Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
07/02/2011 18:15 Groupe :
Primé concours Groupe de Lecture Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Post(s):
11459
|
En même temps, Incognito, vous vous êtes sabordé tout seul : vous nous informez que ce texte n'est qu'un patchwork un peu foutraque, avouez que ça donne pas vraiment envie de se plonger dedans...
Contribution du : 13/05/2011 17:54
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
tu l'as rêvée celle-là je crains...
Je suis un chat, une licorne, tout ce que tu veux du kiwi au lamantin en passant par la citrouille mais la chienne, NON j'ai dit! /me a un petit copain et donc c'est fini ces histoires canines de 2L célibataire ou assimilée, oui? Ciel qu'il est dur de se départir d'une réputation à gros seins... Entre temps je floode tjs mais j'ai tjs pas lu ton texte... ah non, ma thérapeute a dit : ne surtout pas te sentir coupable d'éprouver un manque d'envie ou de motivation, assumer ta molesse et ta paresse, caresser ton égo dans le sens du poil et éviter de lire Incognito. Cependant au prix du smiley, la SEDFF (sans espace de flood fixe) que je suis va devoir te lire et tu sais le temps que je mets à commenter tes textes... *respire, gonfle les seins, triture sa mèche blonde, soupire et repart en boitant, eu égard à son entorse...*
Contribution du : 13/05/2011 19:29
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
@toc-art :
En effet, vous avez raison. Peut-être avais-je besoin de me débarrasser de mes archives et de faire de la place dans mes tiroirs. Il y a pourtant quelques jolies choses écrites dedans, je vous assure. Et certaines choses auxquelles je tiens assez, malgré tout, et malgré cette anti-pub. En même temps, je ne suis pas sûr qu'elle vous conviendraient, mais nous aurons peut-être l'occasion d'en reparler sur votre propre forum. @Estelle : Hein quoi !!! A 19h30, t'étais déjà bien avancée dans l'apéro, il me semble. Qu'est-ce qu'elle disait, déjà, ta thérapeute ? Ne surtout pas te sentir coupable d'éprouver un manque, assumer sa motivation et caresser Incognito dans le sens du poil, c'est bien ça ? @doianM Merci pour votre commentaire. Vous avez une mémoire prodigieuse. Je suis en effet coupable des deux textes que vous évoquez. Citation :
Votre dernière phrase m'a fait hurler de rire. Quelle diplomatie ! Je ne suis pas Proust, c'est clair La liaison, c'est l'étang, tout simplement. Un étang, à Bruxelles, qui en rappelle un autre, à Moscou. Au delà, l'étang devient un lac, envahit par des cygnes. Le héros s'y perd, émotionnellement, et peut-être même corps et âme, allez savoir, comme Siegfried qui s'y noie. Merci pour votre interrogation qui me permet d'aborder ma
Contribution du : 14/05/2011 15:45
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
@toc-art :
En effet, vous avez raison. Peut-être avais-je besoin de me débarrasser de mes archives et de faire de la place dans mes tiroirs. Il y a pourtant quelques jolies choses écrites dedans, je vous assure. Et certaines choses auxquelles je tiens assez, malgré tout, et malgré cette anti-pub. En même temps, je ne suis pas sûr qu'elle vous conviendraient, mais nous aurons peut-être l'occasion d'en reparler sur votre propre forum. @Estelle : Hein quoi !!! A 19h30, t'étais déjà bien avancée dans l'apéro, il me semble. Qu'est-ce qu'elle disait, déjà, ta thérapeute ? Ne surtout pas te sentir coupable d'éprouver un manque, assumer sa motivation et caresser Incognito dans le sens du poil, c'est bien ça ? @doianM Merci pour votre commentaire. Vous avez une mémoire prodigieuse. Je suis en effet coupable des deux textes que vous évoquez. Citation :
Votre dernière phrase m'a fait hurler de rire. Quelle diplomatie ! Je ne suis pas Proust, c'est clair La liaison, c'est l'étang, tout simplement. Un étang, à Bruxelles, qui en rappelle un autre, à Moscou. Au delà, l'étang devient un lac, envahit par des cygnes. Le héros s'y perd, émotionnellement, et peut-être même corps et âme, allez savoir, comme Siegfried qui s'y noie. Merci pour votre interrogation qui me permet d'aborder malgré tout un peu du contenu. Du contenu, il y en a pas mal, mais ce sera sans doute pour une autre fois.
Contribution du : 14/05/2011 15:46
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Hum... dit celui qui voit l'autre bisser... 15h46, l'apéro commence tôt par chez toi (non là à 1h48, clairement tu peux te dire que j'ai une aile qui vole pas droit hein^^)
(tire la langue et puis s'en va...)
Contribution du : 15/05/2011 01:49
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
15/11/2008 09:48 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
20252
|
Bonjour Incognito.
Je viens de découvrir ce matin (c'est dimanche et j'ai du temps libre) que j'avais commenté ta nouvelle en GL. C'est surprenant car j'avais complètement oublié. Je passe chaque jour sur le site mais la publication de ce texte, ne serait-ce que le titre n'a trouvé aucun écho dans ma mémoire. C'est que je pensais qu'il ne serait pas publié en l'état alors j'ai effacé. Je continue à penser qu'il devrait être revu ne serait-ce que pour laisser une trace dans la mémoire après lecture. Bon, bien entendu ceci est très subjectif et les problèmes de mémoire (la mienne) commencent peut-être à pointer le bout du nez...
Contribution du : 15/05/2011 08:31
|
|
_________________
J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini. |
||
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Toc-art avait raison lorsqu'il disait que je décourageais mes camarades oniriens de lire ce texte. Ce n'est pas tant pour moi que c'est dérangeant, mais surtout pour les quelques personnes qui y ont consacré de leur temps : lecteurs EL, correcteurs, CE.
Je me suis donc résolu à faire volte-face et à recourir à une pub d'enfer. Ah mais, c'est que vous allez voir ce que c'est que le marketing sur Oniris ! Pour ce faire, je vais vous conter une petite histoire de coïncidences qui s'enchainent. Alors voilà : Il y a six jours, parvient à la publication un texte par moi commis. Il y est question d'enfance en Russie (U.R.S.S.), d'un violon, de l'amour d'une mère, notamment, mais de bien d'autres choses dont vous ne soupçonnez pas encore l'intérêt. Il y a deux jours, j'ai visionné le film "La tête en friche" (Jean Becker, 2009), dans lequel une petite vieille fait la lecture à un homme presque analphabète. Parmi les extraits de romans lus, figure "La promesse de l'aube", de Romain Gary. L'amie avec laquelle j'ai visionné ce film a eu la même envie que moi d'acheter immédiatement ce roman. Elle a été la première sur la balle. Elle m'appelle donc pour me dire qu'elle retrouve tout à fait mon style dans ce roman et qu'il ne faut pas attendre quatre pages pour qu'il y soit question d'un violon. Je me suis alors remémoré le commentaire d'un onirien sur un de mes premiers textes publiés ici. Il y disait que le style était presque aussi jouissif que du Gary version Ajar. Pour ceux qui ne le sauraient pas, Romain Gary est le seul auteur à avoir obtenu deux fois le Goncourt (et pour cause, puisque c'est interdit). Une fois sous le nom de Romain Gary et une seconde fois sous le pseudonyme d'Emile Ajar. Je n'ai jamais lu Gary ni Ajar. En revanche, un commentateur a signalé une certaine proximité avec le style de Céline. En effet, du Céline, j'en ai lu, j'aurais vraiment beaucoup de mal à le cacher. Rappelons-nous que, suite à des manœuvres fort basses, Céline a été écarté du Goncourt en 1932, qu'il aurait dû obtenir haut la main, au profit d'un roman aujourd'hui complètement oublié. Ce n'est donc pas moins qu'un tripe Goncourt que je vous propose ici à la lecture. C'est garyen, ajarien et célinien. Vous voyez un peu le truc ? Vous ne vous sentez pas ingrat, là, tout d'un coup ? Attendez, c'est pas fini ! Je m'informe sur le contenu du bouquin de notre ami Romain. Il y est question de son enfance en Russie et de l'amour inconditionnel de sa mère. Il y est question aussi de centaines de lettres que sa mère aurait écrites avant de mourir. Elle aurait demandé à une amie d'envoyer régulièrement ces lettres à son fils, après sa mort, pour que celui-ci puisse continuer à croire qu'elle est vivante. Je me remémore alors la lecture effectuée très récemment en mon espace-lecture d'Oniris : une nouvelle où il est question de messages écrits par une mère à sa fille et que cette dernière ne découvre qu'après la mort de sa mère. La proximité est étonnante ! Bien entendu, je ne dévoile rien d'autre de cette nouvelle, en particulier son titre, pour ne pas trahir l'anonymat. Attendez ! ATTENDEZ !!! C'est toujours pas fini ! Après la lente extinction de la polémique née de la parution du dernier texte de Wancyrs, je trouve que nous sommes en ce moment en mal de polémique. Il serait dommage de ne pas s'y remettre, vous ne trouvez pas ? Il se trouve donc, je vous l'annonce, qu'il y a dans ce texte de quoi polémiquer au sujet du prolétariat, du communisme. J'avoue que je pensais titiller Kaos et prendre une volée de bois vert, mais non, rien ! A propos de bois vert, je ne voudrais pas effrayer nos amis modos : je n'aurais aucune intention de polémiquer sur ce sujet. Joke, verts amis ! Bon, alors, c'est pas du marketing, ça ? Je ne peux donc conclure que par une seule chose : bonne lecture.
Contribution du : 18/05/2011 12:16
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Meleagre,
Merci pour votre pour votre commentaire sur un texte au sujet duquel je pensais pourtant ne plus en recevoir. Je vous ai manifestement laissée avec des questions et même des incompréhensions (le terme "mécompréhension" me satisferait mieux, mais il n'existe hélas pas et il faudra dès lors le laisser dans le registre des néologismes hurluberluesques). Tout ceci n'est pas de votre fait, mais du mien, puisque j'ai voulu embrasser trop de choses dans ce texte, en plus de les avoir servies de manière un peu disparates, sans sauce adéquate (sauce: encore l'une de ces choses que l'on doit à ce cher Hubert Dekouate; cfr. le dictionnaire parallèle disponible ailleurs en forum), comme dans un pique-nique très mal improvisé. Je vais tenter d'éclaircir un peu, malgré tout. Citation :
Oui, il s'agit bien de la même personne et je ne pensais vraiment pas introduire d'ambiguïté à ce niveau. Désolé, donc. En revanche, cette personne n'est pas appelée "magicien". C'est même tout le contraire. La phrase suivante, extraite du texte, éclaire assez explicitement sur ce sujet. : "Mon père non plus n'était pas un magicien. C'était un des leurs" Citation :
Je voulais justement qu'il n'y ait pas d'annonce, pour que le choc soit plus brutal. De plus, j'ai voulu pour la description de cette scène un style assez poétique pour accroître encore le choc entre la douceur des mots et la violence de la réalité. Raté, donc ? Citation :
Surtout la musique ! Citation :
Ça me fait énormément plaisir. Merci beaucoup. Car c'est en effet mon grand regret : c'est ce passage là que j'avais repris pour en faire un nouvelle. J'aurais dû en rester là, mais l'évocation des restaurants m'a encouragé à reprendre les parties y consacrées, ensuite d'autres éléments concernant l'U.R.S.S., ensuite l'étang, un autre étang... et tout ça tout ça. Gourmand j'ai été, indigestion j'ai donné. Je me flagelle trois fois par jour depuis. Citation :
Houlà, malheureuse ! On pourrait en discuter pendant des semaines Par exemple : "ne rien se dire", c'est garder entre soi le silence, mais... "rien se dire", variation sur "se dire rien" (incorrect, si vous voulez vraiment insister, mais bon...), c'est se dire entre soi des choses qui ne valent rien. Sur le même registre, je me suis longtemps amusé, en tant que Belge, de la mauvaise façon de parler de bien des Français, avant d'y trouver un variation grammaticale intéressante, qui donne un sens légèrement différent à la phrase, en lui donnant finalement un charme que j'apprécie beaucoup aujourd'hui. Exemple : t'as encore pas éteint la lampe. Ça n'est pas tout à fait la même chose que "t'as pas encore éteint la lampe". Il ne s'agit pas de l'absence d'extinction, mais de la prolongation de l'existence de l'état de non-allumage. Vous voyez ce que je veux dire ? On pourrait même y déceler une accusation de provocation. J'aime voir ce genre de subtilité là où certains ne voient que vulgarité de langage. Alors que je me suis moqué très longtemps de cette façon de parler, elle me ravit actuellement. Des semaines, vous disais-je ! Mais je m'arrête là. Citation :
Absolument pas. C'est un discours du narrateur. J'aurais mal vu ce genre de discours ironique dans la bouche d'un militant communiste. Pensez bien ! : "A la poussière Oulianov ! Bite the dust, comique !", ça ferait quand même sérieusement tâche dans un discours coco. Citation :
Swann n'est ni un violon, ni un tableau, mais une femme, que son père appelle Odette et que sa mère appelle Odile. Sa mère s'appelle Vona Robarte, dénomination fort proche de "Von Rothbart", sorcier du Lac des Cygnes, ayant jeté un sort sur Odette pour qu'elle ne puisse véritablement être une femme, condamnée à redevenir un cygne tous les jours jusqu'à ce que le sort ne soit brisé. Il a substitué Odette, au yeux de Siegfried, par sa propre fille, Odile, le cygne noir, double maléfique du cygne blanc. Le tableau de Man Ray représente à la fois une femme et un violon, qui se confondent lorsqu'il s'agit de jouer la musique. Tous les éléments de ce texte sont liés, notamment et avant tout par le livret du Lac des cygnes, mais je sais que je me suis planté, que tout ceci est beaucoup trop hermétique pour être perçu. Ce n'est pourtant pas mon genre habituel d'être hermétique. Citation :
C'est encore lié, et même très fortement lié. Le livret du Lac des cygnes connait plusieurs variantes, dont l'une, tragique, voit la mort de Siegfried (ici, le narrateur) par noyade dans le lac. D'où les phrase suivantes dans le texte : "Le ciel s'embrase. Mes yeux voient tout en rouge. Par là aussi que ça s'écoule. Des cygnes envahissent l'étang. Mais c'est plus un étang du tout. L'eau monte, me gagne. C'est un lac à présent, en remous et reflets dansants. Et ce barouf d'instruments ! Cordes, cuivres et vents. La fièvre m'inonde. Je crois que je vais perdre connaissance, m'engloutir dans les flots, me perdre aux ondes, aux sources de l'émotion." Dès lors, le lien me semble très fort avec la citation de Céline : "C'est peut-être ça qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir." J'espère avoir apporté quelque éclairage à ce texte mal foutu. Et je vous remercie encore pour votre commentaire.
Contribution du : 24/05/2011 17:53
|
|
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
14/08/2009 22:41 De "A mi-chemin de n'importe où" (Devos)
Groupe :
Primé concours Groupe de Lecture Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Post(s):
3805
|
Bonjour Incognito,
Merci pour ces précisions. Je n'avais pas vu ce forum auparavant, donc certaines de mes remarques étaient redondantes avec celles des autres commentateurs. Pour les libertés de style, je crois avoir écrit en commentaire "familier voire incorrect" : vous explorez avec un certain brio la limite entre les deux, et j'avais perçu, sans en saisir la portée, la nuance du "même à rien se dire". (Au passage, vous dites : "Houlà, malheureuse !" : malheureux, peut-être, mais malheureuse, j'aurais du mal, malgré mon pseudonyme à la consonance féminine). Sur la question de l'initiateur et du père : j'y ai vu une ambiguïté, parce qu'on ne sait pas, en lisant pour la première fois "initiateur", qu'il s'agit du père. Et parce que l'image que le narrateur donne du père évolue radicalement au cours de la nouvelle : d'abord un initiateur qui lui fait découvrir la pêche, l'architecture, la musique, puis le communisme, puis un père violent qui bat sa femme, enfin un père qui lui donne l'occasion d'une forte émotion artistique et l'emmenant au Bolchoï. Sur la scène où le père frappe sa femme : nonobstant l'absence d'annonce d'une temporalité à l'autre (qui peut se justifier par l'effet de surprise), j'ai trouvé ce passage très juste, simple et émouvant, assez travaillé ; les émotions ressortent bien à travers le regard d'un enfant. Je conçois bien que ce texte est un patchwork, ou une fugue (j'aime les métaphores musicales), qui entremêle plusieurs motifs jusqu'à l'explosion du thème final. Je me rends compte, à la lecture de vos commentaires, que cette nouvelle serait à relire en pensant à la clé donnait par cette fin magistrale. Je perçois mieux, du coup, l'importance que prend le passage que vous citez sur l'étang ("Le ciel s'embrase... "), et le questionnement sur les noms Odette / Odile / Swann (finalement intéressant, mais un peu hermétique il est vrai). Merci pour ce texte et vos précisions, et au plaisir de vous relire.
Contribution du : 24/05/2011 21:22
|
|
_________________
"Chaque jour je me considérais comme sur le seuil de ma vie encore intacte et qui ne débuterait que le lendemain matin." Proust "L'avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l'avenir, on le fait." Bernanos |
||
Transférer |
Re : La dernière chance de Swann (excuses et auto-critique) |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Mes plus plates excuses, Meleagre. Je vous restitue votre sexe, conservé le temps de quelques heures. De toutes façons, je ne saurais qu'en faire.
Plus sérieusement : merci encore. Je comprends mieux votre difficulté à identifier le père, ou à l'unifier en une seule personne. Ca fait partie des dérives hermétiques que j'ai comises dans ce texte. Moi même, je n'apprécie guère ce genre de choses en tant que lecteur. Je garderai donc ceci comme une leçon pour l'avenir.
Contribution du : 24/05/2011 23:04
|
|
Transférer |