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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
widjet, je ne crois pas être spécialement féministe ni politiquement correcte, tout ce que je dis c'est que je refuse qu'on parle pour moi. Aucun homme, aucune femme ne peut écrire quelque chose comme : "ce que toute femme réclame" sans que je réagisse. Je suis une femme, personne ne va me dire ce que je réclame et m'imposer un stéréotype. Vous trouvez ma réaction disproportionnée, c'est votre droit.

C'est le mien de ne pas être d'accord avec vous et de trouver qu'en l'occurrence vous montez à votre tour sur vos grands chevaux pour un incident mineur. Je n'ai pas le sentiment d'avoir outrepassé mon rôle de commentatrice en donnant mon avis et ne crois pas mériter que vous généralisiez de la sorte ma réaction ou d'autres dans le même sens.

Citation :
C'est symptomatique de notre époque de bienséance vomitive

Votre avis, rien de plus rien de moins, j'espère que nous pouvons en tomber d'accord.

Contribution du : 08/05/2012 10:09
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Re : Les contre-feux de l'amour
Maître Onirien
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Pour ce qui est du vers classique, Dieu sait si j'aime lui voir de la solennité. Toutefois, je ne vois pas d'obstacle à ce qu'il prenne à propos un petit ton badin ; Boileau lui-même nous en a donné de brillants exemples.
Pour le point qui a posé un problème idéologique, je crois qu'un peu de raillerie peut témoigner souvent de plus d'estime que de mépris ; je ne sais s'il en est de même pour vous, mais j'ai plus de tendance à taquiner les gens que j'aime que ceux qui m'inspirent de l'indifférence ou de l'antipathie ; donc je ne saurais lire la petite pointe d'Alexandre (si pointe intentionnelle il y avait ) comme une expression d'antiféminisme. Voyez ce grand "philogyne" de Brassens, il faudrait alors brûler toute son oeuvre !
Quant à l'emploi de "tout", "toute", "tous", "toutes", si chaque individu d'une catégorie désignée par ce mot doit se sentir personnellement mis en cause, il ne reste plus qu'à le bannir de la langue. Surtout qu'ici, chère Socque, le vers en question, explicité par Alexandre, ne laisse pas d'être flatteur.
Vive Oniris, et vive l'échange.

Contribution du : 08/05/2012 11:05
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Je vous remercie, MichelMartinez, de bien vouloir faire pour moi l'exégèse du "vers qui fâche" mais, voyez-vous, j'ai une propension affirmée à prendre les mots pour ce qu'ils sont. Donc, quand on me dit "toute femme réclame ça", eh bien je comprends "toute femme réclame ça", et s'il se trouve que je ne le réclame pas, je m'insurge. Parce que le propos a affirmé à ma place, sur mon compte, quelque chose que j'estime faux.
Encore une fois, j'ai donné mon avis en restant, je crois, dans les limites de la courtoisie ; je me demande pourquoi vous tenez à m'en faire changer.

Contribution du : 08/05/2012 11:10
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Citation :

Alexandre a écrit :
@ Gigi Salut camarade sonnettiste ! Vois-tu, mon problème, après ces escarmouches, est de savoir si je peux proposer un sujet où il est question de calvitie sans blesser les éventuels chauves de notre digne assemblée… Je vais quand même tenter le coup quitte à prendre en retour quelques… coups sur l’échine !

Bonne continuation…


"Je suis atteint de calvitie, je ne m'arracherai donc guère de cheveux".

J’ai déjà un sonnet humoristique qui m’est revenu pour une raison que je ne peux pas croire, tant elle sentait la dérobade, alors tant qu’à s’en prendre plein les yeux (ça ne va pas plus loin), proposons du classique qui sort des sentiers battus.
On a beau être sur un site qui prétend valoriser la littérature, bon nombre de membres (à mon avis), ne rejoindront jamais la notoriété, alors pourquoi ce vouvoiement qui est la plus belle manière de mortifier quelqu’un en mettant une distance entre soi et lui.
Finalement, la soi-disant grandiloquence n’est que poudre aux yeux, car l’atmosphère est irrespirable pour qui ne saurait pas faire preuve d’humour face à certains commentaires. On y sent nettement un besoin d’évacuer une mauvaise humeur sur autrui.

Bref, cela ne fait pas boiter et c’est bien l’essentiel.

Contribution du : 08/05/2012 11:19
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Citation :
On y sent nettement un besoin d’évacuer une mauvaise humeur sur autrui.

Votre avis, Gigi, rien de plus rien de moins.

Contribution du : 08/05/2012 11:25
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Re : Les contre-feux de l'amour
Maître W
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Socque

Votre légère mauvaise foi ou l'envie de comprendre ce que vous voulez. Ni plus ni moins.

De plus pour quelqu'un qui a été (injustement) égratigné sur un de vos textes, je me serais attendu à bien plus d'indulgence.

Oui, c'est mon avis et je persiste et signe : la société crève de cette hypocrisie (car Alexandre aurait écrit en toutes lettres : l'homme est un gros connard de macho" que bcp n'aurait pas bronché) et cette étroitesse d'esprit.

W

Contribution du : 08/05/2012 11:37
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Citation :
Votre légère mauvaise foi ou l'envie de comprendre ce que vous voulez.

Pouvez-vous préciser où vous estimez que je fais preuve d'une lègère mauvaise foi ?

Citation :
De plus pour quelqu'un qui a été (injustement) égratigné sur un de vos textes, je me serais attendu à bien plus d'indulgence.

Eh bien, permettez-moi de vous rappeler, puisque vous faites allusion à cet incident, qu'à aucun moment quand j'ai été attaquée je n'ai contesté aux commentateurs sévères sur mon texte le droit de l'attaquer. Du moins me semble-t-il. Si vous n'avez rien de mieux à faire (mais certainement vous avez d'autres occupations plus intéressantes), je vous invite à retourner sur la polémique en questoin. Si vous trouvez de ma part autre chose que l'affirmation que toute lecture d'un texte est légitime, je vous serai très reconnaissante de me le signaler afin que je fasse des excuses à la personne si j'estime m'être montrée désagréable à son égard.

Citation :
Oui, c'est mon avis et je persiste et signe : la société crève de cette hypocrisie (car Alexandre aurait écrit en toutes lettres : l'homme est un gros connard de macho" que bcp n'aurait pas bronché) et cette étroitesse d'esprit.

Avis tout à fait honorable, et moi aussi je persiste : personne ne me dit ce que je réclame.

Contribution du : 08/05/2012 11:45
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Suite…


Et ben dites donc ! Je ne peux pas vous laisser seuls le temps d’un jogging en bord de mer sans que ça déclenche quelques nouvelles querelles !

@socque & Eclaircie
Mesdames, je reconnais que la fin de ce poème peut prêter à confusion et en conséquence, au-delà du délai légal imposé par la charte, je vous promets de revoir la chute afin de ménager les susceptibilités et ne point être mis à l’index, même à titre posthume, par la gent féminine.

J’espère que cette décision éteindra les braises qu’engendre ce malheureux brandon et calmera les esprits…

En attendant il y en a une qui doit bien rigoler, c’est Lucy notre mémé commune qui vécut bien avant la toute première flamme…
.

Contribution du : 08/05/2012 12:29
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Citation :

Alexandre :

Vois-tu, mon problème, après ces escarmouches, est de savoir si je peux proposer un sujet où il est question de calvitie sans blesser les éventuels chauves de notre digne assemblée… Je vais quand même tenter le coup quitte à prendre en retour quelques… coups sur l’échine !


Vous seriez dans ce cas tout à fait avisé si vous vous inspiriez de l'ébauche présentée par Brabant dans son commentaire, sur ce sujet très précisément. Dans ce cas toujours, je vous conseille de courber déjà l'échine. Si vous deviez faire ainsi, je serais pliée également, mais en quatre parties. Je l'étais déjà en lisant le commentaire de Brabant.
Vous allez le faire ? Allez, dites "oui" !
Ou alors c'est Brabant qui s'y colle. Brabant ?

De l'humour et du sonnet...
Je ne suis pas familière de la poésie, ce qui ne m'empêche pas de l'apprécier à l'occasion, et même parfois beaucoup, voire énormément. Ceci me donne peu l'occasion de commenter des poèmes, par décence, eu égard à mes carences techniques.
Là où je trouve d'ordinaire (je suis votre lectrice discrète) que vous avez un talent plus que certain pour placer les mots qui conviennent dans le canevas des contraintes qui se doivent, je rejoins ici certains commentateurs pour trouver le travail un peu forcé, pour trouver que des mots ne justifient leur existence que par la rime ou la métrique. Je ne présume rien des secrets d'atelier; je ne fais ici que livrer mon impression de lectrice.
En revanche, concernant l'humour, fut-il gras, je trouve la couleur qu'il confère à votre travail fort plaisante; pas seulement dans cet opus, qui n'est pas le plus réussi des vôtres, même sur ce point.
L'équilibre est fragile entre l'émotion et le ridicule, entre le lyrisme et la justesse. Un mot, parfois, suffit pour faire basculer l'œuvre de l'un vers l'autre. C'est sans doute cela qui me donne parfois cette impression très désagréable d'un texte qui se prend horriblement au sérieux. Vous avez pour vous le sérieux de la compétence technique et le recul d'un auteur sur l'importance relative de son travail. C'est très appréciable et je l'apprécie. Sans doute faut-il des gens comme vous pour amener des gens comme moi à la poésie.

Finalement, vous pouvez considérer ceci comme le commentaire de votre texte. Pour ce qui concerne la notation, je serais bien incapable d'en fournir une.

Contribution du : 08/05/2012 12:39
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Re : Les contre-feux de l'amour
Visiteur 
Alexandre, ne vous croyez pas obligé de changer la fin de votre poème si vous n'en avez pas envie ! J'ai donné mon avis et pour moi, comme vous l'avez dit, cela s'arrête là. Libre à vous, cela va de soi, de tenir ou non compte, dans l'exacte mesure qui vous chante, des commentaires.
C'est votre liberté d'auteur, celle des commentateurs étant de dire ce qu'ils pensent dans le respect de la charte.

Contribution du : 08/05/2012 12:45
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