@Eccar : Merci. C'est bien de dire les parties qu'on trouve bien dans un texte. Comme ça quand l'auteur réécrit, il sait ce à quoi il ne doit pas toucher.

@MissNeko : Merci. Ça fait plaisir. Dans ma prochaine nouvelle, je vous promets moins de virgules et des phrases plus longues.

@Bidis : Merci d'avoir relu. C'est chouette d'apprendre que mon petit opus vous a suffisamment marqué pour que vous y retourniez. Merci aussi pour votre suggestion. J'y penserai.

Bonjour vb,

Désolé de ma réponse tardive mais je n'avais pas vu le post.


Citation :

Sortir du lourd signifie écrire un texte de très bonne qualité, dont on se souvient longtemps. Je ne trouve pas ce texte lourd.

Pour ce qui est de l'ennui, il est arrivé par intermittence, parce qu'il ne se passe pas grand chose.

Donaldo

@ Widjet : Merci pour vos commentaires très précis et très enrichissants. Ils confirment grosso modo les commentaires précédents.

Au sujet de la fin du récit, je ne pense pas que l'on puisse s'en passer. On ne raconte pas une histoire sans raison. En général, le narrateur doit avoir une raison pour dire ce qu'il dit. Je ne vois pas ce narrateur-là vous raconter son histoire si la fille lui avait répondu "Te fatigue pas! Je suis prise." et que la seule conséquence de cette réplique aurait été que le narrateur se soûle avec son copain en parlant d'une future révolution marxiste. Mais bon d'autres fins sont possibles et peut-être que celle que j'ai choisie est un peu faible.

@Donaldo : Merci pour vos précisions. À bientôt.

@marin : Merci pour votre commentaire. J'en suis très content. C'est agréable d'apprendre que cette petite histoire ne passe pas inapercue. Votre avis confirme ceux de vos prédécesseurs. L'inégalité du ton est ce qui gène la plupart des lecteurs.

@ Mattirock : Merci beaucoup pour ton gentil commentaire mais surtout pour avoir lu ma nouvelle. Le mot "école de droite" et l'idée de passer de la musique punk ont été inspiré par tes propres écrits. Cette ambiance glauque aussi d'ailleurs.
Pour ce qui est du mot "or", c'est un mot que j'aime bien chez les autres mais que je n'utilise jamais. Je me suis donc forcé un peu en me disant qu'il permettrait au lecteur de bien voir la rupture du récit qui s'amorce à ce moment là, mais, à me relire, je suis tout à fait d'accord : ce mot est de trop!
J'aime bien l'expression "au bord du gouffre". Oui c'est peut-être la bonne idée.