Bonsoir Robot,

Merci d’avoir lu et commenté ma nouvelle. La construction est empruntée à Guy Ritchie (je ne sais s’il en est l'inventeur), ses films utilisant souvent plusieurs plans indépendants qui se rejoignent pour le splatch ! final. Et surtout, merci d’en avoir apprécié l’humour. ;=)

Bonsoir MarieL,

Merci beaucoup d’avoir lu et commenté mes petits bouts de vie (et de mort) posés en chassé-croisé.
Et encore plus de les avoir trouvé crédibles. ;=)

Bonsoir Cox,

Bah, les nouvelles c’est un peu comme les blagues de comptoir, s’il faut les expliquer le charme est rompu. Il y a un public spécifique, pour les blagues de comptoir, les apprécier demande des années d'études approfondies, souvent couronnées d’une cirrhose. En cas de bide, le conteur est rassuré sur sa performance si au moins un des spectateurs a souri.

Peut-on confondre une bijouterie devant laquelle on vient se garer et une maison de receleur entourée d’un jardin ? Sûrement, je me suis déjà pris les pieds dans le plat de nouvelles approchées sous le mauvais angle.

Effectivement, Marie-Louise n’est venue s’incruster dans le récit que pour “pénétrer sans vergogne les voies de Dieu”. Et je dois avouer que par les temps qui courent, cela me suffit amplement. Merci pour la formule. ^^

Quant à la mort d’Ernest, il faut mettre ça sur le compte d’une vengeance personnelle de l’auteur, je dois l’avouer. Le plan, lui, s’est développé au fil de l’eau, avec les aléas de ce genre de construction, j’en ai bien peur.

Grand merci pour votre lecture attentive et votre commentaire.

Coucou Myndie,

Tu as éventé mon plan marketing : Comment avoir quelques primo lecteurs sur Oniris ? Pas en cochant la case SF, ça c’est sûr. ;=) Après, il faut apprécier la rubrique en phonétique : Sang-timental/Romanesque. Elle n'est pas de moi, mais d’Annick et m’a bien fait marrer. ;=)

Je n’avais pas pensé à Inarritu (notamment à son Babel), tu as raison. Mon guide, dans ce genre de construction, est plutôt Guy Ritchie (pour le côté déconnade), mais l’idée est la même.

Pour le côté San-A, je tente, mais approcher le maître reste juste un idéal. ;=)

Un grand merci, Myndie, pour avoir lu et commenté cette nouvelle. Si en plus tu l’as appréciée, je suis comblé. ^^


Bonsoir Dameer,

Bien vu le les “personnages avec lesquels on a peu d’empathie”. C’était l’idée, commencer par un mec assez détestable (le gendarme), pour s'apercevoir qu’il y a toujours pire (un receleur), plus pire encore (un tueur de sang froid) et pire de pire (un grenouille de bénitier). On peut, bien sûr, changer l'ordre des “pires” à sa guise. ^^
Côté scénario, il me semblait évident que s’il y avait un receleur, il fallait forcément une bijouterie cambriolée, mais, c’est vrai, cela manque certainement de précision.
Une quantité maximale de cadavres par nouvelle ? Diable ! ;=) Je pense à ce bouquin de Frédéric Dard où les cadavres s’empilent dans de telles proportions que cela finit par devenir l'élément comique du livre. Malheureusement, ma mémoire me fait défaut pour retrouver le titre.

Un grand merci pour avoir lu et commenté cette nouvelle ! ^^

Bonsoir Pepito

Je me rends compte que mon comm est assez proche de celui de Myndie et que vous-même aviez cette intention dès le départ de donner un style cinématographique à l'ensemble.
C'est réussi sur la forme donc (la façon de "raconter"), j'ai moins aimé le fond (ce que ça "raconte").

Hello Pepito!

Pour le côté San-A, je tente, mais approcher le maître reste juste un idéal. ;=)

Mais justement, que serait ce monde sans nos idéaux? Il faut y croire; d'ailleurs n'est-ce pas Frédéric Dard qui a écrit "J'ai essayé, on peut"?
Et puis ma culture de cinéphile est incomplète: je connais plus Guy Richie comme ex- M. Madonna que comme cinéaste

Merci pour ton retour et tes remerciements Pepito!

Bonjour Pépito, et merci pour les explications!

Effectivement, du coup, je me rends compte que je n'avais pas compris le texte. Je n'avais pas envisagé que Maurice soit receleur: en cours de lecture, je pensais à un vieux riche avare et collectionneur de bijoux qui se complaisait dans leur admiration. Quand il mentionne qu'il envisage de les retailler, j'ai pensé à un bijoutier/designer. Et puis après avoir lu le dénouement, comme je l'ai mentionné, il me paraissait logique que ce soit le bijoutier-cible, à son domicile/sa boutique.
C'est un peu contre-intuitif de commencer par le receleur avant le cambriolage, puisque l'histoire s'arrête finalement avant que Maurice ne soit impliqué. Le liant, encore une fois, me paraît moins net que si c'était le bijoutier. Je n'ai pas trop repéré d'indications pour suggérer que c'est un receleur plutôt qu'un vieux pingre quelconque.
Ça renforce mon impression qu'on pourrait faire pencher la balance un peu plus du côté de la clarté. Je suis d'accord quand vous dites qu'on peut ruiner un texte à être trop explicatif, mais il y a toujours un équilibre à trouver entre la clarté des idées et la lourdeur des explications. Pour moi, il n'est pas tout à fait atteint ici, mais c'est délicat!

Bonjour in-flight, si le coté cinoche était bien visé, rien d’aussi sérieux qu’Iñárritu. L’inspiration venait de « Snatch », « Arnaques, Crimes et Botanique » ou « RocknRolla » (tous de Guy Ritchie) et par comparaison, je suis loin du compte au niveau nombre de morts et autres sévices. Je ne parle même pas des rebondissements abracadabradantesques (faudra que je pense à le déposer, celui-là).

Je ne connais pas « Short cuts », mais je vais combler ce vide le plus rapidement possible. ^^

Merci pour la lecture et le commentaire.


Bonjour Charivari , « j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour être sûr » je prends ça pour un compliment. Un parce que j’ai été suffisamment accrocheur pour mériter une relecture, deux parce que le but était d’écrire quelque chose un poil remue méninges. Un poil, hein, faudrait pas non plus me mettre à rêver.

Merci beaucoup pour la lecture et le « agréable à lire ».


Cleamolettre : Ah, ah… je m’en doutais. Contrairement aux noms de familles, les pseudos sont révélateurs. Deux jeux de mots consécutifs dans le votre augurait d'un esprit bien tourné.

Pour les « gilets jaunes » je plaise coupable, même si on ne devrait pas s’attendre à ce type de réaction chez ce genre de Tonton. ^^

« A ce propos, très bien le fait d'implanter les jumelles sans les nommer, ça préserve la surprise et permet au lecteur de faire bosser un peu ses méninges. »… que vous répondre, si ce n’est que je suis aux anges. ;=))

J’ai pensé à donner un plus grand rôle à la voisine (ou à la mère Denise), mais mon pack de bières finissait et, du coup, l’envie s’est tarie. ^^

Poser de « l’amoral » en sang-timental/romanesque, quoi de plus naturel ? ^^

Un énorme merci pour cette lecture approfondie et ce commentaire chaleureux. Vraiment, cela fait plaisir. ;=))

Myndie, kouha ! Tu ne connais pas des films merveilleux comme « Snatch », « Arnaques, Crimes et Botanique » ou « RocknRolla » ? Il faut vite combler cette lacune, tu perds de grands moments de philosophie.

Côté idéal, je suis partagé entre Dard et Jaworsky, autant dire que je ne suis pas arrivé.

Merci encore pour ta lecture !

Cox, pour pallier aux déconvenues de mélange du temps, je vous conseille la lecture du "Dechronologue" de Beauverger. Le thème est un mélange d'amour courtois et de SF. Plus aucune saute du temps n'aura de secret pour vous par la suite. ^^

Sinon, trouver l'équilibre est impossible, à moins d'adapter le texte à chaque lecteur. Avec l'IA, peut-être... ^^
Merci encore...

@ Catelena: coucou Cat, « dérouler avec subtilité » ben dis donc, ça c’est gentil. J’ai du mal à m’y reconnaitre. ^^
Le déroulé n’est pas des plus clairs, c’était en partie voulu, en partie seulement. Pour les gilets jaunes, j’avais une version plus discrète en première kriture, mais cela avait échappé aux pré-lecteurs. Du coup, j’ai forcé le trait… un peu trop manifestement.
Bon, comme tu le sais, pour la réécriture c’est rappé. Ou alors pour une prochaine édition. ^^

Un énorme merci pour toujours venir me lire et laisser un sympatoche commentaire en bas de mes nouvelles. ;=))

Ay, Pepito ! (*)

c'est souvent comme ça avec la subtilité, tu la déroules, tu la bichonnes tant et plus, et bam... elle te file entre la plume à te filer un pète au casque (comme on dit par chez nous ^^).

N'empêche, un bon vent d'humour à ta sauce, ça fait toujours un bien fou à l'oxygène.
J'en redemande !...

En attendant d'être resservie, merci pour ton retour, sympatoche aussi.


Cat

(*) j'hésitais entre ''ay !" et ''caramba !"

Cat, les deux me vont bien : ay ! ay ! caramba !