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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Rumeurs au coin |
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Retours plus perso sur vos commentaires :
@ Eclaircie, Merci à vous pour votre retour, d’avoir souligné un hiatus parmi d’autres et d’avoir aimé votre lecture malgré quelques manques d’éclairages de ma part. Je n'ai pas saisi l'intention du mot "déveine" entre guillemets. Un martinet (l’objet) avec déveine à la forme pronominale est une liberté qu’a prit ma plume. De même, le martinet (l’oiseau ici de mauvais augures avec ces cris perçants) se déveine en « rumeurs » par des palabres noirs de bon matin sur le bitume des trottoirs. J’espère avoir ainsi complété vos interrogations avec les explications apportés dans mon premier post. @ Anje, Merci pour vos retours. Ma poésie est pleine de vilaines puces pour être un classique. J’ai encore du boulot afin de pouvoir présenter un vrai « classique ». Mais je suis ici pour apprendre, cela gratte bien un petit peu, mais ce n’est qu’une petite écorchure à mon égo qui s’en remettra bien vite. Lol ! Je n'ai pas compris "la couleur se peine", ni les accolades encadrant "se déveine". Après "encaisser" la virgule ne devrait pas être. Pantin a-t-elle perdu sa majuscule ou l'absence de l'article crée-t-elle un doute ? Pour la couleur se peine vous trouverez la réponse dans mon premier post, pour les accolades, la réponse est donnée à Eclaircie ci-dessus et, non, j’ai écrit volontairement « pantin » sans majuscule car ce mot n’a pas plus d’importance que vaurien et j’ai choisi de le laisser impersonnel et asexué de tous déterminant. Je comprends que cela est pu vous étonner. @ Gemini, Ô ! ces vilaines non-rimes. En effet, je préfère finalement des assonances aux rimes purement classiques. Je suis une très mauvaise élève. Pour la plupart des vos questions, mes réponses ont déjà été donné soit dans mon premier post soit en réponse à Eclaircie et Anje. Vous m'écrivez : « Pour finir, j'ai pensé, par le titre, à une métaphore générale croisant la rumeur de Hugo et la Vipère au poing de Bazin, mais j'avoue bien mal la cerner. Cela pourrait expliquer le martinet (en fouet), la châtaigne ou le vaurien mal aimant, mais je n'ai pas su y caser la rumeur. Peut-être ai-je mal pris l'angle d'attaque du roman. » Je ne vais pas dire que je n’y ai pas pensé ayant lu le livre « vipère aux poings » il y a fort longtemps et l’ayant beaucoup apprécié mais c’est surtout le seul titre qui m’est venu lorsque j’ai eu fini d’écrire le poème. Puisqu’il parlait des rumeurs du fait de toutes sortes de violence. Ces bruits qui courent et qui sont eux aussi une forme de violence beaucoup moins flagrante, qui prennent leur source par un acte de violence qui est alimentée et déformée au fur et à mesure par l’imagination fertile des « jaseurs ». Je ne suis point adepte des ragots, je m’en méfie comme de la peste… Pour moi, c’est de la méchanceté gratuite bien souvent, car l’on n’a jamais tous les tenants et les aboutissants du : « on-dit… ». Mais il n’y a pas de fumée sans feu, paraît-il… Merci encore à vous pour votre intérêt. @ Provencao , J’espère vous avoir au moins donner des pistes de compréhension avec ces quelques explications post 1 ? @ Sympa, vous m'écrivez : « Cependant, une rumeur est douloureuse moralement, un coup de martinet douloureux physiquement. Mais bon pourquoi pas. » Justement, dans les deux cas, il y a de la douleur, mais moins flagrante cependant. Voir ma réponse à ce sujet à Gemini ci-dessus. J’espère être plus limpide la prochaine fois. Bonjour Hananke, Une première appréciation sur l’un de mes poèmes, je vous en remercie. Avez-vous digéré ce foie gras indigeste ingéré trop tôt le matin peut-être ? J’ignorai que le foie gras se déveinait lui-même. Mais tout le monde sait que pour faire un bon foie gras, il faut bien déplumer le canard auparavant, afin d’éviter d’être écœuré par une vilaine plume. Je suis tout à fait d’accord avec vous, ce « il » en première strophe a semé la pagaille, comme l’a souligné l’incompréhension quasi générale. Je pense y remédier. Vous m’écrivez : « Je n'ai pas pour habitude de commenter ou de mettre une appréciation à un texte que je ne saisis pas mais là trop c'est trop ! » Ouf ! trop c’est trop ! cela vaut mieux qu’un : peu, c’est peu ! ou un rien, c'est rien ! Il me reste encore l’espoir de faire mieux la prochaine fois pour être plus limpide à vos yeux ; car qui aime bien le classique, châtie bien… J’admire vos capacités à partager votre ressenti plutôt négatif, je l’ai lu et perçu dans ma caboche un peu exiguë, parfois, mais malgré tout malléable. J’attends d’avoir le plaisir de lire l’un de vos retours (sur l’un de mes prochains textes) aussi amicalement mis en scène. Avec mon plus vif intérêt pour votre plume expressive qui me permettra sans aucun doute, comme vous au fil des ans, de progresser encore. @MissNeko, Je suis heureuse pour ce premier passage sur l'un de mes textes que vous ayez apprécié votre lecture et le rythme. Le titre peut en effet, faire penser au livre « Vipère aux poings », j’y ai penser après coup, mais n’ayant pas trouver mieux pour titrer ce poème sur la violence « urbaine » due aux bruits et aux rumeurs que je ne l’ai pas modifié. @ Cristale, Bouh ouh ouh !!! ne rime pas avec chou, genou, caillou… J’avoue que je ne pensais pas qu’il faille d’une strophe à l’autre des rimes parfaites. Et toc ! Erreur de débutante, un coup de bleuet pour la peine. Venant de toi, Cristale, reine incontestée du classique, je dépose les armes. Je suis vaincue… pour cette fois-ci ! Mon ceuzin (j’apprend ce mot merci) était voulu pour marquer l’étourdissement. Mais inopportun en classique, mais c’est pô ma faute, je ne savais pas !!! Rendez-vous pour ma prochaine leçon et quelques révisions des traités de prosodie classique pour obtenir la fameuse fève… @ Papipoete, Merci pour votre commentaire, je pense avoir répondu plus haut à toutes mes imprécisions. Pleins de vilaines fautes de prosodie, mais vos encouragements à ne pas baisser les bras porteront peut-être leurs fruits dans de prochaines publications. Merci de toujours venir déposer quelques lignes comme un baume sur mes mots. Mes amitiés poétiques pour vous. @ Davide, Tu m’écries : « J'ai bien aimé la métaphore de la rumeur dans les deux premiers vers, mais surtout, j'ai trouvé très intelligent le double-sens convoqué par ce mot : ici, la "rumeur" est autant le bruit généré par les coups de martinet, se disloquant sur les "bitumes des trottoirs", que les commérages et les "palabres noirs". Mais… ma compréhension n'est peut-être pas celle voulue par l'auteure. » Tu as parfaitement compris mon intention sur cette strophe Davide (voir complément d’infos plus haut pour Eclaircie), pour le reste, en effet le « il » de la première strophe était une erreur. Je pensais que l’exergue suffirait à la suggérer mais finalement, pas du tout. Je pense remédier à cette coquille… Pour ce qui est du « pantin », je réponds à ce sujet à Anje « j’ai écrit volontairement « pantin » sans majuscule car ce mot n’a pas plus d’importance que vaurien et j’ai choisi de le laisser impersonnel et asexué de tous déterminant. Je comprends que cela est pu vous étonner », pour compléter il n’est que celui ou celle qui prend les coups (enfant, femme, homme), idem pour le vaurien qui peut avoir multiples visages… Pour le reste, la prosodie n’est pas respectée. Un point c’est tout. Merci à toi d’en avoir relevé les nombreuses erreurs et de malgré tout avoir apprécié ta lecture malgré certaines zones d’ombres. Biz, en passant… @Donaldo75 Merci à vous , je suis heureuse que vous ayez ressenti l'essentiel de ce que je tente maladroitement pour beaucoup de transmettre. Il est en effet possible de l'interpréter de diverses manières et pour moi, c'est un plus ; je n'aime pas personnellement que l'on bride mon intellect à la lecture, j'ai besoin de creuser et de faire mes propres déductions et analyse d'un texte. Dans mes écrits, je l'assume totalement puisqu'il permet à chacun de s'approprier ou non, mes mots... Et un bisou trop chou à chacun de vous pour vos amicales attentions
Contribution du : 08/01/2020 17:11
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Re : Rumeurs au coin |
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@ Quidonc,
merci de votre passage et d'avoir fait encore une fois circuler ma rumeur, d'en avoir apprécié la lecture. Vous savez ce que l'on dit : "une nouvelle rumeur chasse l'autre..."
Contribution du : 09/01/2020 18:25
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Re : Rumeurs au coin |
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Citation :
Elena90 : Quelle inspiration incroyable..! c'est épatant.. Cela fait du bien de lire de si jolis poèmes. J'ADORE ! Bonjour et un grand merci à vous Elena90. Je suis ravie que cette poésie vous ait plu. Un peu plus d'argumentation peut-être, surtout au vu de votre évaluation plus que positive, aurait été un plus . Qu'avez-vous aimé au juste ? Au plaisir de vous lire pour d'autres échanges... Citation : Solo974 : Bonjour STEPHANIE90,J'aime beaucoup votre incipit.Renvoyant à Victor Hugo, il est en accord avec cet auteur, auquel le premier vers de votre poésie me semble explicitement faire référence : celui-ci, en effet, n'est pas sans rappeler le tout début du poème "Demain, dès l'aube...".La thématique même de votre texte évoque du reste, selon moi, les thèmes chers à cet auteur, notamment son indignation face à la pauvreté et aux injustices sociales (Les Misérables, Notre-Dame de Paris), comme dans ce tercet :"Les téméraires, eux, ont un rictus chafouin,Mais les plus affligés se terrent dans un coin Pour ne pas encaisser encore une châtaigne !"Petit bémol de ma part concernant le pronom "Il" de votre troisième vers.Un sonnet dont je ne saurais techniquement évaluer la facture, mais qui m'a plu dans l'ensemble.Bien à vous et très bonne continuation sur le site !Et maintenant, je vais découvrir vos propres commentaires... Bonjour Solo et un grand merci pour votre commentaire et retour sur ma poésie. Victor Hugo est mon auteur préféré. Même si je ne connais l'ensemble de ses textes (il y en a tant). J'ai plutôt été inspiré par son recueil "Les quatre vents de l'esprit" avec "La satyre à présent, chant où se mêle un cri" et "Le bout de l'oreille". En effet, j'aime tout particulièrement les thèmes qu'il défend si bien et souvent avec humour. Il est, je trouve, un de ces auteurs qui ouvre l'esprit à la réflexion personnelle... Citation : Queribus : Bonjour, j'avoue que votre écrit me laisse perplexe: en effet, on y trouve quelques très belles images poétiques mais j'aime bien comprendre un texte dès la première lecture et là c'est loin d'être le cas; je pense que plus de clarté et de simplicité auraient été nécessaires. En ce qui concerne la prosodie brouillard, gaillard, trottoirs, noirs passeraient dans une chanson mais, là, même en néo-classique, la faute est évidente; on note aussi, ça et là, quelques hiatus mais ils sont permis en néo-classique.En conclusion, je pense que votre poème devrait être retravaillé avec surtout plus de simplicité.Bon courage. Bien à vous. Bonjour Queribus et merci pour votre retour sur ma poésie. Je regrette que vous soyez resté dans le brouillard suite à la lecture de ma poésie. J'espère que les réponses plus haut vous auront permit de trouver un sens à mes mots. Pour ce qui est de la prosodie, elle n'est pas classique en effet, mais comme Baudelaire qui en a fait de nombreuses variantes dans "Les fleurs du mal" avec des sonnets irréguliers en nombre. J'ai encore du mal parfois à définir la catégorie exacte. Je me cherche encore Faire dans plus de simplicité par contre, je suis désolée, mais je ne pense pas que cela soit possible. Une métaphore étant une métaphore, je crains de ne pouvoir échanger mon livre d'image. J'y tiens vraiment beaucoup... Merci et au plaisir de vous relire prochainement.
Contribution du : 12/01/2020 17:57
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Re : Rumeurs au coin |
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Citation de Miguel en évaluation :
Citation : Ce poème est un peu hermétique et, si l'on comprend vaguement de quoi il est question, on aimerait une expression un peu plus claire. Pour les remarques au sujet de la forme, je ne pense pas qu'il y ait lieu d'en faire : nous avons là un sonnet dit "irrégulier" comme les plus grands poètes, y compris parmi les classiques, en ont produit. Merci Miguel d'avoir prit le temps de venir lire et commenter ma modeste poésie qui a bien des erreurs de prosodie pour un "vrai" classique. J'ai omit de noter sonnet irrégulier, grosse erreur de ma part... J'espère qu'elle méritait sa catégorie néo-classique malgré tout ?!? Mais j'apprends encore et toujours ! Je viens de retoucher celle-ci légèrement. Pas sur les métaphores mais sur ce pronom "il" du 3ème vers et quelques vilains hiatus. Elle ne sera toujours pas parfaite mais je pense qu'il y a un petit mieux. Ai-je le droit de la poster retoucher sur ce post pour que vous puissiez si vous le voulez-bien chers Onirien(ne)s me dire si c'est ainsi plus limpide pour la compréhension générale du texte par rapport à ma proposition principale ? Merci à tous
Contribution du : 18/01/2020 19:27
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Re : Rumeurs au coin |
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Bonjour !
Pas de réponse... Bon, je suppose donc qu'il n'est pas interdit de poster les corrections apportées au poème suite aux évaluations qui m'ont beaucoup aidé suite aux remarques concernant le manque de compréhension et les erreurs de prosodie. Je n'ai pas modifier les rimes puisque je l'ai fait exprès donc... je tiens à les conserver. Poème original par ici > Oniris Voici les modifications qui sont déjà faites en gras et celles que j'envisage (lorsqu'il y a doublon du vers avec la modification en second plan). L'ensemble est-il plus clair ? Rumeurs au poing 1 - Jusque dans la campagne où souffle sa rengaine 2 - Au nez d’une gargouille effleurant le brouillard, 3 - Son écho fait grincer des dents un grand gaillard 4 - La nuit dans sa cité dont la couleur se peine. 5 - Un martinet, au creux d’une main, se déveine 6 - Avec vigueur jusqu’aux bitumes des trottoirs, 7 - Au matin chahuté par des palabres noirs 8 -Où planent des ombres sur l'envers de la scène. 9 - Les plus téméraires ont un rictus chafouin, 10 - Mais les plus affligés se terrent dans un coin 10 - Mais les plus affligés planquent les mots en coin 11 - Pour ne pas encaisser, encore une châtaigne ! 11 - Pour ne pas entrevoir encore une châtaigne ! 12 - Quand pantin se disloque aux remparts assourdis 13 - D’un vaurien mal aimant à la poigne qui saigne, 14 - Les silences, un jour, s’agitent... étourdis. Merci à tous ceux qui auront le temps de venir lire et de me donner leur avis sur les modifs aux vers 7- 8 - 10 et 11
Contribution du : 19/01/2020 17:33
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Re : Rumeurs au coin |
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Maître Onirien
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Vers 10 et 11, je garderais les originaux (non gras)
Concernant les vers : 8 -Où planent des ombres sur l'envers de la scène. 9 - Les plus téméraires ont un rictus chafouin, Si tu veux des alexandrins dignes de ce nom (méfie-toi ce sont des p'tites bêtes nobles et susceptibles), il faudrait rectifier l'hémistiche de ces 2 vers. En effet, le pluriel de "ombres" et de "téméraires" empêche l'élision du "e" muet à l'hémistiche et c'est pas bon selon dame prosodie. On pourrait écrire par exemple : 8 - Des ombres s'étirant sur l'envers de la scène. 9 - Téméraires, les durs ont un rictus chafouin, Je pense que le reste est bon. Mais j'ai un petit creux alors je reviendrai jeter un zieux un peu plus tard. Biz
Contribution du : 19/01/2020 19:56
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"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “ Jean-Pierre Siméon "parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense" Charles Baudelaire |
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Re : Rumeurs au coin |
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Ok ok ! Merci, merci, merci chère Cristale pour ces précieux cadeaux.
C'est un peu plus clair et du coup, j'ai déjà une petite idée des nouvelles corrections à envisager... pour coller au plus près de mon idée de départ. Rumeurs au poing 1 - Jusque dans la campagne où souffle sa rengaine 2 - Au nez d’une gargouille effleurant le brouillard, 3 - Son écho fait grincer des dents un grand gaillard 4 - La nuit dans sa cité dont la couleur se peine. 5 - Un martinet, au creux d’une main, se déveine 6 - Avec vigueur jusqu’aux bitumes des trottoirs, 7 - Au matin chahuté par des palabres noirs 8 - Sous des ombres planant au revers de la scène. 9 - Téméraires, les durs ont un rictus chafouin, je te pique ce vers, ok ? 10 - Mais les plus affligés se terrent dans un coin 11 - Pour ne pas encaisser, encore une châtaigne ! 12 - Quand pantin se disloque aux remparts assourdis 13 - D’un vaurien mal aimant à la poigne qui saigne, 14 - Les silences, un jour, s’agitent... étourdis. Je précise "s'agitent... étourdis" au vers final teu/té est une faute "exprès", je crois que je ne serai jamais totalement classique, tu me pardonnes Cristale d'agiter ainsi la prosodie, je suis trop étourdie !?! Et bon appétit à toi, des chocolats pour le dessert ???
Contribution du : 19/01/2020 20:55
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Re : Rumeurs au coin |
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Maître Onirien
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Ben voilà Stéphanie ! Tu vois, le travail le travail toujours le travail et hop ! Tu sors un vers de ta rivière poétique :
8 - Sous des ombres planant au revers de la scène. L'autre c'est cadeau Merci pour les chocolats ! Miam !
Contribution du : 19/01/2020 21:29
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Re : Rumeurs au coin |
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Expert Onirien
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Merci à toi Cristale pour ta gentillesse, je t'offre mon amitié sincère pour te remercier et pleins de gros bisous
j'ai fait les modifs et dans la foulée puis j'ai ressorti un poème écrit
Contribution du : 20/01/2020 17:17
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