Impossible : ce genre de délice, co-écrire un texte en forum réservé, est réservé... à ceux qui ont l'accès aux forums réservés !
Mais les Oniriens peuvent co-écrire aussi. Il y a même un concours exprès pour !

@Pat, pas de panique, j'ai pas commencé sans toi, j'ai juste vidé un litre dans un mélange guadeloupéen pour obtenir un mélange subtil à la vanille à la cannelle café, coco... miam... mais celui là on peut pas y toucher avant un mois, faut qu'il diffuse j'ai mis une date dessus avec un grand = PAS TOUCHE !
Hum

Voui, je comprends tes privilèges et pourquoi tu devrais les utiliser, ça manque de menthe, sérieux...

(oui bon, rien n'égale en taille la merguez party chez Jaimme, ... sinon j'connais un hallal du côté des ruines de l'Ambassade... )

Tous nos remerciements aux nouveaux estivants commentateurs qui sont venus danser avec nous.

De nouveaux éclaircissements s’imposent, au vu de certains questionnements. Tant pis pour le mystère que nous aurions voulu laisser planer sur l’imaginaire des lecteurs.

Citation :

Nous relevons ce passage-ci, extrait du commentaire de [Modération : ne pas citer le nom de l’auteur, pour préserver l’anonymat]

L’histoire, telle qu'elle débute, met en scène une demoiselle qui doit préparer le repas. Hélas, hélas, hélas (3 fois hélas) elle qui pensait avoir tout pour ça se rend compte (jusqu’à…) qu’elle a oublié le boulghour.
La graine de couscous moyen aurait aussi bien fait l’affaire, mais à chacun ses petites habitudes, et nous ne savons pas ce que contient son placard.
C’est donc la cata : "et maintenant, que vais-je faire ? – (© Gilbert Bécot Bécaud)" se demanda-t-elle pas très longtemps.

Lumière ! Celle du congélateur, bien sûr ! Et voici, en exclusivité onirienne, ce qu’elle se dit réellement : "J’ai quand même des réserves, on devrait pouvoir s’en sortir."
La première question posée est donc celle du comptage de ses réserves !
"Je ne pense qu’à…" compter combien il y a de chipos, de saucisses, etc." (de travers il n'y a point, de porc non plus, de travers de porc encore moins).

Pour ce qui est du garçon (bodybuildé, bronzé, ah ! c’était ton frère ? je ne l’avais pas reconnu, mes excuses. Il a drôlement changé dis donc ! Il est toujours célibataire ? Il [Modération : merci de poursuivre cet échange personnel par messagerie privée], il pensait s’accorder une tite pause en rentrant du boulot, mais il n’avait pas pris ses précautions.
Il est très dangereux de s’exposer au soleil sans protection ! Nous le savons tous. Et pire encore, après avoir voulu se désaltérer avec un (ou 4) Mojitos. Mojitos que la décence nous a interdit de servir dans ce texte. (au cas où il y aurait eu méprise entre la menthe et l’amante – on a déjà vu ou lu de mauvaises interprétations).

La chaleur aidant, sa vision commence à se troubler, il voit des trucs bizarres, il perd des forces (peut-être même qu’il est en hypoglycémie ! On frôle le drame, là !) d’où le "je sens que je vais… " m’évanouir ! Eh oui ! Il sent qu’il va s’évanouir ! Il n’est pas bien du tout le garçon, vous savez ? C’était évident, quand même !

Nous revenons vers la demoiselle, qui continue de faire le compte de ses réserves, et qui a de plus en plus chaud (cf. "caniculé"). De quoi pourrait-elle avoir envie à ce moment précis du texte ? À votre avis ? Mais de boire ! What else ? Rien de plus, rien de moins ! (vous allez vraiment chercher de ces trucs !).
Elle a donc envie d’un grand verre d’eau fraîche, mais ouiiiiiiiiiiii ! Aaaaah ! de l'eauoooooh fraîche ! Elle n’est pas très exigeante, mais vous ne la connaissez pas, et vous ne pouviez le savoir. Sa seule préoccupation, depuis le début de l'histoire c'est le repas ! M'enfin !


Quant au final, et à l’arrêt brutal sur "Il faut…", il coule de sueur source : "il faut... faire la synthèse = le bilan de ce que nous pourrons manger ce soir, pour savoir si nous aurons assez".
(traduction : tu vois, tête de linotte, si t’avais pas oublié le boulghour, on n’en serait pas là. Mouais, et toi gros fainéant, si tu m'avais aidée à… - mais tout cela nous regarde pas).

Nous espérons, Mistinguette [Modération : on a dit qu’il fallait préserver l’anonymat !], que tout sera plus clair pour vous, à présent.