Pardonnez-moi cette erreur d'aiguillage qui, je l'espère, ne sera fatale pour personne.
Ce "coeur sombre" chanté par Yves Alba a éveillé en moi l'écho d'autres voyages que j'avais faits en sa compagnie :
"J'entends des voix"
"Heureux pour la ènieme fois"
"Andalucia"....dont vous n'êtes pas l'auteur.

J'ai sauté dans le convoi sans prendre la peine de vérifier ma destination et je demande humblement au chef de train de me pardonner une telle légèreté. Je conçois qu'elle puisse agacer un auteur.

Je vous en prie, Arielle. Comment pourrais-je être agacé par cet hommage que vous rendez à mon ami Yves Alba ?
J'avais bien compris la confusion. Vous avez compris aussi que je suis un taquin.
Merci encore à vous. Au plaisir de lire votre belle poésie.

Je cherchais justement dans quel film de Woody j'avais lu cette excellente répartie!
"Quand une femme me dit « je t’aime », je pleure (et je me dis : elle aurait pas pu être belle ?). Alors je me suis marié, pour ne plus entendre ce mot."
J'en ris encore!
Pimp'

Ah ben oui, pour moi, c'est tout bon comme qu'est-ce que j'ai dit : Très bien la chanson ! Après, c'est toujours ces histoires de perspectives et de calibrage et puis ça dépend tellement du papier cadeau et du ruban. Du coup ton (votre) poème, comme ça tout nu sur la banquise, il se les gèle un peu, quoi, surtout lorsque, comme moi, on a commencé par la musique.

Bien l'bonjour à vot'dame, m'sieu Ludi