Vous savez tous ou quand et comment est mort Georges Wolinski

C'était l'auteur notamment de ce texte :http://dai.ly/x4266m
Alors oui, il y a les balourds (dans le poème de sympas) s'en est un.


Les violeurs sadiques : no comment

Et les dragueurs du dimanche ,des supers marchés ,ou de la petite semaine ,qui n'ont qu'un tort, c'est de tenter leurs chances .

À tout confondre, la société va devenir irrespirable, franchement qui peut croire que l'homme est le maître du jeu ?

je vous renvoie à madame de Merteuil: Baudelaire la décrit ainsi : « Tartuffe femelle, Tartuffe de mœurs, Tartuffe du XVIIIe siècle », « chez qui tout ce qui est humain est calciné ».



Bon, ne soyons pas falots, mesdames, on vous aime, de grâce, un peu de discernement !

Quant au texte de sympas, en gardant le thème, il y avait plus subtil à faire, je suppose.

Ben moi je ne comprends pas très bien (en fait j'ai pas mal de repères à cerner dans la société actuelle ...) certaines réactions à la lecture de ce texte. Dès que le soleil s'attarde et que les températures montent les vêtements se réduisent de façon impressionnante sur les corps des femmes et pas toujours de façon séduisante, une manifestation de la "liberté féminine" à ce que j'ai cru comprendre et cela ne semble choquer personne. Si au niveau écriture poétique il y avait sans doute quelques critiques fondées bienvenues pour en affiner l'expression, au niveau choix du thème je ne vois vraiment pas où est le problème.

Non mais franchement je ne peux plus rester silencieuse encore longtemps quand je lis vos propos Marite. Le poème de Sympa m'a fait sourire grâce à a sa chute. En revanche Marite votre commentaire sous le poème de Sympa m'a choqué tellement je me pose encore la question pourquoi il n'a pas été modéré. c'est la Vieille France qui s'exprime où l'homme a toujours raison et la femme a toujours tord.
Donc ça veut dire quoi ? Si j'ose me mettre en short en plein été je fais de l'incitation au viol c'est ça !

Mais heureusement que tous les hommes ne se comportent pas comme des animaux en rut dès qu'ils voient une femme en mini jupe. Mais qu'est-ce que ça veut dire ? Même une femme qui porte le chador est victime d'agression sexuelle. Donc rien à voir avec le fait d'avoir une vue sur un corps dénudé, c'est juste de la perversion.

Plusieurs commentaires sous la poésie de Sympa sont désolants et auraient mérité une modération tant ils font passer morale et préjugés avant une lecture objective du texte. Je demande aux lecteurs et lectrices qui se reconnaitront d'éviter à l'avenir ce type d'analyse. Ce n'est pas parce que le lynchage public concernant la sexualité est dans l'air du temps qu'il faut se permettre tout et n'importe quoi. Aujourd'hui ce pauvre Pierre Louÿs se ferait lapider...
Pour ma part je ne vois qu'une poésie gentiment grivoise et plutôt bien tournée.

Brume, la Vieille France a le droit de s'exprimer, comme c'est votre droit de la moquer ou de vous en indigner...

En l'occurrence je partage votre opinion ; comme le dit le père de Camus, "un homme, ça s'empêche". Et puis quoi, va-t-on interdire les plages aux femmes, ou les forcer à s'y rendre en tenue habillée ? C'est ridicule.

Ceci dit, à côté des considérations éthiques sur lesquelles nous sommes d'accord, il y a le simple bon sens qui doit entrer en jeu, que cela nous plaise ou non. Hors périodes de fortes chaleurs, une femme qui sort en mini-jupe et large décolleté ne me paraît pas faire preuve d'une grande intelligence quand elle s'indigne ensuite de certains regards, mots ou gestes déplacés. Quelque part, c'est tellement bête ou naïf qu'on en vient à croire qu'elle n'a pas pu ne pas vouloir attirer l'attention... Le tort est du côté des hommes qui ne savent pas se maîtriser, mais la bêtise est du côté de celles qui, sachant que beaucoup d'hommes sont bestiaux, choisissent néanmoins de sortir en petite tenue. Et qu'on ne me fasse pas croire que c'est juste une affaire de confort ; je n'ai jamais mis de mini-jupes ou de jeans ultra-serrés mais je doute que je m'y sentirais bien. Du reste, je pense pouvoir dire qu'une poitrine, qu'elle soit masculine ou féminine, respire très bien dans un vêtement qui ne la dénude pas à moitié.

Quant au poème de sympa, je l'ai trouvé sans grand intérêt (cette situation grivoise a été vue et revue, malgré peut-être une originalité du point de vue à la première personne réalisant son erreur à la fin) quoique bien ficelé et se lisant bien.

Mais je m'effare des réactions moralisantes venues clouer au pilori le poème ET son auteur, j'ai eu l'impression d'un grand bond en arrière de plus d'un siècle et demi, de retour en 1857 au procès des Fleurs du Mal -- la qualité de ces dernières n'ont évidemment rien à voir avec celle de ce poème, mais l'auteur n'avait aucune prétention en soumettant son texte, raison de plus pour laquelle je suis affligé par certains des commentaires.

Bonsoir Brume ! Vous avez vos idées et j'ai les miennes ... rien de plus à ajouter je crois ...

Oui Marite, et je pense que beaucoup de misogynes ont les mêmes idées que vous. Salutations.

Bonjour Brume,
C'est assez stupéfiant la rapidité avec laquelle vous m'affublez d'un qualificatif tel que misogyne alors que vous ne me connaissez pas. Heureusement que l'inquisition n'a plus court sinon vous auriez déjà envoyé des cerbères m'arrêter pour me brûler sur un bûcher en place publique. Puisque vous prenez la liberté de me coller une étiquette je vais m'offrir le plaisir de vous livrer ce que je pense : je vous imagine très bien au premier rang de ceux qui manifestent en brandissant des banderoles et des slogans en faveur de la tolérance et de la liberté d'expression ... mais ceci n'est qu'une petite banderille bon enfant par rapport à vos propos.
Allez, que ceci ne vous empêche pas de passer un bon dimanche

Cela fait une quinzaine, je me disais que la tranquillité qui régnait dans ces colonnes, était un été après un déluge, et comme cela me rassurait sur les lendemains oniriens !
Puis le démon vint remettre son ordre, dans cet océan de coton, et à travers la plume de censeurs, sema la discorde allumant le feu des " mauvais coups " !
Nous perdîmes dans la bataille un Grand de l'alexandrin et des commentaires éclairés !
Je vois que des remous assaillent le lectorat ... Ne pourrions-nous pas être d'avis différents, sans pour autant remplacer l'encre par le fiel ?
J'ai peur de voir partir d'autres talents, d'autres fidèles du site, si nous n'y prenons garde, et ne restons maître de notre langue .
Voilà 15 jours, je songeais que la tranquillité nous allait si bien ...