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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Maître Onirien
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Je comprends mieux, maintenant, avec l'éclairage de ce stade qui se respecte dans ses MégaWatts, lesquels propos se sont croisés, Brabant J'ai noté d'autant plus sévère que les passages vraiment poétiques m'ont profondément touchée, vrai ! [silence dans les rangs, les férus d'ambigüité des termes]
A présent, j'accueille autrement "Le voile de Mossoul". Je trouve une place intéressante au passage "Tic...rond" où le suspens dramatique et maintenu grâce au rythme, et la double évocation sonore de la bombe et visuelle de l'horloge (du temps).
Je maintiens malgré tout mon intime sensation que Polichinelle et Guignol cassent l'effet dramatique et brouillent l'allusion aux actualités contemporaines... Arlequin va bien avec la mosaïque qui suit, mais Polichinelle et Guignol, c'est trop, j'ai changé d'univers, c'est la dérision/polémique : j'ai décroché du drame fort bien distillé jusque là. Et puis, les deux derniers vers pourraient avoir la même force que ceux qui ont le refrain "tu me fais mal, maman !"
Donc, pour juste 4 vers peu plaisants, mais qui m'ont tout de même cassé la joie, je peux changer mon "Bien-" en Bien+"
Merci de cette discussion, Sieur Brabant

Contribution du : 04/02/2013 19:38
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L'homme est conduit par l'aveugle qui est en lui- J.Claude Izzo
Poésie et carnets artistiques : https://papiers-relies.assoconnect.com/
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Chevalier d'Oniris
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Hééééééééééééééééééééééé Hooooooooooooooooooooo ! .... Y'a encore quelqu'un là-d'dans ?


Ça vient la suite ?

Contribution du : 10/02/2013 17:03
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Non seulement les auteurs n'acceptent que des éloges, mais encore ils exigent qu'on ne dise que la vérité. Comment faire ?
Jules Renard
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Maître Onirien
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L'Allemagne a battu la France.stop.Manchester United a battu Everton.stop.Le Nigéria a remporté la CAF.stop.Lille a mangé du Lyon.stop.J'arrive Lagomys.stop.J'arriiiive.stop.Euh y a un match Mardi.stop.Euuuuh


:))))))))))))

Contribution du : 10/02/2013 23:19
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"L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête."

Blaise Pascal
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Chevalier d'Oniris
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Ah....! Ces footeux....!

Contribution du : 10/02/2013 23:51
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Non seulement les auteurs n'acceptent que des éloges, mais encore ils exigent qu'on ne dise que la vérité. Comment faire ?
Jules Renard
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Maître Onirien
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Et Lavezzi a marqué un but fulgurant suivi de Pastore. Vive l’Argentine qui fournit sans doute les meilleurs joueurs de foot aujourd’hui ! :)))


@ LéopoldPartisan :


Cet ‘’exceptionnel’’ de la part de quelqu’un que je considère comme un des Grands Anciens d’Oniris - au même titre que Flupke par exemple - alloué à la suite d’une lecture à l’aveugle m’a fait le plus grand plaisir :). Oubliée, la déception de ‘’La Confidente’’ pour laquelle Salamandre vient de me faire chaud au cœur (Si tu passes par là, Grand Merci Salam !:))) ) et conforté le TB+ de ‘’L’emparouste’’. Je sais que quelque part on se rencontre Léopold, toi dans tes excès de franchise, tes enthousiasmes affichés et tes colères noires, et moi dans mes excès de salamalecs, et quoi de plus franc que de se rencontrer dans le noir, en tout bien tout honneur :)


J’avais l’impression d’un cheminement de tableaux en progression comme se déroule en cliquetant le cheminement en accordéon des cartes de l’orgue de barbarie. Je suis content de lire que ces tableaux surprennent tour à tour, moi à qui ils n’apprenaient plus rien à force de les travailler ; mais surtout, c’est vrai, le fond est fantastique/irréel/tient de l’imaginaire avec cette mort qui rôde alors qu’il repose sur du concret (de chez concret.lol) avec ce muret, ce pavé, cette vitre, cette pièce/chambre/salle de jeux qui se transfigurent sous les yeux et dans l’esprit de la mère affolée, car elle passe devant la porte de tous les dangers. Guette-t-elle Cerbère ? Le Tricéphale diabolique est-il aux aguets ? Dans une autre version j’avais imaginé la porte entrouverte (elle-aussi) avec un chien sombre à l’affût… Mais ça c’est mon côté grand guignol. Lol.

Ta remarque sur le ‘’concret… transfiguré’’ m’a littéralement – moi-aussi – bluffé. C’est bien là tout le sens, l’esprit, le sel du poème, et le but de mes efforts pour le composer jusqu’à la symbolique de la croix, croix de la marelle, barreau transverse de la croix du morpion et croix de Jésus flanqué des larrons…

Bon, je ne dis pas tout… tout de suite…

En espérant te lire très bientôt…


(To be continued. Faut pas abuser des bonnes choses :D)

Contribution du : 13/02/2013 18:34
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Visiteur 
brabant, tu es peut-être le biggest poèteux francophone de ce temps mais tu laisses languir, cher ami, mec et tout ça...

le foot, c'est tout truqué, faut admettre, et c'est tout pied comme la danse (que j'adore, soit dit en passant)

le foot, c'est jamais une réponse, c'est comme le vélo, on pédale, on pédale... (et elle est où, la petite reine, hein ?)

nous sommes nombreux (au moins deux, ce qui est plus qu'un) à attendre tes éclaircissements :-)

Contribution du : 15/02/2013 23:31
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Visiteur 
y'a même un truc qui s'appelle "bicyclette" en foot, c'est dire... (ça réussit rarement, résumé des mots durs...)

Contribution du : 15/02/2013 23:38
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
Maître Onirien
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Je sais Cher Micdec, j'ai une petite baisse de régime en ce moment - milieu de l'hiver ? - même sur le plan des coms j'arrive plus à assumer, je voulais rattraper David mais le gars pédale plus vite que moi :))... Sans doute un coup de fringale comme lors de ma deuxième compétition après 80 km à mouliner comme un cabri, savais pas ce que c'était jusque là... et puis, j'ai aussi la télé moi :D :D :D ; Mais non la télé n'est pas truquée !

Y a Valencienneuuu cette après-midi ! Et demain le PSG ! après Lyon cette semaine... Waaaououh ! Quel match ! Tu sais la sueur et les crampes ça dit aussi la vérité, du moins une certaine vérité, au moins autant que celle de l'argent et des combines, c'est sûr, tu as en grande partie raison maiiis... :D

Et je me chauffe au charbon, beaucoup de mâchefer, faut que j'le laisse éteindre puis que je le rallume. Beaucoup de boulot... De fausses bonnes raisons ! je sais... lol :)

Mais j'me démène hein ! Faut pas croire :D

Contribution du : 16/02/2013 10:55
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
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@ Mona :

Bien sûr j’ai lu l’ami Tournier (plus survolé que lu pour être honnête : ‘’Vendredi ou les limbes du Pacifique’’, « … ou la vie sauvage’’, lu la moitié des ‘’Météores’’ où il développe le thème de la gémellité et puis ouuuaaoch… pitié ! lol). Paradoxalement je ne sais rien du ‘’Roi des Aulnes’’, son Goncourt ! Je suis impardonnable là :)
C’est qu’il est difficile à lire le Père Michel ! Plus philosophe que romancier à mon humble avis. Bon, je crois que je vais aller voir l’histoire d’Abel, un personnage ambigu qui aurait donc à voir avec un certain ogre germanique, pas moscovite comme celui d’Hugo pour le moins : « … Vous qui voulez plaire/Ne mangez pas l’enfant dont vous aimez la mère » :D, me trompé-je ? Tout est ambigu chez Michel Tournier. Merci à toi de m’avoir donné envie d’aller lire ce bouquin-là :)

Nous avons traversé une drôle de période ‘’romanesque’’ dis-moi, avec René Barjavel (‘’Ravage’’) qui était d’abord un poète et un utopiste et Bernard Clavel (que je vois un peu comme un compromis entre Labro et Pelot) qui était avant tout un conteur d’aventures avec sa série des « Colonnes du ciel’’ que j’ai refilé à mon cadet (Ben quoi ! Je l’avais achetée…) et dont il disait : ‘’Il faut entrer dedans et puis on aime’’ :)

Drôle d’époque que celle où ces romanciers, qui étaient tout sauf des romanciers, occupaient le devant de la scène ; fallait aimer lire hein :D !... en ce qui me concerne du moins :)))
Des Grands cependant ! Sûrement des Grands ! Mais fallait s’accrocher :))))))


Promis, je te fais maintenant le synopsis du ‘’glas’’…

Euh… Mercredi :)

Contribution du : 18/02/2013 18:20
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Re : "Pour qui sonne le glas" [ou ''L'enfant bleu"] de brabant. Remerciements... ... ...
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… une mort annoncée…


Strophe/tableau n°1 :

Une maman raccompagne son enfant à la maison, le soir ou en toute fin d’après-midi, peut-être après un cours de solfège - la musique/sortilège n’est pas innocente dans l’histoire - elle se dépêche soudain, on a deviné qu’elle est inquiète, au point de le bousculer :
‘’Tu me fais mal maman !’’
Son chignon qui se défait - concrètement – indique symboliquement qu’elle est en train de perdre le contrôle de la situation…


Strophe/tableau n°2 (comme les plaquettes de lecture d’un orgue de barbarie qui se déroulent) :

… car elle passe devant la maison de l’enfant bleu, maison de la mort suspendue/en suspens (épée de Damoclès), menaçante, qui donne à voir et à se faire voir : ‘’muret’’ et non pas ‘mur’, ‘’hérissé de fer’’, ‘’herse’’ qui permet d’entrer mais peut retenir prisonnier, dont les barreaux sont des lances (le lansquenet est un mercenaire à pied de sinistre mémoire du XVè qui renvoie à la barbarie et à l’obscurité des âges anciens ; c’est pourquoi j’ai préféré ce fantassin au lancier du Bengale à cheval qui aurait pu donner lieu à de belles images exotiques et d’artifice). Ces piques prémonitoires peuvent aussi renvoyer à la lance de Longinus qui perça le cœur de Jésus pour s’assurer de sa mort en évitant d’avoir à lui briser les jambes comme on le fit pour les larrons. Cette lance qui continua de saigner à mettre en parallèle avec le cœur asphyxié de l’enfant bleu. J’ai d’ailleurs dans une version plus longue :
‘’L’enfant-Jésus et les larrons
La lance de Longin saigne’’
Mais j’ai pas voulu compliquer (lol) :)


Strophe/tableau n°3 :

Description de l’enfant bleu avec son réseau de veines très apparent, ange de la mort à la chute annoncée (c’était immédiatement lisible dans les années 50-60).
Faire peser le danger sur la Mère !... Les enfants morts en bas-âge sont des anges, Icare tombe et n’aura pas de vie d’adulte.

Strophe/tableau n°4 :

La mère ne peut que tenter d’occulter le danger, elle trébuche : ‘’Son pied cloche’’/cloche-pied, il ‘’croche’’ : croche-pied ; et il y a un arrière-plan musical : cloche/glas, cloche/orgue qui va emplir le trottoir (‘’La mort qui fait le trottoir’’, ce titre est de Montherlant, mais c’est une autre histoire).
La mère voudrait être Zeus et emporter son fils dans ses serres comme le roi des dieux emporta Ganymède (mais ça c’est encore une autre histoire :D). Lutte serre/phalange car l’enfant voudrait bien se dégager. Déjà !


Strophe/tableau n°5 :

Dans ce cheminement/combat de tous les dangers, voici la maman aux abois (lol) devant la fenêtre entrouverte, mystérieuse et fascinante : le rideau de mousseline bouge et joue de ses reflets dans l’irréalité de la scène pourtant bien réelle :
‘’Le voile de Mossoul danse’’
Passage entre deux mondes, fantomatique : le néon ‘’floute’’, et cette scène à ne pas regarder sinon l’on s’y engouffre (/gouffre) est un piège sans recours ni retour (barbules qui crochètent et ne permettent pas de reculer, nasse).

- J’ai fait appel à mes souvenirs de 6è où l’on nous projetait de vieux films en noir et blanc avec moult barbules sur le pourtour de l’image comme des pattes velues/toiles d’araignées, piège sans retour)
- … et de 5è : Mossoul à donné son nom à la mousseline, ‘’étoffe’’ transparente, Damas au damasquinage et Cordoue au cordonnier… Il y a des choses qui restent comme ça, allez savoir pourquoi. Heureux temps du Musulhumanisme dans les livres d’Histoire ! Bon, y avait aussi le Vieux de la Montagne… dixit E. About, mais en bibliothèque verte !

Belle scène de théâtre que cette fenêtre de maison bourgeoise en léger retrait où est tapie une araigne !


Strophe/tableau n° 6 :
On est dans la décennie qui précède celle des Sixties, l’imaginaire enfantin de cette époque tourne autour de Polichinelle (Existe-t-il un sexagénaire/septuagénaire qui n’en ait pas monté un, découpé ou prédécoupé dans un solide carton coloré, avec des attaches parisiennes ?), de même pour Arlequin, qui le rejoignait dans le coffre à jouets (on ne savait tout simplement pas qu’ils étaient Italiens) ; les marionnettistes faisaient triompher le malicieux et farcesque Guignol et son gourdin dans les communes des Flandres les plus reculées (on ne savait tout simplement pas qu’il était Lyonnais) et l’orgue de barbarie était bien présent. Tout cela se rejoignait et se confondait dans un joli syncrétisme, enchantait les enfants qui jouaient à la marelle.
Magie propre à ensorceler l’enfant de ce poème.

Les plaques/plaquettes articulées de l’orgue de barbarie se déroulent comme un serpent, les losanges se font palets et le chemin de croix de la marelle qui s’orne d’or va conduire à l’enfant bleu : jaune/appât : Attrape, blanc/innocent : Prends, gris/pris : DONNE, touche ma main, viens…

La mère sait, veut désamorcer. Elle a lu très précisément le piège, elle décrypte le jeu de la mort : la grille du morpion, le barreau de la croix, le Christ au centre et les larrons sur les côtés, ou encore la couronne d’épines et les deux têtes des clous dans les paumes au bout des bras tendus, le tout dans la buée de celui qui manque de souffle, expirant déjà, une buée de mort là tout près entre le voilage et la vitre glacée, ses lèvres bleues/exsangues appuient comme les lèvres d’une goule et ses mains sont des ventouses en apnée de chaque côté de sa tête. ‘’rond-croix-rond’’ chante dans sa tête, rappelle la scène de la crucifixion et Jésus en croix (rond/là ronds - euphonie – larrons – et vice versa). La Sainte Vierge n’a pas eu le choix, la mort de son fils était écrite, il devait mourir pour sauver le monde ! Mater dolorosa !
‘’Un éclair déchire le soir ‘’
Elle vit son Golgotha !
Elle ne veut pas répéter cette scène.


Strophe/tableau n°7 :

Alors, elle se sacrifie et offre sa vie en échange de la vie de son fils rompant de la sorte l’enchantement. ‘’Sacrifice propitiatoire’’ a écrit l’excellent Micdec, elle redevient païenne et paie son tribut aux dieux : Cœur pour Cœur ! Vie pour Vie ! Wergeld, c’est le prix du sang.

L’enfant a été sauvé !

Ne dites pas non ! Je le sais ! C’était moi !... Mais non, je plaisante :D :D :D


Il fallait que cette fin soit courte, brève comme un couperet. Et puis je n’oublie pas que j’imite Goethe et je me dois de terminer comme lui :
‘’L’enfant était mort dans ses bras’’/
‘’… - Elle est morte’’


Bon, ben voilà, j’ai expliqué davantage hein Mona, merci de m’avoir fait confiance – et d’avoir évalué par avance – je peux être long parfois à honorer mes rendez-vous, mais dis-moi cette histoire n’était-elle pas d’une simplicité désarmante ?


:))) ))) ))) ))) Sourire V V I P


(To be continued)

Contribution du : 20/02/2013 19:25
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