Oui Cat, pour le triangle j'ai spontanément ajouté un "lol" car sur le coup j'ai trouvé cela drôle. Et puis quand j'ai relu, j'ai réalisé que cela ne l'était pas tant que ça !

Il m'arrive en effet, téméraire que je suis, de m'aventurer à chanter. Donc tu vois, il ne nous manque plus rien pour monter notre petit orchestre ; ou même carrément une fanfare.

En tout cas, c’est toujours une joie de te lire

Vivement ton prochain texte !

Hey, Alexan,

Tu me combles d'aise !:))
Ton lol était marrant, tu sais. Juste un peu osé tel que je l'ai compris, mais bon... il suffit de ramener les choses à leur place et c'est tout, n'est-ce-pas ? :))

Ta témérité te pousserait-elle à enregistrer une chansonnette pour la Vocathèque de Michel ?
Une belle occasion de connaître ta voix.
Et si tu n'oses pas le faire en public, tu pourras toujours me l'envoyer en privé. :))

A bientôt, de te relire aussi.
Et merci pour toutes les gentilles choses que tu me dis. C'est stimulant.



Bonjour Papipoète,

C'est super d'avoir un compagnon de jeux pour grimper à la fenêtre ! Et pas n'importe lequel, s'il vous plaît ! Toi, Papipoète, en personne !

Nous avons le même âge et partageons les mêmes attirances. J'aimais déambuler dans les allées du cimetière, les jours de pleins soleil, m'arrêter devant les photos en m'imaginant la vie des uns et des autres, du temps d'avant qu'ils rejoignent la grande Prairie.

Je suis sous le charme de ton commentaire. Il reflète si bien le poète de talent que tu es. Charmée aussi de t'entraîner doucement vers le coin des Nouvelles.

Bonjour Ithaque.

Et merci d’avoir fait un tour sur la frange du volcan et d’y avoir déposé ton empreinte.

Je suis ravie d’apprendre, qu’à l’instar de Vincent, de Louison et de moi, tu es un de plus à avoir volé ses premières émotions musicales sur l’harmonium qui accompagnait les prières.

Ton impression me donne à cogiter sur le genre de l’oppression réellement ressentie. Je ne pense pas qu’elle était due aux interdits familiaux – chez moi, il y en avait peu. Nous poussions comme l’herbe folle, simplement stimulés par les valeurs du bien qui l’emportent toujours sur celles du mal, et un grand respect de la vie d’autrui, à mille lieues au-dessus du pouvoir nocif du quand-dira-t-on. Non, je suis intimement persuadée qu’il s’agissait de la simple oppression que représente la vie sur Terre. Entre l’instant de la naissance et celui de la mort. Tout ce qui se joue entre la peur et le bonheur d’exister et qu’il faut apprendre à maîtriser (ou pas !).
Je crois que c’est vraiment là où allait puiser la puissance du désir qui m’a si souvent prise à la gorge : dans cet équilibre difficile à trouver, qui t’explose littéralement à la figure quand tu ne peux plus retenir l’enfance.

Si, por claro, querer es poder. :))
Encore faut-il le mettre en pratique.

Je constate que nous avons partagé les mêmes goûts musicaux. Il faut dire que les années soixante ont été riches de musiques divines. J’ai d’ailleurs pu constater, dans ta dernière intervention dans la Vocathèque, que tu as largement dépassé le stade amateur. Ta reprise, avec ton groupe, est tout simplement tip top ! Bravo !!!

Tu en as fait ton métier, de tes années harmonium, c’est ça ?

Merci encore, Ithaque.

Je profite de prendre la parole ici, pour redire qu'en ce moment, si je lis encore un peu et de très belles choses, j'ai beaucoup de mal à mettre en place des commentaires qui tiennent la route... Ceci dit pour que vous pardonniez mon absence passagère sous vos mots.


Vous me pardonnez ?

Bjr Cat,
OK pardonnée ! mais temporairement ! Car ça faisait drôle de ne plus te sentir musarder dans les lectures avec ta souris! Du coup ,on pouvait se demander des chôôôzes.. Mais, que nenni... Cat is really back!
Bon! voilà que la conversation au jour le jour permet d'en connaître davantage sur les dessous de ce volcan, et, par la même occasion, de visualiser cette petite fille en nattes et socquettes marchant sur la pointe des pieds dans cette chapelle virgomariale d'on ne sait où?
Avantage de l'échange et enrichissement des âmes qui se parlent, même à distance.
Oui, semble t il, nous avons biberonné aux mêmes primémotions/prémonitions musicales...L'époque s'y prêtait, n'est ce pas?
Merci pour ton appréciation de Java Jive en Vocathèque. La chanson aussi est un bon vecteur de communication émotionnelle.
Je te souhaite un bon dimanche,
Ithaque

Merci pour ton absolution, Ithaque ! Elle me va droit au cœur.
Quant au temporairement, j'ai l'impression qu'il va durer l'éternité. Alors, Cat is back, yes, mais à moitié, voire à moitié de moitié, et encore ça c'est les grands jours.

Mais je m'accroche, Ithaque. Surtout lorsque je lis ton écriture inventive (les primémotions/prémonitions) et de belles poésies, comme celle que tu as dédiée à tante Milly.

De quoi rebooster mes musardages et titiller ma souris ~~C:> pour redonner du cœur à l'ouvrage à mes doigts sur le clavier.

Au fait, je peux savoir quelles sont ces chôôôzes ?
M'étonnerait beaucoup que celui qui ne sait pas mette dans le mille. :))
Laisse aller ton imagination ! Qui sait, elle dynamisera peut-être la mienne...

Quant aux nattes, désolée de démolir ton image, mais juste avant l'épisode de la chapelle, il y eut celui où, coiffée d'une belle et longue, très longue tresse dans le dos, je me suis rendue chez l'Apache. C'est ainsi que l'on surnommait le figaro qui sévissait dans le village. Il l'a coupée net au ras de la nuque sans aucun état d'âme. Certainement transcendé par mon air rebelle et assuré qui refusait de porter plus longtemps l'attribut de ma soumission à la gente masculine. Mon père n'imaginait pas une fille sans ses cheveux longs. Je crois que je voulais lui prouver le contraire.:))

A te relire bientôt.

Bonsoir Cat,
Well my Dear , prêtons nous donc au jeu de la questure proposé par la Damoizelle.
Et, pour ce faire, reproduisons ici, d'abord, son parchemin:"Au fait, je peux savoir quelles sont ces chôôôzes ? "

Reportons nous ensuite au grimoire intitulé " Les idées par les mots" afin d'y puiser le discernement et la voyance !
Voici ce qui nous y est révélé:
- Le mot "chôôze" renvoie aux mots... "évènement" et "matière"...

( ici s'installe un petit silence, bouche bée, de notre lectrice...qui continue , songeuse, à tourner son sucre dans sa santorée )..Respectons, un instant , ce sileeeennce !......Voilà!

Nous poursuivons la lecture :
- "Evènement" renvoie à : "destin et histoire " (wahhhh!") puis distingue des Evènements heureux, des Evènements malheureux, s'ensuivent les Evènements fortuits et les Suites d'Evènements .

- "matière" renvoie quant à lui à :"anatomie, chimie,mécanique, physique" ( Wahh, balèze la Damoi!). Il décline ensuite "l'etat et les propriétés de la matière, les Substances diverses et Ce Sur Quoi s'exerce l'activité humaine.

Nota: ici s'installe dans la cuisine de notre lectrice une odeur de brûlé, sans doute quelques chips restées collées sur la plaque du four(???)

A ce stade , il est nous est demandé de refermer le grimoire et de le remettre en rayons car notre forfait Grimorange est épuisé.

Voilà Cat, il t'est demandé maintenant de regrouper par capillarité les mots se rapprochant le plus possible des fameuses chôôzes.
Une autre proposition t'est suggérée : l'écriture d'un texte en vers disant sans le dire mais en le disant quand même de quoi il s'agit vraiment.
Allez en paix, my Dear, avec ou sans nattes
Bonne soirée, Ithaque

Amazing Ithaque, how sweet-talking
That save a wretch like me !
I once was lost but now I'm found (but not completely :))

Precioso que eres
Ta leçon de chôôôzes m'a fait rire aux éclats. Au point que le souffle divin des muses a, un instant, frôlé mon espoir de retrouver enfin le chemin des mots.

Rien de tel que le rire !

Alors qui sait ?

En rime ou en prose, mais toujours libre et sans contrainte, demain.. peut-être... je te dirai le pourquoi de ces chôôôzes qui éteignent ma plume plus sûrement que le vent d'hiver venu du Nord. Ces chôôôzes tristes de la vie qui étreignent mon cœur sans le moindre égard et sans remord, dilapidant ma flamme et son feu. (Est-ce assez mélo pour toi ? :))

Ma muse et moi te remercions pour le regain d'envie qui pointe son nez et, en attendant l'apothéose, je continue de tourner mon sucre dans sa santorée, jusqu'à le faire fondre complètement pour atteindre et déguster avec délice l'amande enrobée en son sein.

Au fait, belle expression « tourner son sucre dans sa santorée ». Je ne la connaissais pas et je l'ai imaginée à ma façon.

Que veut-elle dire exactement ?

Et oui, si tu le veux bien, c'est une nouvelle leçon de chôôôzes qui pointe pour toi à l'horizon... (Abuse tant que tu le voudras de l'idée que ta réponse, si réponse il y a, va me motiver davantage. :))

Belle journée