Je remercie le CL pour la sélection de mon texte, et les lecteurs, qu'ils aient commenté, ou pas.
Je ne détaillerai pas les 14 commentaires, ici. Sachez, pourtant, que j'ai apprécié chacun d'eux, l'essentiel étant d'exprimer ce que l'on a ressenti, lors de la lecture, en faisant abstraction des affinités ou antipathies que l'on peut éprouver.
Je dois reconnaître qu'un commentaire m'a manqué. C'est, sans doute, pour me ménager, que l'auteur espéré s'est abstenu. Certains brillent même par leur absence.

Citation :

Bonjour Koko
Pourquoi se serait Willis et moi qui sommes dans l'erreur et pas vous?
Votre ressenti fait bien abstraction du fond. Je peux donner des exemples en relevant certains propos dans votre commentaire :

1) remarque personnelle qui n'a rien à voir avec le thème du poème :
" un mercenaire n'est point une victime ! C'est un vil gredin crapuleux! Etc"

2) vous confondez l'auteur avec le narrateur :
" Allons, allons, mon amis! Vous vous égarez, une fois de plus...etc."

3) vous nous racontez votre vie :
" Je retrouve à la fois les Monty python de la grande époque et mes camarades de classe de 4ème redoublée...Où nous pouffions devant le proviseur écarlate etc...

On retrouve tous les ingrédients qui sont contraire à la charte n°6. Je suis étonnée que votre commentaire ne soit pas modéré.

Bon c'est ma dernière intervention.

Vous êtes dans l'erreur parce qu'une remarque personnelle porte sur les personnes ( de l'auteur et -ou- du commentateur ) et un avis, une opinion, sur le sujet du texte.
C'est en tout cas ce que j'entends.
Ainsi, le 1) est un avis, les 2) et 3), des remarques personnelles qui, comme je l'ai dit avant vous, n'ont rien à faire dans un commentaire.

Maintenant, vous serez bien aimable, à l'avenir, de me citer sans ajouter de fautes et, surtout, de laisser la modération du site faire son travail ; je ne crois pas que cela vous concerne d'une quelconque manière.

Bonjour à tous,

Je viens mettre mon grain de sel de nouvelle-ancienne.
La modération nous concerne tous, en fait, car si nous lisons quelque chose contraire à la charte, nous avons l'option de le signaler à la modération qui effectivement, statue.

J'espère Willis que votre commentateur attendu prendra le temps mais passera tout de même...
C'est un peu la frustration de l'auteur, espérer, on ne peut que ça, des commentaires de tel un ou tel autre que l'on a croisé ailleurs en forum.

Bonjour,
Vous nous dites Koko que votre commentaire était objectif mais ce n'est pas ce que j'ai ressenti personnellement.
Vous vous amusez trop à provoquer cet auteur en forum, je pense.
Ceci alors qu'il vous a clairement fait comprendre qu'il ne souhaitez plus ces échanges.
Vous auriez dû vous abstenir de le commenter, à mon avis.

Et moi je pense que vous devriez vous mêler de vos affaires, Mademoiselle...
et apprendre à lire, accessoirement.

Eclaircie,

Je vous remercie à l'avance de bien vouloir m'indiquer où se trouve le bouton "signale-commentaire", ça m'intéresse beaucoup ( je plaisante, hein ! ).
Par ailleurs, je ne crois pas qu'une "mise en accusation" publique soit la même chose qu'un "signalement" dans l'ombre.
Et je ne crois pas non plus qu'informer la modération du supposé caractère contraire à la charte d'un message soit la même chose que prétendre lui dicter sa conduite ( mais sur ce dernier point, j'ai cru comprendre que nous étions d'accord ).

Le sens de la nuance est très utile en poésie ; vous seriez bien inspirée de le travailler un peu.

Il faut que cessent ces enfantillages, car tout est parti sur un duel de quatrains, qui impliquent maintenant, de nombreuses personnes.
J'en était l'un des protagonistes. Ne voulant être "celui par qui le scandale arriva", je me dois de vous demander de tout effacer et de repartir sur de nouvelles bases.
Ces histoires, à "deux sous", finissent toujours par l'éviction de quelqu'un. Ce qui est triste.
Si j'ai décidé de ne plus "poster" sur "quatrain libre", ce fut pour calmer les choses : échec.
Il n'est de responsable, il n'est que l’enchaînement de mots qui dépassent parfois la pensée. A ce sujet, mes strophes furent parfois acerbes, autant que celles de mon adversaire.

Bonsoir Willis, que de lyrisme dans votre dernière tirade ; mais qui appelez-vous votre adversaire au juste ? Vous semblez aimez les tournures sibyllines alors que j'apprécie leur compréhension sans ambiguïté.

Dans mes propos tout est clair, rien n'est dissimulé.
Nul n'est besoin d'être érudit, pour saisir le sens de mes mots.
L'essentiel est que la majorité comprenne, ce que je prends pour acquit.