Bonjour Monsieur,

Je vous prie d'accepter toutes mes condoléances, très sincèrement. La présence discrète de votre épouse au sein de la communauté va nous manquer: ses textes étaient plein d'allant, vivants et révélaient une personnalité attachante.
Je pense à vous, aussi, dans ces moments si difficiles. Merci de nous avoir prévenu.

Un très long parcours, une vie certainement bien remplie, JaneR, sans nul doute, s'était préparée à ce départ et à la découverte de nouveaux horizons. Elle savait aussi le vide et le manque qui s'ensuivrait pour vous Monsieur. Nous vous remercions d'avoir eu la délicatesse de nous avoir informés.

Bonjour Monsieur,

Je me joins aux autres membres pour vous faire part de mes sincères condoléances.

Je suis assez ému de cette triste nouvelle, car même si je ne connaissais pas votre épouse personnellement, je la lisais souvent en centrale de publication et comme beaucoup ici, je l'avais remarqué pour les qualités de sa plume.

J'aimais particulièrement ses poèmes en prose. Ses écrits manqueront sur Oniris, c'est certain. Merci de votre attention. Je vous souhaite du courage pour la suite.

bonjour Monsieur,
Vous perdez votre compagne, nous perdons une auteure dont la plume nous fit voyager agréablement à travers sa prose ( la visite du musée en est un bel exemple ) .
Nous nous associons à votre peine, que nous partageons aujourd'hui . Il arrive qu'un défunt ne laisse pas de trace de lui, hormis le souvenir de son visage, le son de sa voix ; fasse que ses écritures le soir venu vous rapprochent d'elle et qu'un sourire naisse au coin de vos lèvres .

En relisant les textes de votre épouse parus sur Oniris j'ai relevé ces quelques phrases qu'elle avait intitulées "Semelles de vent"

Après un temps qui me parut celui d'une vie, je parvins à retrouver ma bouche. La marguerite était toujours là, épanouie dans son inaltérable fraîcheur ; c'était en fait une immortelle.
Je peux désormais franchir frontières et océans, ma course n'en finit pas de se perpétuer.
Je suis celui qui a conquis l'éternité, le vagabond qui ne craint plus le vent.

Je me permets de vous remettre ces mots en mémoire en espérant qu'ils vous en diront plus sur son absence que toutes les formules traditionnelles que je m'abstiendrai de vous écrire.

Bonjour Monsieur,

Attristée par cette nouvelle, je viens témoigner du plaisir que j'ai eu à lire les textes de JaneR sur Oniris.
j'ai le souvenir du "cakes for tea" et de la visite au musée, des textes très originaux, plein de sensualité et de poésie.
en apprenant l'âge de janeR, je me suis dit que les "plumes" n'ont pas d'âge, qu'elles ont un parfum d'éternité.

Merci de nous avoir prévenu, mes pensées vous accompagnent.

Plumette

Bonjour Monsieur,

Permettez-moi de vous faire part de ma profonde tristesse à l'annonce de cette disparition.
J'avais apprécié plus que tout et longuement commenté en espace lecture son merveilleux texte "Cakes for tea".

Il y avait dans son écriture une grâce toute empreinte de féminité et je garderai d'elle un souvenir ému.

Soyez fort en ces tristes moments.


Grange

Bonjour Monsieur,

Je viens d'aller lire (relire) des poèmes de JaneR. Nul doute, c'était une poétesse, une personne sensible.

Je retiens de ces quelques lectures entre autres cette belle phrase :

"Je suis celui qui a conquis l'éternité, le vagabond qui ne craint plus le vent."

Mes pensées sont pour vous, dans cette épreuve.

Michel

Monsieur
J'ai eu l'occasion de lire et apprécier certains de ses écrits publiés sur ce site.

<< Celui des deux qui reste se retrouve en enfer >> a écrit Jacques Brel.
Même sans vous connaître, Monsieur, je vous souhaite tout le courage nécessaire pour affronter cette épreuve et vous adresse mes sincères condoléances.

Yves Alba

Cher Monsieur,

Je ne crois pas avoir jamais lu de textes signés "JaneR" ici ; il n'empêche qu'une forme de solidarité onirienne me pousse à vous transmettre mes amitiés et mes pensées de soutien pour affronter cette difficile épreuve.

Bien à vous,
A.