Il vaut mieux pour les poètes que je ne commente pas les poésies, mais je peux quand même bien commenter un mot : le verbe effacer.

C'est ici pour moi le plus effrayant.
On peut très bien passer devant, à côté, à un autre moment, et ne rien savoir, jamais.
Les araignées et leurs proies ne sont pas les seules concernées. On pourrait penser à bien des choses.
J'imagine que l'universalité est une chose à atteindre. Elle est atteinte.

On peut effectivement penser à bien des choses, Stony, et pas seulement pour" effacer".
Ne jamais perdre de vue que la nature est notre nature.

La nature fait son job, notre nature nous concerne.

Stony, c'est bien sympa d'être passé !

@Lulu
@Robot

merci de votre passage e de vous étre arrêtés sur la toile le temps d'un commentaire.

Lulu, tu soulignes toi aussi le titre, comme beaucoup. Il faut vraiment que j'y réfléchisse.
Epeire est le nom d'une araignée, elle-même divisée en sous-genre; l'araignée est une gigantesque famille !

Robot, oui, Fabre a consacré sa vie à l'observation des insectes. Peut-être aujourd'hui aurait-il plus de mal à trouver matière à ses observations ?

Un grand merci à vous deux !

C'est vrai que le titre n'appelle pas une poésie aussi belle… Il y a comme un contraste, même si l'araignée se régale !



Merci pour la définition !

Certains ont peur de ces petites bestioles… Moi, ce qui m'effraie ce sont les grosses bébètes que sont les énormes reptiles… énormes, ou même tout petits…

Chacun ses phobies !



En tout cas, bien vu, ce poème aux couleurs de l'aube !

Lulu, concernant le titre, tu emploies le mot "contraste". C'était en fait ce que j'ai cherché à faire.

Donc, ça marche...sans marcher

Merci hersen, au plaisir de vous lire,

Stéphane

@The dreamer

Merci pour ta lecture et ton com et d'avoir été sensible à la poésie de la nature, sous tous ses penchants !

@jfmoods,

Merci de ton commentaire. ils sont toujours un plaisir à lire, tellement ils confortent et réconfortent !

d'ailleurs, dans ta partie "le ballet de la mort", je m'aperçois que le titre était malgré tout compréhensible, donc je pense que je vais laisser en l'état, d'autant plus que je ne saurais autrement rendre cette idée de sauvagerie de la nature, rien ne me vient à rajouter dans le poème en lui-même.

pour tous les deux, des

@Ombhre,

merci beaucoup de ton passage et de t'être laissé prendre dans la toile :)))

Un regard effectivement sur une nature qu'il ne faut pas édulcorer, ce qui n'enlève rien à sa grandeur !

@ maria,

Craintive en poésie...mais tu viens quand même la lire ! Et non, la poésie n'est pas un piège :)) tu peux t'y laisser prendre sans crainte aucune !

et c'est ce qui compte, de dépasser des a priori.

merci de ton commentaire et, surtout, de t'impliquer auprès des autres auteurs.

à bientôt !