoir.

Si le verbe est toujours au participe passé, l’auxiliaire lui se conjugue différemment en fonction du temps.


• Passé antérieur : l’auxiliaire est au passé simple.
• Futur antérieur : l’auxiliaire est au futur simple.
• Passé composé : l’auxiliaire est au présent de l’indicatif.
• Plus-que-parfait de l’indicatif : l’auxiliaire est à l’imparfait.
• Conditionnel passé : l’auxiliaire est au conditionnel présent.
• Conditionnel passé deuxième forme : l’auxiliaire est à l’imparfait du subjonctif (bizarrerie).
• Subjonctif passé : l’auxiliaire est au subjonctif présent.
• Impératif passé : l’auxiliaire est à l’impératif présent.
• Infinitif passé : l’auxiliaire est à l’infinitif présent.
• Plus-que-parfait du subjonctif : l’auxiliaire est à l’imparfait du subjonctif.
• Participe passé "deuxième forme": l’auxiliaire est au participe présent ("ayant mangé").
• Gérondif passé: l'auxiliaire est au gérondif présent.



Auxiliaire « être » et « avoir » : on accorde ou on n'accorde pas ?

Qui n’a jamais hésité à mettre un « s » ou un « e » à la fin d’un verbe au participe passé ? Car si le participe passé ne s’accorde pas en personne (je, tu, il...) il s’accorde parfois en genre et en nombre (masculin / féminin, singulier / pluriel).

Dans quel cas s’accorde-t-il ?

Le verbe au participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet lorsqu'il est employé avec l'auxiliaire « être » (exemple : « je suis fatigué », « elle est fatiguée »).

[Cette règle n'est valable que pour les voix active et passive, pas pour la forme pronominale : "je me suis fatigué les méninges à trouver une formulation adéquate". Plusieurs possibilités d'accord dans cette forme, selon les cas. Dans l'exemple donné, l'accord se fait avec le COD. Comme il est placé après l'auxiliaire, il ne s'accorde pas. Il suit, en fait, la même règle que pour "avoir", expliqué ci- après]

Dans le cas de l’auxiliaire « avoir », le verbe au participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le COD (et non plus avec le sujet) si et seulement si le COD est placé avant le verbe (exemple : « Sophie a pris une baffe », « Sophie l’a prise »). C’est une règle bête et méchante qu’il faut apprendre par cœur.


2. Conjuguons maintenant !


C’est parti pour le traditionnel exemple débile : « écrire » à tous les temps, tous les modes. Je vous cite avant de nous quitter deux conjugaisons fiables disponibles gratuitement sur le net : Le conjugueur et La conjugaison française.


Indicatif

• Présent : « J’écris comme un âne »
• Passé simple : « Hier, tu écrivis comme un âne »
• Imparfait : « Il est certain qu’il écrivait comme un âne »
• Passé antérieur : « nous eûmes écrit comme des ânes »
• Plus-que-parfait : « Vous aviez écrit ce poème avec la délicatesse de sentiment d’un âne »
• Futur simple : « N’en doutez plus, ils écriront comme des ânes »
• Futur antérieur : « Il aura écrit comme un âne »
• Conditionnel présent : « J’écrirais comme un âne »
• Conditionnel passé : « J’aurais écrit comme un âne »
• Conditionnel passé deuxième forme : « J’eusse écrit comme un âne et il se fût moqué de moi » (attention au circonflexe ! ne pas confondre le passé antérieur « fut moqué » et le conditionnel passé deuxième forme « fût moqué »)



Subjonctif

• Présent : « Je ne pense pas que tu écrives comme un âne »
• Passé : « Je ne pense pas que tu aies écrit comme un âne »
• Plus-que-parfait : « Je ne pensais pas qu’il eût écrit comme un âne» (circonflexe)
• Imparfait : « Je ne pensais pas que nous écrivissions comme des ânes »



Impératif

• Présent : « N’écris pas comme un âne ! »
• Passé : « N’aie pas écrit comme un âne ! »



Participe (le participe passé a deux formes: « ayant été » et « été »)

• Présent : « L’onirien, écrivant comme un âne, fait parfois des fautes de conjugaison »
• Passé : « Écrits de la main d’un onirien, les verbes chantent comme chantent les ânes »
• Passé « deuxième forme » : « L’onirien, ayant écrit comme un âne, se surveille désormais et n’en fait heureusement plus »



Gérondif

• Présent : « L’onirien, en écrivant, prend garde à ne pas dire d’âneries »
• Passé : « L’onirien, en ayant écrit avec application, a prouvé que la conjugaison n’était pas pour les ânes»



Infinitif

• Présent : « Écrire comme un âne n’est pas une fatalité »
• Passé : « Avoir écrit comme un âne est la preuve que rien n’est impossible à qui a le courage de lire ce message jusqu’au bout »

Contribution du : 20/06/2010 19:53

Edité par Pat le 20/6/2010 20:52:16
Edité par Pat le 20/6/2010 20:55:26
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Maître Onirien
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moi j'ai une question.

comment fait-on la forme interrogative au présent de l'indicatif à la première personne du singulier ?

mange-je ? écris-je ?

on est obligé de passer par le ''est-ce que'' ? le passé simple ? le ''être en train de faire quelque chose'' ?

enfin, c'est pas vraiment une question, je me demandais si quelqu'un savait pourquoi on ne le disait pas ^^

placebo

ps : c'est hors sujet ?
pps : merci pour le rappel goldmund ;)

Contribution du : 20/06/2010 21:30
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Onirien Confirmé
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Citation :
comment fait-on la forme interrogative au présent de l'indicatif à la première personne du singulier ?

mange-je ? écris-je ?

Une petite règle phonétique du française dit qu'il faut tendre autant que possible à une alternance entre les sons consonnes et les sons voyelles pour faciliter la prononciation des mots. Pour "écris-je", aucun problème : la voyelle [i] de "écris" suivie de la consonne [ʒ] de "je", c'est merveilleux. Pour "*mange-je" c'est plus compliqué, le <e> final de "mange", c'est un "e" caduc, autrement dit, un son qui ne s'entend presque pas à l'oral : on se retrouve alors avec deux sons consonantiques en contact, le [ʒ] de "mange" et le [ʒ] de "je". Dans ce cas de figure précis, on a recours à ce que l'on appelle un "é" euphonique (littéralement, un "é" pour faire joli). On écrit "mangé-je".

Ce "é" euphonique intervient à chaque fois que l'alternance son consonne / son voyelle n'est pas respectée dans la liaison entre le verbe et son sujet postposé (postposé, ça veut dire quand le pronom personnel sujet est placé à la droite du verbe, comme dans tes exemples).

Pat, pour les pronominaux, lâche la bête !

Contribution du : 20/06/2010 21:53
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Visiteur 
Super intéressant.

Le fil est épinglé?

Il faudrait (pour l'Amba) avoir ce fil répertorié sur la FAQ ce qui peut être assez intéressant aussi pour les nouveaux, mais en piqûre de rappel pour les ceusses comme moi qui ont du mal avec le conditionnel et le futur simple^^

Hum...

Non?

Contribution du : 20/06/2010 21:54
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Maître Onirien
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goldmund, quand je disais ''passé simple'', c'est ce ''é'' auquel je pensais, mais que je n'ai jamais vu écrit en fait, merci :)

Contribution du : 20/06/2010 22:05
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Onirien Confirmé
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Attention à ne pas confondre, Placebo, le "mangeai-je" du passé simple et le "mangé-je" du présent de l'indicatif. C'est vrai que ce "é" euphonique est un peu bizarre, mais il se retrouve fréquemment à l'écrit.

Et pour le passage sur l'auxiliaire être et avoir, dans le tuto, y a une balise qui foire.

Edit : j'ai corrigé et effacé les messages d'indication de fautes. Pat

Contribution du : 20/06/2010 22:10

Edité par Pat le 21/6/2010 0:00:58
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
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Merci pour ce travail particulièrement clair et digeste !

Contribution du : 21/06/2010 01:12
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Apprenti Onirien
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Merci beaucoup pour ce travail, clair, précis et surtout trés utile

Contribution du : 21/06/2010 13:20
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Chevalier d'Oniris
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Un grand BRAVO pour le boulot !
Des explications digérables sur la conjugaison, j’en rêvais !

J’ai copié/collé et j’ai rangé dans mes fichiers.
MERCI

Contribution du : 21/06/2010 14:41
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Re : Rappel sur la conjugaison française [WIP]
Maître Pat de Velours
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Petit up !

Contribution du : 04/07/2010 19:15
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"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
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