Je n'ai pas dit qu'il était insultant. J'ai dit qu'il frisait la stupidité. Et ce n'est pas vic palezzo que je traite de stupide, mais une partie de ses commentaires. Je ne fais pas l'erreur de mélanger auteur et propos dans ce jugement.
Passons sur son ignorance de choses toute simple comme le cas du divorce et du partage des biens. La seule analyse qu'il fait, sur la chronologie, tombe à l'eau par un simple fait : 10 ans + 5 ans, n'ont jamais fait au total dix ans... mais quinze. Je veux bien discuter, mais si on ne sait pas faire une simple addition, je reste impuissante...

Bon, j'admets y être allée un peu fort pour quelques erreurs de commentaires sur un texte qui mérite certaines améliorations, mais ce manque de rigueur ( alors qu'on me fait ce même reproche dans mon texte ) étalé sur trente lignes a eu le don de m'agacer un dimanche matin...
J'ai pris mon café depuis et admets avoir réagi de façon trop impulsive.

Oups, Vic Palezzo, votre réponse m'avait échappée (restée en première page, tandis que j'étais déjà sur la deuxième)
donc je vais vous répondre directement, c'est plus poli et la faire courte, par rapport à mon MP : 10 +5 n'ont jamais fait dix mais quinze au total...
A partir de là, vos vingt lignes de commentaires ne servent pas à grand chose... désolée.
Pour le reste, si vous n'avez pas compris ce que d'autres comprennent aisément... ma foi. Que dire de plus, dès l'instant où vous m'affirmez avoir lu sérieusement ?
[passage modéré : hors sujet]
Là, tout y est très clair et très bien expliqué... sans nulle doute.
Mais je suis encore impulsive... c'est un défaut chez moi.

Autre manque de rigueur chez vous : la question du prêt de la maison : le mari se taille, ils divorcent, elle garde la maison puisqu'elle n'en part qu'ensuite. Alors, sans doute ignorez vous tout des subtilités du divorce. Mais dès lors où c'est elle qui garde la maison et que le divorce est prononcé et donc le partage des biens effectué, c'est à elle de rembourser le prêt... Et quand bien même les dettes seraient partagées en deux, c'est la perte de son travail qui crée la bascule au niveau financier, même en admettant qu'elle n'aurait que la moitié à rembourser...

Et je peux continuer comme ça sur la quasi totalité de vos remarques...
Bon, on ne peut pas tout savoir, c'est certain... c'est juste l'accumulation d'erreurs de ce genre et votre aplomb à les défendre qui est un peu too much... comme l'erreur d'addition.

Sur la question du sérieux de votre lecture, revenons sur un détail la question de l'argent durant le diner, vous affirmez qu'il n'y fait aucune allusion dans le paragraphe dont vous citez la dernière phrase. Précédée par celle-ci. "Il avait été particulièrement coopératif pour me laisser l'argent". Alors dois-je vous croire quand vous m'affirmez avoir bien lu ce texte ? Lorsque vous zappez la phrase précédant votre citation ?

Mais je vous laisse un point quand je dis qu'il a l'age d'être son fils, j'aurais dû rajouter presque.
Et un autre sur la dose du poison, puisque j'aborde ce sujet là dans mes modifications sur ce texte...

Citation :

Il faudrait justement vous en méfier, puisque vous le savez.

La question de la modération n'est pas de savoir si oui ou non vous tort dans ce que vous dites, mais la manière dont vous dites les choses.

Pour ce qui concerne ce problème de bonne ou de mauvaise lecture, ce n'est pas si évident que ça. Il m'est arrivé de mal comprendre des choses dans un texte (et on a aussi fait des "erreurs" sur mes textes), malgré une lecture attentive. Il me semble plus intéressant d'essayer de comprendre ce qui a pu induire ce genre de chose avant de décréter que c'est forcément l'autre qui a tort.

Bien sûr, parfois, il s'agit de lecture en diagonale. Mais d'autres fois, c'est quelque chose dans le texte qui peut être mal interprété et qui mérite peut-être qu'on s'y attarde, voire qu'on modifie.

Dans tous les cas, il suffit de demander des précisions au lecteur. S'il a mal lu, il admettra volontiers qu'il s'est trompé ou ne répondra pas.

Evidemment si on lui dit qu'il devrait retourner lire "oui oui et la girafe" qui est plus de son niveau, je vous laisse conclure seule sur ce genre de conseil. Le commentateur au mieux vous évitera dorénavant. Au pire, il se défendra avec des noms d'oiseaux, réagissant plus à la manière dont vous l'abordez qu'à ce que vous soulevez comme problème.

Merci de respecter un minimum des personnes qui ont pris de leur temps pour lire et commenter votre texte. Que vous soyez d'accord avec leur critique ou pas n'est pas le problème.

Pat, modératrice.

Mais je dois avouer que vous avez raison sur le fond quant à l'attitude vis à vis des commentaires...
Je serais de très mauvaise foi d'essayer de vous contredire à ce sujet.
Je me suis levée, j'ai pris ce pavé dans la gueule, je suis susceptible ( encore plus quand je viens de me réveiller et que j'ai pas pris mon café), pas parfaite, je me suis emportée et j'ai sorti le bazooka.
Ok. J'aurais pas dû...

Modération

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