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Tchin-tchin hersen, trinquons au champagne

A vrai dire, je dors peu et l'idée d'un éventuel recueil de poèmes commence à germer fortement dans mon esprit.

Poétiquement,

Stéphane

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c'est vrai ça Stéphane, cette formule 1 colle parfaitement au périph de ton sujet !

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Me voilà rassurer, vous n'avez point égaré dans le tout à l'égout votre humour.

Vous avez plein de poèmes en attente, tant mieux, surtout si c'est écrit comme vous l'aimez. Rien de plus triste qu'un poème manquant de personnalité.
Vous dîtes, Stéphane, que la longueur n'est pas un gage de réussite. En effet, je le pense aussi, que ce soit dans un sens comme dans l'autre. Je crains d'aimer développer comme vous mes poèmes, contrairement à Hersen qui brille dans la désertion de mots.

Les deux exercices sont un art difficile qu'il faut savoir maitriser au mieux. L'apprentissage dure toute une vie et le principal est d'y mettre sa patte...

@ Hersen : je comptais aussi sur toi pour partager avec nous ce verre de l'amitié. Tchin-tchin chère amie.

Je remercie également papipoete et Donaldo75 pour leur aimable commentaire et leur belle appréciation. Merci vraiment de vous être arrêtés sur ce poème et d'y avoir cerné l'essentiel.

Au plaisir de vous lire,

Stéphane

Merci Cristale d'avoir fait l'effort de lire et d'étayer ton commentaire de la 5ème symphonie de Beethoven qui pourrait, en effet, se marier un peu à ce "cataclysme" ambiant d'une mégalopole au bord de la rupture.

J'essaierai un peu plus tard de revenir vers une poésie un peu plus calme (mais avec une vision toujours un peu pessimiste), ce qui ne devrait pas être bien difficile au vue du déchaînement furieux évoqué dans ce poème.

Oui, l'air de la montagne est beaucoup plus respirable et le climat ambiant beaucoup plus serein.

En attendant de te lire,

Amitiés,

Stéphane