Merci d'avoir collé cette vignette dans un coin d'Oniris.


Marite, le 'ce qui me plaît sans que je ne puisse en donner la raison' est souvent un critère incompréhensible qui me pousse aussi à aimer un poème.
Gabrielle, le temps trouble parfois les choses qui paraissaient claires à l'époque.
Corto, vos idées sont très sensibles
HERLINE, sympa le petit scénario où vous vous mettez en scène.
ChVlu, vos impressions qui semblent échevelées, sont quand même bien plaquées sur le poème.
POUET, je ne partage pas du tout votre avis sur la facilité qu'il y aurait à écrire un poème court avec en miroir, la complexité que demanderait la rédaction d'un texte 'bavard', donc.
papipoète, oui, j'écris sans balance mais j'aime bien quand les choses ont un certain poids, qu'elles soient brèves ou étendues.
Eskisse, nous aurions l'âge encore de jouer à ce jeu d'enfant, 'chaud-froid', je vous dirais peut-être que vous brûlez.
Provencao, oui, 'les serrures servent aux yeux autant qu'aux clefs' est sans doute la clef de voûte.
Vincente, le 'sens sur le bout de la langue', est un beau raccourci.

Merci à vous tous.

Vous ne donnez pas la solution de l'énigme... Ce qui laisse le champ des possibilités d'interprétation ouvert ...De bon matin après le café, il ne faut pas me poser de telle énigme...lol. à plus de vous lire.

Citation :

Bonjour,

ce n'est pas exactement ce que j'ai dit, ou alors je me suis mal exprimé pour le dire.

Déjà il y a une différence notoire entre un texte "développé" et un texte "bavard", ce n'est pas du tout la même chose. Tenir la "distance poétique" sans lasser le lecteur, n'est pas être "bavard".

Moins on écrit de mots, moins on a de chances de se "tromper", moins on prend de "risques" en quelque sorte, c'est une espèce "d'arithmétique".

J'ai enfin bien souligné la dfficulté de la concision dans l'évocation et c'est bien cela que j'ai mis en miroir avec ce que j'évoque ci-dessus...

Après, heureusement que nous n'avons pas tous le même avis et je ne cherche plus depuis longtemps à avoir raison, encore moins à convaincre quiconque; préférant le mot de Wilde: "Quand on me dit que j'ai raison, il me semble que j'ai tort".

Bien à vous.

Bonjour Lirian,

Je partage assez ce que dit Herline plus haut: vous ne nous donnez pas vraiment d'éclairage sur votre démarche.
J'aurais aimé...

Bravo encore.

Corto

Bonjour Lirian,

Comme Herline et Corto, j'aurais aimé qu'il y ait un semblant d'éclaircissement sur l'énigme qui, si elle ne s'avère pas indispensable pour apprécier en grande partie votre poème, l'irrigue et donc le justifie. En l'état, alors que vous avez un parti pris d'expression énigmatique, vous interrogez le lecteur, non ? ce n'est pas juste pour faire joli ces mots (j'en serai un peu déçu !), vous ne nous donnez même pas la solution à l'envers à la fin du recueil ; vous voyez une sorte de postface avec notes et contextualisation... seule votre réponse à eskisse peut nous informer "en creux".

Herline, Corto, Vincente,

Je n'ai pas envie de vous donner les clefs, tout simplement. On veut absolument décortiquer pour trouver la graine sans voir le fruit. Imaginons qu'un tour de magie commence par l'explication de ses 'ficelles', l'effet serait à plat. Je vous comprends pourtant, je suis aussi très curieux.

Pouet, nous sommes d'accord:'Moins on écrit de mots, moins on a de chances de se "tromper", sur l’orthographe...

Donaldo75, je trouve très intéressante ta vision cubiste d'un poème.
Merci à toi.

Ce ne sont pas les ficelles qui m'intéressent, c'est une lueur de la genèse qui a fait que le "magicien" a décidé de mettre ce tour à son spectacle.

Citation :

Vous voyez, nous sommes d'accord.
Malheureusement écrire sans faute n'a jamais fait un bon poème et la dysorthographie ne saurait disqualifier l'esprit et l'imagination...