Et pas n'importe quel golf Lebarde ! Du golf écologique. Bravo !

Avec toute ma sympathie

Senglar


A propos de golf avez-vois lu "Les contes noirs du golf" de Jean Ray, un maître belge de la littérature fantastique. J'adore Jean Ray dont j'ai lu tous les bouquins publiés chez Marabout à l'époque.

Bonsoir Lebarde,

J'ai tenté une double récriture lipogrammatique de "L'albatros" de Baudelaire. C'est sur ce site : "Albatros et autres volatiles".
Si cela t'amuse de le consulter, tu me diras...

A bientôt

Bonjour Archibal
Je me suis empressé bien sûr, d'aller découvrir tes lipogrammes s'inspirant de "L'albatros" de Beaudelaire.

Tu as produit là, deux poèmes de très haut vol quand on connait un peu la difficulté qu'il y a d'écrire un texte cohérent (dans ton cas sur un sujet imposé) en "oubliant" certaines voyelles dans l'encrier!! (ce que je n'ai pas totalement su faire la dernière fois!)

Des poèmes en néo-classique que les puristes de l'époque n'ont pas remis en cause.
Bravo, du grand art que j'ai bien apprécié: le premier poème encore plus que le deuxième, plus proche de l'oeuvre originale, mais qu'importe les deux sont superbes.

Merci d'avoir exhumé ces remarquables textes déjà anciens (2016)
ce qui, je l'espère permettra aux lecteurs d'hier de les relire et à ceux d'aujourd'hui de les découvrir et de donner à tous l'idée de se lancer dans ce type de gymnastique poétique!

Après avoir parcouru les commentaires de l'époque je constate que rien n'a vraiment changé.
Il y a les lecteurs qui ont remarqué le "truc" ou que les commentaires précédents ont mis sur la voie, ceux là sont presque toujours admiratifs et plein d'enthousiasme pour saluer la performance!
Et puis il y a les autres ( pas si rares que cela) qui n'ont rien vu du tout dont les propos beaucoup plus réservés et franchement négatifs
peuvent décevoir un peu l'auteur qui a sué "sang et eau" sur son sujet!
Mais ainsi va la vie et c'est très bien comme çà.

Pour ma part j'ai encore quelques textes/lipogrammes en magasin que je proposerai peut être un jour après un petit lifting.

Sauf si j'ai raté quelque chose, Archibald tu dois encore avoir sur ton métier quelques autres oiseaux à "lipogrammer".
Alors je surveille tes prochaines productions pour ne pas me faire piéger.

Cordialement

Lebarde

Bonsoir Lebarde,

Ravi que mes volatiles t'aient plu. Certains commentateurs qui sont passés à côté de la contrainte m'ont plus amusé que contrarié. Je ne les relève pas ici pour ne froisser personne.
Je serais heureux de lire tes autres lipogrammes. Il faut tout de même savoir que les exercices oulipiens ne sont pas goûtés par tout le monde, j'en ai fait ici l'expérience, et sont considérés comme des acrobaties assez vaines et étrangères à la poésie. Paradoxe : ceux qui émettent cet avis sont d'ailleurs souvent des inconditionnels de la poésie classique dont les règles constituent pourtant des contraintes formelles exigeantes. Le lipogramme ne doit donc pas se contenter de remplir le contrat, il doit également avoir une certaine valeur littéraire. C'est le plus difficile.

BernardG
Merci pour votre commentaire un peu tardif et dissonant par rapport aux quinze autres.
Mais il est argumenté et sincère : c’est l’essentiel.
Vous trouverez des réponses dans certains des commentaires précédents sur ce lipogramme.
Un complément: on peu comprendre qu’un très grand malade puisse à la fois rêver de chants et de danse et être agacé par des enfants! Non?
Lebarde