Emilia j'ai bien l'intention de commenter tous vos poèmes, comme cela vous serez bien obligée d'en présenter de nouveaux :))

Taillez vos crayons ! Préparez vos pinceaux !
Plumez la volaille onirienne
nous vous ferons une coiffure indienne
digne de Sitting Bull et Cochise en costumes de cérémonie

Bon... ben je barre mon scalp là

:)

Bonsoir Senglar,

Je ne pensais pas que vous mettriez votre sympathique « menace » à exécution, celle de vouloir lire chacun de mes textes … en pensant à une aimable plaisanterie !
Je découvre ce soir que vous confirmez votre intention en me faisant à nouveau l’honneur et le plaisir de votre passage sur mon « bonheur partagé » qui, il faut bien le reconnaître, n’avait pas suscité à l’époque un grand enthousiasme…, souvent épinglé pour ses maladresses et dont le scénario ne semblait pas très clair, avec un tableau sentimental pas évident là encore à partager par le lecteur…
Je suis très touchée de le voir ressorti du fond de sa corbeille et tout auréolé de la peinture d’un grand maître…( il se trouve par hasard que je suis passée aujourd’hui devant le Musée Greuze mais qui était malheureusement fermé…)
Un grand MERCI à vous d’en avoir, malgré ses défauts, saisi si parfaitement l’intention et au plaisir de vous lire à mon tour prochainement…

Et ça n'est pas fini ! Ma menace se précise dans le ciel bleu à l'horizon, avec un escarpin perdu quelque part victime d'une escarpolette, Ô la coquine ! Ô le poème coquin ! Osé-je que vous fussiez à ce point coquine... Oh Emilia !...

I'm shocking !

lol :)


si par hasard vous avez trois minutes à perdre, eh bien lisez brabant, c'est mi je vous l'assure, j'ai le don d'ubiquité. D'ailleurs je ne sais plus très bien qui je suis, un peu à l'Ouest sûrement;; mas sans avoir perdu le Nord :)

Senglar dit Brabant le Ménapien qui empêcha César d'envahir la Gaule dite Gaule Belgique indépendante de l'envahisseur romain. Je crois qu'il s'est ^passé quelque chose de similaire en Bretagne mais une Bretonne pourra sûrement nus renseigner maintenant qu'Alexandre, mon maître et Breton favori, âme de ce site, a plié son bagage. Ô Alex Reviens tu nous manques, Toi le Maître du sonnet classique, tu ne peux pas nous laisser. B

Bon ben tout a sauté ; pardon pour les fautes je n'ai pas pu relire ; j'y reviendrai emilia... et pour toi Alex, reviens nous !

Bonjour Senglar,

Au risque de vous décevoir, je me dois de préciser que je n’ai pas choisi cette oeuvre pour faire l’apologie du libertinage et, au sujet de la « coquinerie » évoquée, il faut rendre à Fragonard et à son commanditaire ce qui leur appartienne…

J’avais lors de mes remerciements, certainement disparus dans les limbes oniriens, explicité un peu ce qui m’avait conduit à choisir ce tableau : petite fille, je collectionnais les reproductions d’art en les découpant dans le magazine de mes grands-parents et en les conservant dans la plus jolie boite de chocolats reçus à Noël par mes parents… Après une série assez sombre sur le Moyen-âge et ses toiles tristes et glaçantes, j’avais été sensible à ce tableau lumineux dans ses coloris, charmant par son cadre bucolique et son thème central d’une demoiselle réjouie sur sa « balancelle »… Désirant m’exercer à l’apprentissage du sonnet, je me suis souvenue de cette toile sans me douter de ce qu’elle recelait vraiment…

Dans une première ébauche, le mot « fiancé » rimait avec « nuancé », la présence d’un prêtre me faisant penser à de joyeuses fiançailles… En recherchant à nouveau le tableau pour le confronter à mon souvenir, j’ai découvert ce qui avait présidé à sa conception et donc dû modifier le sonnet en conséquence pour tenter de m’approcher au plus près de la réalité suggérée, la discrétion de Cupidon étant soulignée par son doigt sur la bouche qui signifie : « chut… ! », avec un clin d’œil complice…

MERCI à vous de me faire profiter à nouveau des « hasards heureux » de vos lectures et commentaires ainsi que le partage apprécié par chacun de nous pour votre énergique et généreuse contribution…

PS : concernant Alexandre, je partage votre regret de son départ… ; au sujet de la « Brabantie », je n’ai pas encore eu le loisir de m’y aventurer, mais je compte bien découvrir votre « royaume » lorsque le temps me le permettra, car je n’ai pas malheureusement votre don d’ubiquité…

Nous avons tous été trompés par ces "Hasards heureux..." Emilia et par bien d'autres tableaux, moi le premier :) J'ai trouvé le sonnet que vous en avez tiré très agréable, au sens naïf du terme, sans grivoiserie.

Oui un bien joli travail !

En terre de Brabantie, souffle un vent de magie, car vous semblez disposer d’une baguette magique attributrice de plumes… Depuis votre passage, trois plumes sont venues se poser sur mes textes comme par enchantement… ; je ne sais si elles ne sont que passagères car elles apparaissent et disparaissent sans crier gare selon, je crois, un certain logiciel, mais vous avez donc beaucoup contribué par vos hautes notations à rendre ma page je dirais un peu plus honorable, ce qui est flatteur bien sûr, mais en même temps, j’en suis également très confuse…
Je suis d’autant plus touchée de voir que vous avez, malgré sa longueur qui en a rebuté certains, pu apprécier la forme et le contenu de « Mon arbre de vie », sans être gêné par ses entrelacs de sens et de symboles aux sources variées qui m’apportent leur éclairage…
Concernant sa forme, il me faut là encore remercier MARIMAY pour son aide et intervention car je ne maîtrise pas les fameuses balises… ; je ne doute pas que vous parviendrez à dessiner à votre tour le vôtre avec succès !
Je n’ai qu’un grand MERCI de gratitude à vous offrir en retour avec ces modestes fleurs en forme de bouquet...

Merci à vous Emila

et Merci aussi aussi à la merveilleuse, indispensable Marimay. Savez-vous qu'elle est elle-aussi de Brabantie :)

La Brabantie est donc bien pourvue entre une fée et un magicien…, c’est une terre bien chanceuse et accueillante ! Quel auteur ne souhaiterait pas bénéficier de l’attention et du respect d’une lecture bienveillante et valorisante étayée de solides connaissances et références ? Même si une petite voix s’insinue en affirmant que seules les critiques négatives sont utiles à l’auteur pour progresser…
Je me suis demandée si vous aviez eu le temps de lire les autres commentaires avant de déposer le vôtre ou si vous ne souhaitiez pas en être influencé ?

Il fut un temps où je ne souhaitais pas personnellement mettre « d’appréciation » pour le principe de ne pas « noter » une poésie par respect pour son auteur, en essayant d’indiquer mon degré d’enthousiasme par le contenu du commentaire et aussi avant d’avoir publié un certain nombre de textes m’autorisant à le faire jusqu’au moment où, grâce à Robot, j’ai pris conscience que j’étais piégée par le système, ne pouvant à la fois bénéficier des évaluations des lecteurs sans en poser moi-même ; parfois je manque de temps, parfois je trouve le texte très bien écrit mais ce n’est pas forcément mon univers et je préfère laisser la place à ceux qui l’apprécient, parfois aussi comme cela me prend un certain temps, tout ayant déjà été dit, je ne vois rien à ajouter et si vraiment je n’apprécie pas, je préfère passer mon chemin et laisser d’autres lecteurs exprimer leurs ressentis…

J’ai beaucoup apprécié que vous attiriez mon attention sur l’œuvre d’Henri Bosco : un auteur qui me parle quand il dit de lui être « celui qui a le même sang que ses arbres… » et un peu plus loin, avec cette pensée contemplative… « où l’on s’épanouit à se sentir uni aux mouvements du monde dont on perçoit les vibrations, dont on épouse toutes les métamorphoses, où l’on n’a plus rien de soi-même qui n’aspire et n’expire à la cadence lente de l’onde universelle »…
C’est bien cet abandon là que m’offre l’évasion… et oui, tout a déjà été si magnifiquement exprimé !
Quant au personnage de Mistral, une troublante homonymie relie l’auteur à son territoire en effet et son vent pour le moins décoiffant…
Avec un bouquet de MERCIS et en vous souhaitant un très bon week-end en attendant peut-être le plaisir d’un nouveau passage … ( Si vous maintenez votre projet, heureusement pour vous que je n’ai pas une grande production ! )

Heureusement certes pas et surtout malheureusement pour moi :) Et puis surtout encore n'oubliez pas, Emilia, quand j'aurai tout commenté de vous, vous serez obligée de republier :)) c'était le marché du début :))) Ne croyez pas que je surévalue, je crois au contraire que d'autres - libre à eux - estiment vos textes à la jauge de leur sévérité comme s'ils éprouvaient le besoin de vous faire progresser, mais vous êtes vous-même et n'avez besoin d'aucun secours sur ce plan-là n'ayez confiance qu'en vous-même et lancez-les vos sonnets, à la face du Septentrion et des Mers du Sud, éclaboussez de votre classe les océans du monde :))))

Pour tout dire j'ai fini mon paradis c'est le vôtre qui commence :)))))


Ma signature pour vous revêt les habits du dimanche


Senglar de Brabantie