** passe déposer des @Pieralun **



Non mais bon, je suis d'accord avec Notrac.
En plus la rime, faut qu'elle soit belle, Na!

Raf, oui, évidemment !

écrire... mais parfois savoir d'où les choses viennent et chercher à les comprendre, ça permet aussi de dépasser, de transcender sa propre écriture...

D'accord avec toi.

En même temps, si on passe son temps à chercher, on écrit plus...

(Schtroumpf grognon MAIS philosophe itou)

Moi, le jour où je ne chercherai plus, je crois que je n'aurai plus rien à écrire...

A moins de reproduire ad nauseam une belle technique ? Je n'écris pas pour ça...

Écrire c'est chercher, en soi et en dehors

bon mon Is...

Je cherche aussi entendons-nous bien...

Fredericbrulls devrais savoir ça je crois (l'origine machin de la rime tout ça et pourquoi et comment et surtout, surtout, devant ou derrière la porte du manoir...!!). Faudrait lui dire de passer...

Sinon oui, disais-je, je cherche...

Mais j'ai pas besoin de savoir d'où elle vient pour reconnaitre une rime.

Une rime c'est un son.

Donc je suppose que dès qu'on a pu pousser des sons on s'est mis à rimer... l'origine doit tenir son essence au paléomachin comme pour l'écriture et l'art... et au final, je m'en fiche pasque, moi, j'aime pas la rime!
Na

Estelle, auteur libre
qui peut rimer
si elle le veut
mais préfère pas!
Na!



* s'enfonce dans un nuage de plumes *

Modération

On se calme sur les métaphores lubriques, c'est tout public ici, et on ne floode pas non plus.

Citation :


Le questionnement systématique est le propre de certains. Ecrire m'est un acte libérateur, tandis que réfléchir (et parfois trouver) m'est une activité révélatrice. Il m'est impossible dans ma conception des choses d'accepter qu'écrire serait "mieux" que réfléchir ( ou se masturber intellectuellement, ce qui se révèle être, à défaut de productif, un excellent exercice.), car ces deux actes sont pour moi de natures différentes.

Si je désire connaître l'origine de la rime, c'est par besoin de savoir ce que je fais. Trouver un sens à une chose qui n'a pour moi à la base pas énormément d'attrait.

Et quant au terme de "lubrifiant", je suis désolé d'avoir recours à la vulgarité, mais je cherche une réponse, et je sais que les mots chocs font embrayer le cerveau plus vite et plus efficacement (C'est en gros le principe de la publicité. Honte sur moi d'utiliser de tels moyens.).

[Et voilà, je m'étais promis de ne pas écrire un brique. Raté!]

Je t'ai bien lu Is, tu as tort de te moquer ainsi très anciens! Ils ont les arguments que leur mémoire veut bien leur rendre. Imagine la main tremblotante qui guide le "mulot", et qui, veinée d'indignation, découvre ton propos railleur à mon endroit. Quand la jeunesse respectera-t-elle mes 85 printemps.
Bon! Je te pardonne! De plus, je répondais au premier Onirien (apprenti).....je préfère me venger sur le petit peuple que d'attaquer de front les maîtres de ces lieux.

Il n'y a pas de maître ici, il n'y a que des plumes qui volent au vent...

Ces titres ne donnent rien comme droit, ils sont juste là pour le fun et l'attractivité. Je suis ici en tant que Is et pas que maître gaffomachin.

Je voulais simplement faire remarquer que la poésie n'avait pas commencé au 16° mais avec les premiers borborygmes...

en l'an - 500 000 et des rawettes (des petits bouts, comme on dit par ici)

Citation :


Soit. La "libération" n'existe pas à mon sens mais bon, moi je donne juste mon avis hein, chacun fait comme il veut.
Réfléchir sur le pourquoi du comment de l'écriture plutôt que d'écrire est un choix et je le respecte.