Remerciements pour " chute "

« Mais tu l’as déjà dit ! », je sais et pour la 95e fois, je viens redire à ONIRIS le bonheur dont je lui sais gré, d’avoir permis la parution de ce texte mémorable pour moi ! ( si mon genou a oublié, mon pantalon non, troué qu’il était déjà par la morsure de 2 chiens affamés… ) Je sais le travail que nos bénévoles accomplissent entre lectures et appréciations, croisements d’avis, corrections avant publication, et surveillance des commentaires sous parutions ; quand on aime, on ne compte pas mais j’imagine que parfois mesdames et messieurs, devez avoir la tête comme une pastèque ! Un grand merci donc, et la joie répétée de vous lire… quand " votre poésie… a décidé de l’inclure dans le catalogue… " une phrase si simple mais valant son pesant d’or, encore et encore !

Remerciements personnels

Une fois n’est pas coutume, mais écrire à chacun ( e ) d’entre vous reviendrait à dupliquer même phrase à l’infini, tant je reçus d’éloges de lecteurs m’étant fidèles, tout comme d’autres venant là par hasard ?
Je dois avouer que lorsque j’ai la chance d’être publié, j’espère voir mes " fans " ( j’rigole ) et si l’un ( e ) venait à faire défaut, me poserais cette question : mon sujet lui a peut-être brisé le cœur ? j’ai peut-être porté un avis choquant dans mes vers ? Mon histoire était vraiment trop triste ? Mon héro ( ine ) était peut-être trop intime ? j’ai peut-être défendu une cause indéfendable ? Ou tout simplement mon texte était peut-être très mauvais ?
Sur ce dernier point, j’ai la prétention de dire qu’entre 2013 et 2022, ma plume fit des progrès et qu’un texte que le Comité s’accorde à publier de moi, atteint un niveau d’écriture acceptable au commun des regards.
Sur mon dernier poème, j’aurais pu chouiner, me bornant à me lamenter sur mon sort de " marcheur non patenté ", que peu à peu le fauteuil à roulettes lorgne ! ( tant qu’à faire, j’en voudrais un de marque PORSCHE… ) mais je me sens malgré tout favorisé par la nature, de m’avoir conduit jusqu’à mon âge… respectable de 72 ans !
Je veux redire que lorsque je commente des textes, et que je me permets de relever des " fautes, mauvaises tournures, autres ponctuations ", c’est que j’écris moi-même à l’inverse... de qui le fait sans que nous ayons l’occasion de déguster ses écritures !
Depuis 2013, j’ai noué des liens ici et même avec qui fut peu amène à mon endroit, suis venu le lire et commenter ! Et découvre plus tard, toujours ébahi son passage inattendu au pied de mon texte.
Il n’y a désormais dans cette chaleureuse maison, qu’un auteur ( talentueux ) que je ne suis plus, blessé par lui que je fus à maintes reprises… qui se reconnaîtra !
Ma " chute " attira cette fois-ci encore des amis, des auteurs appréciés, dont de " hautes pointures " qui me font tant honneur sous mon humble ( mais régulière production encrière ) et cela me pousse devant, sans songer au malin qui m’épie là-bas !
Alors oui, à charge de qui voudrait me nuire,
" je suis facilement impressionnable "
devant qui le talent m’est indiscutable, me fait envie, me ravit, me stupéfie

Je suis heureux que l’on m’appelle " papi " ( et nombreux furent ici celles et ceux qui le firent… partis sous d’autres latitudes ou hélas au-delà du Ciel , dont la liste serait trop longue ) et ce vocable ne rimant pas avec " vieux machin " , je le prends avec plaisir comme chez moi l’on m’appelle " pierrot "…
Ainsi, j’adresse mes vifs remerciements, avec les yeux embrumés d’émotion à :
socque
Miguel
Lebarde
Robot
Cyrill
pour leur lecture en aveugle

AnnaPanizzi ( de papi !!!!!! )
Zeste
Provençao
Mintaka
Polza
Annick
poldutor
Pouet
Cristale ( que je n’aimerais pas ?… )
Angieblue
pieralun
Flableur
Luz
Donaldo75
assagui
Myo
inconnu1

je vous redis ma grande fierté ce jour encore !

" je suis tombé par terre ", en ai fait quelques vers, qui eurent l’heur de vous plaire…

j’en ai plein dans mes tiroirs, et ma cabèche... je les lancerai au bout de vos lignes, vous conviant à leur pêche.

papipoète/papi/pierre/pierrot

Moi, tant que je resterai ici, tu seras toujours mon "papi" et pourvu que tu nous régale encore avec des poèmes de la qualité de cette "Chute".

Petite Anna

Merci papi pour être là. Dans un de mes premiers poèmes, je disais a peu près qu'avoir un poème édité sans votre commentaire, c'était un peu comme avoir un gâteau d'anniversaire sans bougie.

Bien à vous

Un gâteau d'anniversaire sans bougie, l'expression cher inconnu " connu " me touche !
Je fus papi pour trois petits-bouts et deux grandes " d'adoption ", et ce temps-là est derrière moi ; et l'on m'oublie un peu, beaucoup même mais tant pis, j'ai connu ce bonheur !
Ce bonheur de choyer, d'amuser, de faire découvrir notre Terre chérie, et apprendre les valeurs, l'art... bien loin maintenant !
Mais il me suffit d'ouvrir les tiroirs de ma mémoire, pour savourer un premier areu, un sourire angélique ( et aussi première moue ) et m'entendre dire " on va où, papi ? on fait quoi ? tu nous racontes une histoire ? "
Ma plume a noirci bien des vers, où cette époque bénie flottait comme zéphyr ; j'espère trouver encore cette anecdote, ou ce gros chagrin oubliés que vous pourriez lire, de moi.
papipoète

bonjour Queribus
Avec un sujet grave, je parle des vieux ( moi... ) avec leurs bobos, dans l'humour et la dérision. Pas d'envolées pompeuses dans mes vers ( c'est moi qui m'envolai ! ) à la prosodie parfaite, que ma plume maîtrise encore.
Contrairement au " sénior lambda ", je me lève... doucement chaque matin, sans mal ici ou là, et énerve ma mie qui elle...
Je ne suis point " bobola ni tamalou " ( c'est plutôt ma jeunesse qui me gâta de mille maux, dont celui " de pierre " )
je ne peux implorer les augures de m'affubler de ce " manque ", mais là par exemple, je viens de me vriller la cheville en marchant dans l'herbe... aïe !
ça va passer !
encore merci pour votre appréciation, et votre fidélité depuis bien longtemps !
papipoète

Merci Papipoete pour ce si charmant retour sur commentaire, on peut dire que vous vous en êtes bien relevé !

L'occasion pour moi d'apprendre votre âge et de m’apercevoir de ma bourde
Je vous ai "traité" d'octogénaire, j'espère que vous me pardonnerez mais ça allait si bien avec vos octosyllabes !

Signé : un autre papi qui passe en coup de vent, tout occupé de trois garnements en vacances

Effectivement, à 72 ans on est encore un jeune homme papipoete, que dis-je un adolescent mature !



Bien à vous, et encore bravo pour votre texte.

Vos gentils mots font plaisir, d'autant que sous notre toit cet aprèm', ça va mal ( notre petite Maddy cavalier king charles de 6 ans, semble avoir pris rendez-vous avec là... où l'on ne souffre plus )
Sa maîtresse pleure tant et tant ; pas moi, j'ai un coeur de pierre ( mais ça cogne dans mon côté gauche ! )
Demain nous verra sans doute, face à une triste nouvelle !
J'avais écrit un poème sur Maddy, qui n'eut pas l'heur de plaire ici !
je peux l'envoyer en MP à qui voudrait le voir...
Encore merci à vous qui m'aimez bien, me le montrez du bout de votre plume.
papipoète

J'ai trois chats (Gros-Porc, Marcel et Pop-Corn), ce sont mes enfants, si j'en perdais un, je crois que j'en crèverai même si je sais qu'un jour... Je peux comprendre la douleur qui vous touche...

Tu peux m'envoyer le poème en MP

Anna

Trois chats.