Hersen , je suis peinard, le temps que tu comprenne la fin j'aurais battu le record de lectures !
L'affreux !

Larivière : "un best comparé au très bon texte juste avant toi"... je dois le prendre comment, ça ?

wancyrs la longueur ne semble pas un critère déterminant.

loool

faut que je relise ton texte je l'ai lu en centrale mais je l'ai plus en tête...

Merci pour vos remerciements (chelou cette phrase...) Pepito. Pour le saule et le maïs, j'irai vérifier les codes génétiques respectifs^^

Très heureuse d'avoir lu cette nouvelle parce que j'ai le sentiment d'avoir affaire à une plume capable d'écrire d'excellentes choses et surtout pour avoir eu ce plaisir immédiat à la lecture.

Rappelez vous toujours ce message quand je vous défoncerai sur votre prochaine publication


Anna

Je confirme Pépito, j'ai trouvé la conclusion "apaisante"
A ma décharge, ayant entamé la dernière ligne droite de ma vie il y a quelques années et n'ayant aucune idée de la longueur de ce qui me reste à parcourir, j'essaie d'apprivoiser de façon positive l'inconnu qui m'attend après le grand saut ... A chacun son astuce n'est-ce pas ? Bon dimanche !

Marite : j'avais raté votre post. Effectivement, la suite devrait être apaisante... Juste que dans le cas de Joseph, la dernière fraction de seconde risque de pas mal secouer. ;=)

Bonjour Papipoete !
Je suis toujours heureux de voir un Onirien passer, le temps d’une lecture de nouvelle, de la droite à la gauche du site. ^^
Je n’ai fait le rapprochement avec le Saule du " Seigneur des anneaux " que plus tard, nouvelle écrite. Mais je trouve que l’association est effectivement très pertinente. Ces arbres ont vraiment mauvaise réputation. ^^
Je suis très content si j’ai pu vous faire voyager dans les pas de Joseph. Attention tout de même à ne pas le suivre trop loin.

Un grand merci pour votre commentaire.

AnnaPanizzi comme le couperet me semble être tombé fort mal à propos et que du coup, j'ai l'impression de répondre dans le vide (voir plus haut), je remets ci-dessous votre commentaire :

PFRRRRRRRRRRRRRR !!!
C'est agaçant ces moucherons qui vous tournent autour du nez... horripilant comme une feuille humide qui vous colle à la nuque dans des frondaisons inhospitalière...

Bonjour Pepito,
C'est une bien belle nouvelle que vous avez écrit là. Elle est non seulement excellement écrite mais on est de suite embarqué avec vous cette forêt pas vraiment sympathique, pris dans les branches de cet arbre de cauchemar en statue du commandeur version Géant Vert bien flippant.
Le sentier des souvenirs perdus nous conduit au twist de l'accident et de l'hôpital. Redescente climatisée vers une fin ou chacun s'imaginera ce qu'il veut bien comprendre.
Du très bel ouvrage
Merci
Anna qui n'ira pas au bois ce soir

Pepito, j'avais un peu honte de ce commentaire, du coup je l'ai effacé... Ce qui n'enlève rien à votre superbe nouvelle :)

Avec toute mon amitié

Anna

Ben dis donc Bandini, la lecture de ton commentaire me laisse sans voix (sans doigts, en l'occurrence). Je vais l’imprimer, le rouler dans une petite boite et me clouer le tout sur le front. ;=)

Tu m’as fait penser à Frédéric Dard (le bien nommé), qui, après un passage particulièrement léché, s'excusait auprès de ses lecteurs de s'être laissé aller à se prendre pour un vrai écrivain. Pour tout te dire, tu n’es pas le premier à avoir mentionné l’embardée et une copine de kriture, après avoir lu la nouvelle, m’a demandé si j’allais bien et si je n’avais pas besoin d’aide. Alors qu’en fin de compte, n’a joué que le plus grand des hasard dans le bruissement des lianes du salix (ce mot là (homard), je ne le connaissais pas y’a deux minutes, longue vie à internet !).

Quant à (Bertrand) croire au paradis, après un commentaire pareil, c’est le minimum. Grand merci à toi Bandini ! T’es trop bon, ça t’perdra !

Je crois que dans ce cas, tu peux carrément prendre tes bains de pieds dans un chaudron d'eau bénite parce que je te trouve meilleur que Dard.
Quelqu'un m'avait offert deux San Antonio et j'avais abandonné au tiers ou à la moitié du premier. Peut-être juste une mauvaise pioche, remarque. L'un des personnages principaux, Monsieur Bonbeurre, prénommé Jean, apparaissait toutes les trois phrases. Je veux bien qu'on se fasse plaisir, mais quand même, faudrait peut-être penser un peu au lecteur. C'est comme si dans une nouvelle, t'essayais de me fourguer vingt fois ton homard et ton Bertrand. Je peux sourire à la première occurrence, mais faudrait quand même voir à pas abuser de ma patience.
Si je devais retrouver le deuxième bouquin dans une caisse de mon déménagement, je consentirais à faire un nouvel essai uniquement en souvenir de son admiration pour Céline.

Sur ma terrasse, je prends grand soin de mon acer palmatum purpurea qui m'a coûté bonbon. Et pour me refaire de cette dépense et des prochaines promises par Vladimir, j'ai profité de la récente tempête, avec mon fils, pour récupérer une branche de 40 kg d'un fagus sylvatica, que je compte débiter en bûches pour tester la cheminée de mon nouvel appart. Un voisin, dans une rue adjacente, a eu moins de pot en découvrant sa voiture écrabouillée par un quercus.
Je ne pratique le latin qu'en forêt, en jardineries, à l'occasion d'exceptionnelles tempêtes et lorsqu'il me prend l'idée saugrenue de m'improviser artisan du bois.

Au plaisir...

hello Bandini !

Honte à moi, j’vais z’oublié tes fortes affinités avec le bois. J’ai cherché longtemps un terme pour les longues branches du saule et n’est trouvé que « lianes ». Ce qui m’a semblé un poil trop Mowgli. Tu aurais sûrement pu m’aider sur cette action. ^^

Bah, tout San Antonio n’est pas top. Le dernier qui m’est tombé dans les mains en a rapidement chuté. Mais j’ai le souvenir de bidonnades irrépressibles qui, si elles m’étaient arrivées dans le métro, m’auraient, le temps d’un trajet, rendu célèbre. Homard, Bertrand et mon pote Pohal Audan d’Hiver ne sont que de misérables hommages à sa verve.

Encore merci pour t’hêtre penché sur ma nouvelle.

Oui, je sais, je sais...